comment c'est arrivé ? 6

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(avant de commencer, je tiens à préciser que ce chapitre contient que du lemon donc si vous êtes sensible passer votre chemin et pour les autres,  bonne lecture~~)

C'est la question que je me suis posée. Comment je suis arrivé dans la chambre de mon supérieur et à avoir une relation sexuelle avec lui. Je prenais du plaisir, je le voulais depuis longtemps mais sous l'effet de l'éxitation, je n'avais pas eu loisirs de me souvenir de comment j'avais réussi à avoir du plaisir si intense et charnelle avec l'homme qui occupe mes pensées depuis dieu ne sais combien d'années. J'y réfléchis, peu à peu, les souvenirs refont surface.

Flashback :

Nous étions dans le réfectoire, chacun à sa table respectifs, moi dans celle de mon escouade et lui dans celle des gradés, il sembla remarqué les quelques regard que je lui lancée, mais ne fis comme si ne rien était. Je me perdait dans ses yeux orageux, au point qu'il se leva, et vint dans ma direction pour me dire : "dès que tu as fini de manger, viens dans mon bureau, j'ai as te parler."
Mes camarades de tables me lançaient des regards plein de sous entendu, cherchant une réponse que moi même je ne savais pas. A cet instant je ne savais pas où ce l'a me ménerais, le seul moyen de le savoir, étais de le rejoindre dans son bureau.

Je décida de vider mon plateau et de rejoindre ce foutu bureau.

Il m'a dit de lui répondre franchement et sans passer par quatre chemins : il m'avait demandé si je l'aimais, je lui avais répondu "oui", il m'avait demandé si je voulais le faire avec lui, je lui il avait répondu que oui je le voulais vraiment et il m'avait demandé si c'était le coup d'un soir ou si je voulais commencer une relation, je lui avais répondu que s'il me le permettais, je voulais passer le reste de mes jours avec lui. Il était rassurer que je ne sois pas comme toutes ces filles qui veulent passer dans son lit. Il a toutes suite étais dominant, m'ordonant de me déshabiller et de m'allonger sur son lit, ce que je fis. Une fois nus et allongée sur le lit, il m'avait ordonné de me touchée devant lui et de le regarder dans les yeux, alors j'executas. Je passais ma main sur mon clitoris et commença a le masser, en exerçant une pression, je m'était déjà donné ce plaisir en imaginant le caporal me regarder avec envie mais je ne pensais pas que mon fantasme aller être assouvie, et pourtant il était la devant moi assis sur chaise devant moi en train de me regarder me toucher et cela sembla l'exiter puisqu'en baissant le regard je pus voir une bosse sur son entrejambe. L'erreur que j'avais faite étais de quitté son regard alors qu'il me l'avais interdit.

Fin du flash- back :

Il se leva à une vitesse fulgurante et ce positionna au bord du lit et me toisa de toute sa hauteur.

Livaï : je pensais avoir étais clair, je t'ai pourtant donné l'ordre de me regarder dans les yeux.

Je n'eus pas le loisir de répondre car d'un coup sec, il écarta mes jambes et regarda mon entrejambe caché de ma main, elle même recouverte de ma cripine.

Livaï : retire ta main.

Ses ordres étais sec et claire, impossible pour moi de rechapé mais c'était jouissif, d'être soumettre à l'homme qu'on aime. Alors doucement j'enlevai ma main, lui laissant le champ libre. Il regardais ma vulve avec envie, mais au lieu de sa, il lacha mes jambes et repartit s'assoir sur sa chaise.

Livaï : viens t'asseoir sur mes genoux.

Je m'éxecuta sans broncher, j'étais maintenant assise sur lui complétement nu, à cette pensée je rougis ce qu'il remarqua.

Livaï : quoi ? Je te fais de l'effet ou c'est le fait d'être nu, sur mes genoux ?

Il attendait une réponse que je n'arrivais pas à formuler.

Livaï : répond.

Tp : les deux~

Il venait de glissait deux doigts en moi, me fessant gémir.

Livaï : je ne crois pas t'avoir donné l'autorisation de gémir donc je ne veux pas t'entendre jusqu'à que je te l'autorise es clair ?

Tp : oui

Livaï : oui qui ?

Tp : oui mon caporal

Livaï : c'est bien, j'aime quand tu est docile, maintenant déshabille moi.

Je le regarda me demandant si j'avais bien entendu mais son regard me fit comprendre que si je tardait à appliquer ses ordres, j'allais prendre chère donc je commença à le déshabiller, commençant par défaire les boutons de sa chemise, ensuite lui enlever. Je m'était lever pour me mettre à hauteur de son jean. Je défis son bouton pour ensuite descendre le braguette. Il leva le bassin pour que je puisse le lui enlever. Il était maintenant en sous-vêtements et moi toujours à genoux face à lui et complétement nu. Je le regarda pour lui demander si je devais continuer et il me fit comprendre par son regard. Alors lentement je baissa son caleçon laissant apparaître sa verge gonflé de plaisir. Il écarta ses jambes.

Livaï : maintenant, suce moi.

Je regarda sa verge avec envie, je voulais le sucer, oh que oui, mais être autant soumise me gêner, mais je n'eus pas le loisir d'y penser plus puisque mon supérieur venais d'enfoncer son pénis dans ma bouche.
Après hésitation, je commença des vas et viens, d'abord lent puis de plus en plus rapide, je passa ma langue autour de sa verge, je l'entendit grognait tel un animal en pleine rut, alors j'accélèra, pour lui faire monter le plaisir. Au bout d'un certain temps, il finit par verser sa semence dans ma bouche que j'avala. Je me remit sur pied et il m'ordonna une nouvelle fois de m'allonger sur le lit. Une fois fait, il vint se mettre au dessus de moi et m'embrassa pour la première fois depuis que l'on a commencé.

C'était un baisé doux et plein d'amour contrairement à son comportement de dominant et  strict qui ne laisse aucun répit. Alors je profita de se baiser en mettant mes mains autour de sa nuque. Je le détailla longuement, il était vraiment bel homme, des cheveux d'un noir intense, des yeux peu commun qui reflettais à la fois sa tristesse et son bonheur, une mâchoire contractant du au plaisir qu'il nous donner, et une peau de porcelaine qui à l'air si fragile et dur à la fois.

Il commença a placer son engin devant mon entrée mais s'arrêta dans son élan, pour me dire quelque chose que je ne voulais pas entendre de sa part.

Livaï : tu es vierge ?

D'un coup je ne sais plus où me mettre, il s'attendait surement à avoir une femme mur qui a déjà vécu des expériences avec d'autre homme, mais au lieu de sa, il fait face à quelqu'un qui ne l'a jamais fait. Il compris que la panique avait commencé  à prendre le dessus.

Livaï : ce n'est pas un reproche, je n'est juste pas envie de te faire mal, et puis si sa peux te rassurer, moi aussi je le suis, tu es la première.

Je n'arrivais pas y croire, cet homme qui a tout pour plaire malgré son caractère est vierge.

Tp : oui je le suis. Répondis-je doucement

Livaï : regarde moi.

J'encra alors mon regard dans le sien et il m'embrassa une nouvelle fois, au même moment il me pénétra de manière douce, j'avais mal certe mais il me l'a fit oublié en continuant de m'embrasser, dès qu'il senta que j'étais prête, il commença à se mouvoir en moi et je trouvais sa plutôt agréable même existant. Il commença lentement pour ensuite se laisser aller à ses pulsions primaire et d'accéléré. Sa me fessait du bien, j'oubliais tout et juste nos deux corps "emboîter" l'un d'un l'autre était tout ce qui conpté. Je sentais qu'il allait venir, alors je fessait des coup de bassin pour accélérer toujours plus jusqu'à obtenir une jouissance commune. Il attendit quelques minutes pour s'enlever de moi, et pendant ce laps de temps je me blotti contre son torse musclé et je pouvait entendre son cœur battre la chamade. Il me decola de lui pour me regarder dans les yeux.

Livaï : pas mal pour une première fois...

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Bon, je crois que c'est le one shot le plus long mais je le trouve bien (en même temps quand c'est lemon avec notre caporal c'est toujours bien ), dite moi se que vous en pensez sa pourrais m'aider à m'améliorer^^.
Aussi vu que se sont les grandes vacances et que je vais rester cloîtré dans ma chambre attendez a plus de notification de ma part.

Bisou.

livaï x reader : one shotOù les histoires vivent. Découvrez maintenant