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Pdv akihiko

Il en a du culot celui-là ! Comment il ose venir devant moi comme ça ?

- C'est très jolie. Vous avez sue la rendre erotique aux yeux du public.

- C'était facile.

- Vous gâchez votre talent à prendre ce genre de photo pour faire un scoop. C'est pitoyable

- J'en ai pris plein d'autres que je n'ai pas encore donné à Eiji.... Comme celle là par exemple. Magnifique n'est ce pas ?

     Il fit sortir une photo de sa poche. C'était moi et Yukio en train de nous embrasser. Il nous a vraiment suivis ce mec. Comme un reflex, je m'avança vers lui et lui retire la photo des mains pour la déchiré.

- Vous pouvez la déchiré. Je l'ai en numérique.

- Que voulez vous ? Dis-je sur un ton calme.

- Je m'ennuie vraiment en ce moment. Je veux conclure un marché.

- C'est cette photo que vous vous prépariez à montrer ce soir ?

- Oui. Je devais aller donner au chef une meilleure photo que celle publié sur les chaînes et magazines. Mais je ne lui ai pas encore fait part de cette photo.

- Et vous voulez conclure un marché ? En quoi consiste-t-elle ?

- Si vous me procurer une meilleure photo que celle là, je ne donnerai pas cette photo, et on aura pas à la montrer ce soir.

       Je pensais à ma carrière et à la carrière de yukio. Une seule photo pourrait nous détruire lui et moi. L'entreprise qu'il a améliorer et tous ses efforts n'aurait servi à rien. Tous s'enchaînent si vite. Et quand il parle d'une bonne photo qu'entend t-il par là ?
Mon esprit est totalement embrouillé ! Que dois-je faire ? Si Yukio reste avec moi ça carrière risque d'en pâtir. Mais je ne veux pas non plus le perdre.

- Prenez ma carte. Donnez moi une réponse avant la diffusion aujourd'hui. Je vous laisse.

      Il me donne sa carte et pars comme il était venu. Je restais là à cogiter un moment, avant de prendre la route pour la clinique de notre médecin familiale. Il est le seul à connaître mon genre alors c'est chez lui qu'on vas habituellement.
Une fois arrivé, je fus vite prise en charge. Il me fit un prélèvement sanguin et je devais attendre pour avoir les résultats.
En attendant, je rallume mon téléphone et remarque des milliers d'appels et messages en absence. Je soupire intérieurement, avant de finalement appeler mon frère.

- Allô ?

- Akihiko ! J'ai vus les infos ! Ça vas ? Comment ça se passe avec Yukio ? Et le travail ? Tu es où là ?

- Nii-san... Je vais bien et grâce à livaï-San, on arrive à gérer la situation. Pour Yukio j'aimerais éviter le sujet pour le moment et je suis à la clinique du docteur leolio. Tu pourrais envoyer un chauffeur ? J'aimerais dormir chez toi ce soir.

- Mmmh !... Je comprends. Bien sûr ! Il arrive. Quand tu seras là tu as intérêt à me dire ce que tu faisais à l'hôpital

- Oui.

     Je raccroche, et je me perdis une fois de plus dans mes pensées. Je me rappelais de beaucoup de choses concernant Yukio et l'évolution de l'entreprise. Il capte vite l'attention des gens et accroît bien la productivité de l'entreprise. Ça serait catastrophique si à cause de ce scandale il perds sa notoriété.
L'entreprise jungo est l'un des plus influents et doit toujours être à l'affût pour éviter n'importe quel scandale. Mais cette fois ils n'ont pas su éviter ça. Personne ne s'y attendait. Que faire ? Je ne veux surtout pas qu'il soit confronté à ce genre de choses. Même si on finit par arrêter ces rumeurs par le plus grand des miracles, il sera toujours dans une position délicate et l'entreprise de mon frère aussi. Finalement ce genre de relation n'est bénéfique pour personne.
Je m'en part de mon téléphone et envoie un message au photographe de toute à l'heure, après avoir enregistré son numéro.

<< j'accepte le marché >>.

     Quelques minutes plus tard, le docteur vint vers moi avec une fiche dans la main.

- Akihiko

- Alors docteur ?

- Le risque de grossesse était grande mais heureusement tu n'es pas enceinte

- Vous en êtes sûr ?

- Oui !

- Merci beaucoup... Quel soulagement.

    Au moins ça à été une des meilleurs nouvelles depuis que je me suis réveillé aujourd'hui. Je ne sais pas comment j'aurais réagis si j'étais vraiment enceinte.
Un petit moment plus tard, le chauffeur qu'avait envoyé akira était arrivé. Je rentre dans la voiture et il me conduit directement chez mon frère. Sur le chemin, le photographe à répondu à mon message.

<< Je vous ferai signe du jour où nous allons prendre les photos alors >>

J'espère vraiment que tout vas bien se passer et qu'il n'y aura pas de diffusion ce soir comme prévu.
Une fois arrivé à la maison de mon frère, c'est lui même qui est venue m'accueillir au devant de la porte. Il doit vraiment être inquièt. C'est sûr aussi que les journalistes les ont déranger toute la journée. Quand il me vit, il me prit dans ses bras, et moi sans hésiter, je renforçais notre étreinte. Il me fallait vraiment cette chaleur familiale. On entra à l'intérieur, et je vis kuroko avec le petit kagami sur le tamis au salon. Je les rejoins et salut kuroko.

- Ça vas Aki-kun ?

- Oui tout vas mieux maintenant.

- Tchon... TchonTchon !... ( il veut dire tonton)

- Salut kagami.

- Akihiko vient dans mon bureau il faut qu'on parle.

  J'appréhendais un peu la situation. Comme je lui avais promis au téléphone, j'allais tout lui raconter.
Je dépose kagami auprès de kuroko et suivis mon frère dans son bureau.

- Alors ?... D'abord pourquoi tu étais à la clinique de leolio ?

- Il y avait de forte chance que je sois enceinte mais ce n'est pas le cas. C'était juste un examen pour être sûre.

-... Bien. Et pour Yukio ? Qu'avez vous décidez suite à cette évènement ?

- Rien pour le moment. Yukio doit s'occuper des problèmes de son entreprise et moi de ma carrière en tant qu'acteur. Je lui ai dit de dormir chez lui ce soir.

- Et livaï ? Que t'as t-il dit ?

- Je vais temporairement arrêter les tournages pour voir comment évolue les choses.

- Yukio tu est sûr que tout va bien ? C'est vraiment beaucoup pour une seule personne en une journée. Il n'est même pas six heures du soir et regarde moi tout ce bordel ! Et pour la diffusion de ce soir ?

- On a décidé de voir ce qu'il vont diffuser. Tout ce qu'on doit faire c'est garder notre sang froid et éviter la presse au mieux.

- Akihiko... Tu ne me dis pas tout n'est ce pas ?

- Je t'ai tout dit akira.

    Il soupire sachant que ce n'était pas le cas et qu'il n'obtiendrait rien de moi. Il se leva de son siège me disant que je pouvais aller me reposer dans ma chambre.
Je suis un vrai boulet pour ma famille. Il s'inquiète tous pour moi et je ne sais pas quoi faire dans ce genre de situation.

    Le soir venus, je m'installe dans la salle de séjour, et allume la télé pour les nouvelles.

- La société SAMPLE vient de nous informer qu'il ne diffuserai pas ce soir pour certaines raisons mais qu'ils ont bien des preuves qu'ils aimeraient nous faire partager. La société nous demande d'avoir alors un peu de patience.

  Je soupire soulager d'avoir entendu ces nouvelles. Il a belle et bien respecté son accord.

celui que je désire le plus Où les histoires vivent. Découvrez maintenant