Chapitre 5

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PDV Jungkook 

Messages- Conversation avec Chimchim 

*Chimchim vous a débloqué.*

Chimchim : Kookie je suis désolé 🙏

Chimchim : Je devais être défoncé ce soir là 🥺

Chimchim : Mais pleure pas 😭

Chimchim : Ça me brise le cœur 💔

Chimchim : Je serai toujours là pour toi d'accord ? 

Chimchim : ... Même si tu viens à m'aimer comme un homme ! 

Chimchim : ❤️

Chimchim : Je suis prêt à tout sauf te perdre 🥺

Golden Bunny : Ça va, j'ai compris Chim. 

Chimchim : Tu me pardonnes alors ? 

Golden Bunny : Je suis obligé de toute façon. 😪

Chimchim : 😘

Golden Bunny : 🙄

Chimchim : Arrête avec ce smiley, je t'ai déjà dit qu'il était éclaté 😒

Chimchim : Bref, je vais manger ! 😆

Golden Bunny : Bonne app

Chimchim : Merci 😆

Chimchim : Et abuses pas sur le régime 😊


PDV Beomgyu 

Je rentrais sans faire le moindre bruit dans l'appartement. Mais ce n'était clairement pas mon jour de chance, Jungkook était sur son téléphone, assis dans le salon. 

Lorsqu'il entendit la porte s'ouvrir, il relevait son regard vers moi. Je roulais mes lèvres, car il venait forcément de voir mon visage amoché. Il me regardait choqué… Sans bouger. C'était insupportable. Je commençais à pleurer et je partais m'enfermer dans ma chambre. 

Je voulais pas qu'il sache. 


PDV Jungkook 

Je n'avais pas réagi tout de suite, mais je venais clairement de voir Beomgyu rentré avec une très mauvaise mine. 

Je me levais soudainement pour partir le retrouver dans sa chambre. La porte était fermée, mais j'avais un double des clés, dont je n'hésitais pas à me servir. 

Lorsque la porte fut ouverte, je tombais nez à nez avec un Beomgyu torse nu. Il avait des bleus de partout. J'en eus un grave pincement au cœur. 

J'accourais vers lui, inquiet. Mais il me montrait bien que ma présence était de trop et qu'il ne voulait pas me voir. 

- Je suis ton frère Gyu. Tu peux me faire confiance. Qui t'a fait ça ? 

Je tentais de contrôler mon calme et rester un minimum serein, même si l'envie de faire un meurtre était bien passé. Je ne parvenais pas à décrocher mon regard de ses blessures, qu'il s'empressa de cacher avec une tissu. 

- Laisse moi. T'es pas mon père. 

Je contractais la mâchoire pour ne pas m'énerver. Il avait l'air d'avoir assez subi. Je m'asseyais lentement et sûrement sur son lit. 

Toxique CrushOù les histoires vivent. Découvrez maintenant