J'entends la porte. Je saisis les papiers et les jette derrière le lit. J'essaye d'essuyer mes larmes.
"Hey, salut bébé " il s'assoit sur le lit.
Je ne le regarde pas, j'ai pas envie qu'il voit que je viens de pleurer je baisse la tête.
"Salut" ma voix tremble.
Il baisse la tête pour essayer de voir mon visage , je tourne la tête .
"Ça va pas ? Qu'est que t'as ?"
Je n'arrive pas a garder mon sérieux, a faire semblant, J'éclate en sanglot.
Il se lève, choqué.
"Qu'est ce qu'il y a ?? Qu'est ce qui se passe ? "
Il s'approche de moi. Je met ma main entre nous.
"Non. Je veux que tu me ramène chez moi tout de suite"
"Non,dis moi ce qui se passe d'abord "
Je m'énerve et j'attrape les papiers. Je hurle en lui balançant la pile.
"VOILA CE QUI SE PASSE"
Il ramasse les papier sur le lit et s'assoit.
"T'as fouillé dans mes affaires? "
Non mais il se fout de moi la , c'est tout ce qu'il trouve a dire ? Je le fusille du regard.
"Écoutes je suis désolée que t'ai lu ça, je ne voulais pas, enfin c'est compliqué à expliquer"
Je met mon visage dans mes mains penchée sur le lit.
"J'étais jeune, je savais pas ce que je faisais et j'ai pas compris le sens de tout ça j'te le jure,
tu peux pas me reprocher un truc que j'ai fait alors que j'étais un gamin"
Je me relève. Je crie de plus belle.
"UN GAMIN ? ET C'EST QUOI TOUT CES PUTAINS DE RENOUVELLEMENT ?
C'EST TOI QUI A SIGNÉ CA NON , ET AVEC AUTRE CHOSE QUE DE L'ENCRE EN PLUS,
MAIS TU TE RENDS COMPTE , TU TE FOUS DE LA GUEULE DE TOUT LE MONDE, TU FAIS
DU MAL AUTOUR DE TOI, TU MA MENTIS, TU NOUS A TOUS MENTIT, A TES FANS,
TU LES MANIPULE"
"Moi aussi je suis manipulé"
"Non , non toi t'es juste un complice, pas la victime, "en échange de votre confiance
et de diffusion ,des services et loisirs a volonté vous sont offert" comme les putes Zayn,
les putes, la drogue et tout le reste, tu aimes ça ? Elle est passé ou ta religion ?
Comment t'as pu faire ça"
"Je te l'ai dit j'me suis fait endoctriner, je voulais réaliser la chose que je voulais faire depuis
petit, on m'a fait voir de belles chose j'étais un enfant"
"Et maintenant ? " Je n'arrive pas a me contrôler, les larmes tombent en flux.
"Et maintenant ? T'es quoi ? "
"J'ai essayé de partir je te jure, j'ai essayer d'arrêter tout ça mais j'ai pas pu"
"T'as pas pu parce que tu tiens trop a la débauche, au mensonge a la vie du diable
tu me dégoutes , te déplaces pas pour moi, j'vais partir moi même "
Je me lève il me dépasse et ferme la porte.
"Dégages Zayn "
"T'as dit que t'allais pas m'abandonner"
"Eh ben j'ai MENTIS, exactement comme toi tu le fais avec tout le monde"
"Je t'ai jamais mentit, je t'ai fait comprendre les choses, je ne voulais pas que
tu vois ça parce que je voulais te protéger "
"Oui comme eux quand il disent on vous garantis la PROTECTION, tu te rends compte
de combien de gamines on se fout ? Tu te rends compte qu'on leur lave leur cerveau
et que vous êtes complices de ça ? "
"J'ai pas le choix, c'est trop tard, je les aimes vraiment, mais je ne peux rien faire pour elles,
si c'est pas nous ce serait quelqu'un d'autres , je te jure que je suis un mec bien,
je te jure que j'essaye de tout arrêter mais on me menace, je peux rien faire,
si tu me laisse tomber j'vais mal finir , tu étais au moins la personne normale
dans ma vie avec ma famille, je vais me retrouver tout seul, je te jure que tout ça c'est des choses
pour lesquels je souffre déjà assez tout les jours"
"Pousses toi"
"Non pars pas"
Je l'attrape par le bras et j'hurle.
"Pousse toi laisses moi passer"
Il résiste . J'hurle et J'éclate en pleurs. Je tombe sur le lit. J'ai jamais eu ce genre de
crise avant, c'est peut être ça la déception.
Il s'agenouille devant moi.
"Arrêtes de pleurer. J'aime pas quand tu pleures, je veux pas que tu parles non plus,
je tiens trop a toi pour ça , me laisses pas tout seul contre eux".
Je regarde le plafond et je ne réponds pas.
Il expire. "Je vais te chercher un verre d'eau"
Il sort . J'essaye de me calmer. J'ai pas tout lu. Je n'ai lu que le début, je n'imagine même pas,
le contenu de contrats après 2011. J'essuie mes larmes.
Je suis complètement sous le choc. J'ai l'impression d'avoir été prise pour une idiote ,
un robot pendant toutes ces années qui admirait des personnes qui ne sont pas ce qu'on pense.
Zayn reviens avec les fils de son hoodie qui se balancent ,un verre et un comprimé dans la main.
"Tiens avales ça, ça va te calmer"
"J'en veux pas, je ne sais pas qui tu es, t'es un inconnu, tu vas me droguer ou me tuer ou
je ne sais pas ce qu'il te demandent, tu peux l'avaler toi même"
"Tu ne me fais pas confiance ? "
"Non"
Il pose le comprimé sur la table de nuit et me donne le verre d'eau. J'essaye de boire sans
renverser avec mes mains qui tremble.
Zayn ramasse les papiers et les pose sur le petit meuble et viens se remettre a genoux
devant moi assise sur le lit. Il me prends le verre et le pose sur la table de nuit.
"Tu veux bien m'écouter ?"
"Non, non je ne vais pas t'écouter, je vais rentrer chez moi et je ne vais plus jamais te voir
ni toi ni tes 4 autres marionnettes là.T'es un salop. Un connard, t'es le pire humain que j'ai
jamais vu, tu me fait peur, tu es le mal en personne, tu ne peux meme pas doser la haine
que j'ai envers toi, je te souhaite de payer pour tout cette mascarade. "
Ses yeux brillent, il regarde la télé éteinte et passe sa main sur ses pommettes. Je continue.
"Et dire qu'il y a des filles qui pleurent pour toi, qui pourraient se tuer pour toi, alors que toi
t'es juste une merde, t'es juste un mec qui ne pense qu'a lui même tu es prêt a rependre le
mal autour de toi juste pour avoir du succès, pour te vider les couilles sur des prostituée, pour
te sentir puissant, mais tu ne l'es pas, et dire que je t'admirais"
je fait un rire ironique, Zayn baisse la tête.
"T'es juste un looser, tu merites rien dans la vie et Badia avait raison t'es la honte
de ta famille, tes parents doivent avoir honte d'être dans ce genre de choses"
Il déglutis. Et garde sa tête baissée, sa mâchoire serrée et ses sourcils froncés pendant 20
longues secondes. Il lève la tête et ses paupières inférieures sont rouges.
"T'as pas le droit de parle de ma famille, t'as pas le droit de parler de mes parents,
je souffre déjà assez pour eux" il ne me regarde même pas quand il parle il regarde autour de lui.
"J'ai fait un truc immonde. Même pleins mais je suis pas un monstre,
ce que tu me dis je le sais déjà, je ne mérite pas mes fans et je ne te mérite pas toi ,
mais pas ma famille , c'est la seule chose dans ce monde qu'il me reste,
c'est la seule chose au monde qui m'emepeche de mourir"
J'arrête de respirer. Qu'est ce que j'ai fait. Pourquoi je lui ai dit tout ça ?
Pourquoi j'ai parlé de sa famille ?
"Je suis coincé je ne peux plus revenir en arrière" il me regarde. Les vaisseaux de ses yeux rouges
réapparaissent.
"J'ai juste besoin d'aide, je ne peux raconter ça a personne ma famille s'inquiéterai même
si eux même sont sous contrat"
"Quoi ?? C'est une blague ?"
"Non...mon père a jamais été d'accord avec tout ça mais il l'a fait parce qu'il m'aime
ils ne connaissent pas les conséquences sinon ils ne l'auraient jamais fait.
Leur seuls rôles sont de jouer le jeu sur le point de vue marketing, comme parler des produits
à notre effigie ou encore avec emma"
"C'est une blague ? Ta famille a accepté ça"
"Pour moi, oui, je suis désolé , désolé si je t'ai choqué et si je t'ai fait du mal ,
mais je t'assure que si je pouvais j'aurais jamais signé ça"
Sa tête me donne envie de pleurer encore. Il a l'air complètement perdu,
complètement dégouté, fatigué et désolé.
"Je ne peux pas vivre dans le mensonge Zayn ,dans le péché comme ça c'est pas possible,
je côtoie tes fans tout les jours, je ne peux pas les regarder et leur dire que tout a bien alors
que tout ça c'est un coup monté machiavélique , je ne peux pas être sous contrat je ne peux
pas me vendre, jamais"
"Tu ne le sera pas, tu ne le seras jamais, je ne les laisserais jamais t'approcher ni même te
connaître, tu n'auras rien a voir avec eux, je te veux juste pour moi, ne m'abandonne pas,
je flancherais je te le promet"
"J'ai besoin de réfléchir, je vais rentrer chez moi"
"Non, ne restes pas toute seule avec tout ça dans la tête je t'emmène dans ma maison à Hyver Hill
, je te donnerais une des chambres, tu dormiras seule, mais je veux t'avoir a l'œil "
"Non"
Il prends mes poignets avec hésitation.
"Fais moi confiance, je sais que c'est pas vraiment facile avec tout ça mais je te promet
que t'as rien a voir avec tout ça, je te promet que je suis vraiment sincère, laisses moi une chance
de te le prouver"
"Je pourrais pas tu vois. Je ne pourrais pas me dire que tu fais ces choses avec ces monstres,
je ne pourrais pas me dire que tu te fous de tout le monde pour de l'argent, je ne pourrais pas me
dire que t'es hypocrites avec des millions de gens, et je ne sais encore rien d'eux, je suis sûre
que c'est encore pire que ce que je penses"
"Je ne suis pas hypocrite, je t'ai dis que je les aimaient sincèrement "
"Mais tu te sers d'elles"
"Non c'est eux qui le font"
"Mais en t'utilisant donc tu es complice"
"NON ! " il se lève et croise ses mains derrière sa nuque, il les pose finalement sur le lit de part
et d'autre de moi. Il me fait face.
"Je t'ai dit que non, je t'ai dis que j'étais sincère, on m'utilise aussi"
"Alors pourquoi tu pars pas ? "
"Parce que je n'ai pas le choix tu ne sais pas de quoi ils sont capable"
"Non vas-y expliques moi"
"Je peux pas, je ne sais pas"
Il s'allonge sur le lit horizontalement, la tête qui pend a la fin du lit. Il regarde en l'air.
"Un jour je le ferais quand même, mais pas tout seul, je ne peux pas tenir tout ce temps tout seul"
C'est difficile a avaler, mais j'en sais pas plus pour l'instant, et c'est vrai qu'il était jeune quand
il a commencé.
"Bon, on part chercher mes affaires"
Il se relève.
"Tu viens chez moi ? "
"Si t'as une chambre pour moi,oui"
Nous sommes sur la route vers Hyver Hill dans le nord de Londres après être passés chez moi
vers Westminster prendre mes affaires. C'est le silence, on ne se parle pas, il y a une sorte de
tension dans la voiture. Le soleil commence à se coucher, et nous entrons dans une petite ville.
Il y a un petit restaurant en bois blanc avec des pancartes de buffet à 6 Livres rouges et blanches.
Des petites stations d'essences, c'est très propre, très vert, on dirait qu'on est pas vraiment à
Londres, ça me fait un peu penser à des campagnes françaises. Il prends une route de terre,
bordée par des grands arbres. Il y a d'immenses champs sur les côtés. Au bout de cette route, nous
arrivons dans une rue résidentielles, très spacieuse, avec une vue magnifique sur le coucher du
soleil. Il a plusieurs maison , beaucoup d'arbre, très évasé. Il s'arrête devant un portail blanc
ouvert Il avance doucement avec sa voiture, il y' en a déjà 4 ou 5 à l'interieur. Il y a des échelles
contre la grand maison marron et blanche. C'est très rustique encore une fois ça me fait penser
aux grandes villas françaises. Il sort de la voiture.
"C'est ici, descends"
Je descends de la voiture. L'air est vraiment agréable, et c'est vraiment calme. Je me sens d'un
seul coup magnifiquement bien. La maison est entourée d'arbre. Zayn prend mes affaires dans
le coffre, un grand sac Armani en cuir brillant beige. Il ouvre la porte arrondie de la maison.
J'entre et à ma grande surprise, la maison est complétement aménagée. Vu de l'exterieur je
pensais qu'elle serait vide et en travaux.
Il y a un grand sas d'entrée blanc, avec une énorme cheminée en pierre a gauche. La maison est
magnifiquement éclairée et très spacieuse. Il y a de l'autre côté de grands escaliers en bois clair
et blanc. C'est illuminé. Le salon est immense , il est coupé en deux parties ouvert sur la même
pièce. Les fenêtres il y en a par dizaines, s'assemblant aux couleurs de la décoration, du
blanc, du rose, du jaune. Sur le parquet clair, des tapis de couleurs. Il a pleins de canapé blancs
et noir disposé dans l'énorme pièce. Il y a un billard, une très grand télé.
"Je m'attendais pas vraiment ça, c'est magnifique"
Il pose la sac sur la première marche des escaliers.
"C'est ma mère qui a fait la déco"
"Eh ben ta mère a des goûts exquis"
Il sourit.
"J'te fais visiter ?"
"Oui"
Il m'emmene dans la cuisine à part. La cuisine est très très grande toute blanche, avec un bar-comptoir
en plein milieu, en face, une énorme table en verre qui donne sur une très grande baie vitrée
ouverte à la terrasse.
"Viens je te montre dehors"
La vue me coupe le souffle. Il y a un ÉNORME terrain vert entouré d'arbres. La terrasse est en
plancher en bois, avec une autre table ronde, avec des fauteuils visiblement confortable.
"C'est vraiment magnifique"
"J'ai une piscine fermée, elle est vers le garage, on verra ça plus tard"
Il sait nager ? Il me semblait avoir entendue que non.
On monte les escaliers. Le couloir est immense, avec juste avant et juste après un très grand hall
entouré de fenêtre, le plancher est blanc, c'est incroyablement lumineux. Les chambres ont des
doubles portes blanches.
"Il y a 6 chambres, et chaque chambre a sa salle de bain, il y en a une en bas et une au bout là-bas
aussi"
"Chaqune de tes soeurs a sa chambre ?"
"Elles ne sont pas encore venues dans cette maison une fois terminée, la derniere fois ma mère
venait de finir la déco, les chambes sont faites un peu à l'identique"
"D'accord"
"Ma chambre est la première là à droite"
On entre. Encore très eclairé malgrès le soleil qui se couche encore. La chambre est blanche et
marron et très moderne. Il y a un très grand lit contre le mur avec une tête de lit en daim sur
le mur. Il y a une chaise de détente sur le côté des lampes blanches très design et un écran
encore plus grand que celui de son appartement. Ce n'est pas chargé mais c'est vraiment
très beau.
"Et toi je vais te donner la chambre en face"
Un lit baldaquin avec des draps qui tombe du plafond ! J'en rêve depuis que je suis petite ! La
chambre est très éclairée, il y a un canapé du styles royale collé à la fenêtre qui donne sur le
grand jardin, avec des coussins cylindré. Une commode blanche, ça sent un peu la peinture.
Ca se voit que tout est neuf.
"Si tu veux dormir seule, je te laisse ici, mais restes au moins avec moi la soirée"
Je regarde ma montre il est 19h.
"Ok, mais je vais me changer, quand je suis dans une maison, j'aime bien être à l'aise"
"Tu as raison, j'te laisse te changer"
Pour une fois.
"Je t'attends en bas,dans le salon"
"D'accord'
Je met un short Nike rose à ficelle, j'adore les shorts qu'ils font je dois en avoir au moins
une trentaine, pour faire du sport ou pour dormir c'est vraiment confortable. Et je met un gilet
à capuche noir au dessus de mon débardeur blanc que Badia avait laissée chez moi,
c'est la marque de son cousin, il ya un juste trois petit points blanc dessus, je crois qu'il ne
s'est pas vraiment foulé pour le logo. Il fait vraiment bon dans la maison.
Je descends, Zayn n'est pas dans le salon. Je vais doucement vers la cuisine , on dirais que
je me sens comme une intruse.
"J'essaye de faire griller des steack haché, je te promet que ça va être bon, mais au moins
j'essaye"
Je sourit.
"Pousses toi, laisses moi faire"
"T'as pas besoin de me le dire deux fois"
Il se dirige vers le frigo et sort une bouteille de coca.
"Tu veux faire quoi avec ces steaks haché ?"
"Je sais pas, les manger ?" il prends un verre sous le comptoir au milieu de la grande cuisine.
"Avec quoi ,"
"Je ne sais pas, j'y ai pas pensé"
Je souris.
"T'as des frites ?"
"Regardes dans le congelateur, je pense que oui"
"Oui, y'a plein de choses même"
"Ma mère "
"Oh je vois."
Je prends les frites. Je vois une friteuse noire sur le plan de travail.
"Elle est neuve, tu manges jamais ?"
"Je t'ai dis que je venais à peine de récupérer la maison"
"D'accord"
Je regarde dans le placard. "Mais ta mère elle a fait toutes ces courses quand ?"
"La semaine dernière, quand j'étais en tournée, elle est venue et elle l'a fait pour moi, pour que
quand je rentre j'ai de quoi manger"
"Alors ta mère est venue de Bradford pour ça ?"
"Oui sinon je le fais jamais"
"T'es un sacré bébé Zayn"
Je trouves des pains Hamburger.
"Hamburger frites ça te va ?"
"J'aurais préféré les lasagnes que tu m'a faite mais j'ai pas le choix"
"Non t'as pas le choix"
Il sourit et bois son verre de coca, assit sur devant le comptoir-bar.
"Oh, au faite !"
Il se lève, et disparaît de la cuisine. Il réapparait quelques secondes plus tard.
"Ça"
Il pose une carte bancaire noire sur le comptoir.
"Me dis pas non, on s'était mit d'accord"
"Tu veux que je fasse quoi de ça"
"Ce que tu veux, je ne te dis pas combien il y a dedans, si t'en a plus je t'en remettrais, je vérifierais
et ne fais pas celle qui la prend pour rien"
Il s'assoit.
"Quand on ira à Los Angeles, tu en auras besoin"
"Qui a dit que j'allais venir avec toi ?"