Livre VII: Qui est le plus humain, au final?

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De sa tour blanche et bien assemblés , il regarde les petit êtres de haut, s'efforçant de survivre. Puis, il laisse couler son échappatoire le long de sa gorge. Et s'endort emporté dans son rêve vaniteux, essayant, par la meme occasion, lui aussi de survivre . 

En bas, les mots vous tranche de leurs silences . Les actions sont discrètes mais des plus tranchantes . L'hypocrisie, ici, n'est qu'un pantin de ces propres victimes. L'hypocrisie est dans les murs qui écoutent leurs tromperies , leurs manigances , leurs intentions. L'hypocrisie n'était que le reflet de l'ironie du sort. Et tout ça, retenue dans le miroir si lumineux, si luisant, si évident.

À travers les âges, l'Homme se dit se moderniser. Mais à travers l'âge, l'Homme s'enferme dans son évolution. Celui-ci se bats, alors, pour des champs si beau, sans eux.  Il considère l'animal comme un profil, le dépouillant de son droit. Il considère son congénère un moyen à sa fin. Et en oublie leurs similitudes, pour enfin, faire face à ces propres actes et pensée.

Mais ce n'est pas bien grave. L'ordre est telle qu'il est. L'ordre naturel a mis l'homme au dessous des autre vies. Et ce , pour ce détruire mutuellement et mener à sa propre perte. Que l'humanité est belle ! Quelle explosion de paraître, il a créé ! Oh, l'humain a accompli tant ! Mais, en vérité, qui est qui est le plus humain ? L'animal qui n'inflige la souffrance que dans la nécessité? Ou l'humain qui détruit comme il souhaite pour des semblants ?

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