- 𝐀 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐛𝐚𝐢𝐠𝐧𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞𝐬, 𝐨𝐧 𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐞𝐧 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞.
N'ayant pas les moyens de payer les frais d'hospitalisation de son frère, Hokori vend ses services depuis bientôt...
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Son corps transpirant était collé au sien, leurs peaux chaudes semblaient entrer en ébullition tant la tension de ce moment était intense. Seule la lune éclairait la pièce rythmée sous les respirations saccadées. La prise présente sur ses hanches se resserra et un long râle cassa le silence. Son corps tremblant retomba sur celui du jeune homme en dessous et elle lâcha un long soupir.
« — N'oublies pas d'me payer, j'ai déjà un autre rendez-vous dans vingt minutes.
— À cette heure ? Il est deux heures du matin Hoko'. »
La jeune femme se redressa, ses mèches blanches tombant sur son front alors que son regard aussi froid que la glace se posait sur le visage écarlate de l'homme en dessous d'elle.
« — Comment est ce que tu crois que j'peux me payer autant de choses, Kisaki ? J'passe pas mes journées à rien branler comparé à toi. »
Un rire échappa au concerné qui s'était redressé sur ses coudes, jaugeant du regard la jeune femme. Cette dernière venait de quitter le lit, ses longs cheveux tombant au creux de ses hanches, cachant son dos nu et marqué par les ébats.
« — Wow, okay, t'es toujours directe comme ça avec tes autres clients ?
— J'vois pas en quoi ça te dérange, tu prends jamais c'que je dis au sérieux de toute manière. »
Elle leva les yeux au ciel sous l'exaspération et fila dans la pièce communicante avec la chambre.
« — J'vais prendre une douche, j'ai ton parfum sur moi et l'odeur est insupportable. »
Sur ses mots, elle claqua la porte menant à la salle de bain et en ressorti une bonne dizaine de minutes après. Le corps recouvert par un peignoir en dentelle bleue dont les manches étaient brodées de façon à être plus épaisses que le reste de cette tenue légère.
Entendant le bruit de la porte, Kisaki tourna sa mine fatiguée vers la jeune femme et ne pût retenir un sourire en coin lorsqu'il senti le corps de la jeune femme de nouveau sur lui. Elle était assise à califourchon sur lui, son visage proche du sien et ses mains froides sur le haut de sa poitrine.
