Chapitre IV

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Hommes et femmes vêtues de gris, entrèrent, avec un fracas des immense porte rouiller, dans une usine avant désinfecter pendant des décennies.
L'odeur de l'acier rouiller et du boix pourri ne passa pas inaperçu, les narines se plissent à l'odeur.
La poussière arpente toujours l'endroit, de fin trous au toit se fit voir laissant passer de fin rayon avec une légère brise.
Les sheds de l'ancienne usine amena la lumière du jour au coeur des ateliers avec un peu de chaleur ce qui donna un meilleur visuel aux employés. Tous se positionnent à leur place devant les machines pendant que d'autres alla chauffer des chaudrons avec du feu. Celui-ci chauffe rapidement au vue du couronnent produit par eux aussitôt ce faible bruit entendu ont jeta de l'or, du cuivre, de l'argent et pour d'autres du palladuim.
Les composant fût vite fondu avec une chaleur de plus de 1085 Degrés Celsus.

Aussitôt fondu, les machines neuve prêtes à l'emploi furent activer par les employés, un brouya arpente l'ancienne usine et les oiseaux s'enfuit pendant que les employés se mettent à travaille sans un mot sous la chaleur des chaudrons et d'une faible brise passant par les vitres usées.
Des plaques creuse furent saisi et poser sur les tapis, les chaudrons se renfermant en fesant couler les liquides rare dans les plaques. Celles-ci avancèrent vers des machines de refroidissement qui les solidifie avec de la vapeur d'eau s'échappant, les plaques devenu maintenant en or rose certaine en or blanc ou bien gris.

Elles allèrent ensuite dans des machines où elles furent comprimées en fine plaque. On les amena dans des atelier supérieurs délabrée du gigantesque bâtiment pour y être marquer par des employés professionnels. Elle decendirent de suite sur des rouleaux après cela fait, des mains vinrent les prendre pour les mettre enfin dans de minuscule carton. Ceux -ci entreposer dans de petits camions qui eux démarrent leurs moteur dans un petit bruit puis partent doucement sous la lumière du jour sans un nuage à l'horizon.

Quelques part

Des bruits de talons frappe le parquet dans un couloir très bien éclairé, il se fit maquiller par les maquilleuse, un peu de fond teint par ci, un peu de glosse par la et un coup de peigne peignant sa tignasse indomptable devant sa coiffeuse de ligne. Le grand fracas de la porte ouverte brusquement détourné l'attention des personnes dans le coulisse luxueux. Tout le monde se pressent de sortir aussitôt un signe de main de celui qui se fesais maquiller plus tôt. La porte se referme laissant la styliste blonde et le fils du multimilliardaire seuls.

- Tu ne va pas porter la robe de ce matin j'espère ?

Il lui envoyer un œil ennuyé et assistant tourna son siège montrant sa nouvelle tenu blanche et verte aussi simple qu'élégante.

- Très bien, j'adore ! Les robes te vont bien mais tu es mieux comme cela ! Pantalon, pull... sa te va bien.

Il souria se levant se dirigeant vers la porte carmin assortie d'une énorme étoile d'or. Il la regarda.

- Ton père t'attend et la présentatrice aussi. Prêt ?

Elle se poste devant la porte, main sur la poignée. Il secoue la tête puis s'engouffre dans le couloir éclairer en aspirant et expirant de l'air. La porte se referme.

Quelques part

Un blond aux cheveux hérisser tout comme son humeur, arpente les rues en déambulent en silence. Il mit une main sur son visage tout en se souvenant d'un anciant souvenir.

Flash back

Un petit garçon traînait un autre garçon dans une forêt. Ils courraient ensemble tout exciter puis s'arrêtaient nette devant une rivière avec un tronc au dessus.

Mission émeraude impossible 🏳️‍🌈( omegaverse )(en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant