Il me disait souvent que c'était la dernière fois, qu'il ne recommencerai pas, mais je sais pertinemment qu'il ment et pourtant, je reste avec lui, pourquoi ? L'amour surement...Je n'en est jamais parlé à personne, c'est bête mais j'ai pas envie qu'il perde son poste dans les brigades spécial. Moi je voulais faire l'armée mais il a refusé et m'a dit que j'en étais incapable, et quand je lui est dis que sa me tenait à cœur, il m'a battu encore une fois. Après j'ai décidé d'abandonner cette idée. J'avais déjà de la chance qu'il s'en aille pas.
Donc je continue mon travail, il me plaît pas tant que sa, mais c'est le seul qu'il a accepté, alors je continue mon job de serveuse. Je travaille dans un salon de thé, il est assez réputé dans le mur rose. Nous servons de bon thé et le personnel est agréable, rien de mieux que de se poser après une dur journée de travail. Et puis sa me permettais d'oublier ce quotidien, ou quand je rentre à la maison, j'ai peur, peur de faire quelque chose de travers au risque de me faire insulter ou frapper. Alors je continue de travailler tout en veillant à cacher les bleus visible.
Depuis un certain temps, il y a ce fameux caporal du bataillon qui vient régulièrement, et il s'avère qu'il est plus qu'amateur en terme de thé. J'ai eue l'occasion de discuter avec lui, et il est plus sympa qu'il en a l'air.
Mais un jour mon mari est venu me chercher car il finissait plus tôt et nous a surpris en train de parler. Il a dû se dire que je flirter... Autant vous dire que j'ai dû prendre quelques jours de congés. Je n'arrivais plus à marcher correctement. Il y a allait fort cette fois.
En reprenant le travail, j'essayais d'éviter ce cher livaï, je m'en veux ne pas pouvoir lui donner d'explication.
Serveur : tp, tu peux aller prendre la commande de la 3, s'il te plaît.
Tp : pas de soucis.
Je m'avançais vers la table en question mais j'apperçus le caporal qui me fixa les sourcils froncé, il ne devait pas s'attendre à ce que se moi qui prenne sa commande... Non c'est pas, il y autre chose.
Tp : bonjour caporal, je vous sers comme d'habitude ?
Livaï : oui, après nous pourrons discuter 5 minutes ?
Je voulais lui répondre que non, par ce que si il me voyais se serait certainement la fin, je sais qu'il est capable d'exécuter ses menaces.
Tp : si vous voulais.
Je sais pas ce qu'il m'a pris de répondre oui, mais bon maintenant c'est trop tard.
Livaï : bien.
Je repartis pour préparer son thé et revint quelques minutes plus tard.
Tp : tenez caporal.
Livaï : merci, tu peux t'asseoir.
J'executas en silence.
Tp : allez-y je vous écoute.
Il me fixa longuement avant de dire.
Livaï : il vous frappe n'est-ce pas.
Tp : de qui vous parler.
Comment peut-il savoir, comment il sait, lui, alors que mon entourage ne l'a jamais remarqué ?
Livaï : je vais être franc, je sais qu'il te frappe, sa se voit, quand il est venu te chercher, il avait pas regard d'amant qui aime sa femme, non, il avait un regard d'homme qui bat sa femme, et puis difficile ne pas voir le bleu que t'a sur le cou, Al-
??? : Tp.
Je me figea, pourquoi était-il la, enfin pour une fois sa m'arrange, sinon il aurait deviné.
Tp : oui.
Je me retourna, et le vis s'avancer non pas vers moi mais vers le caporal.
Tp : s'il te plaît, ne lui fait rien de ma-
Mari : toi tu te la ferme, j'ai des conte a régler.
Caporal : j'imagine que j'ai affaires a celui qui bat sa "femme" tout les jours ?
Mon mari se retourna vers moi.
Mari : ta dis quoi toi, hein ?
Il s'apprêta a levée la main sur moi mais une autre poigne vint l'intercepter.
Caporal : j'te déconseille de touché à ma femme, sinon c'est moi qui vas t'en mettre une.
Mari : si tu crois, pouvoir me faire peur, elle - dit-il en me pointant du doigt- elle est à moi. Alors ne vient pas te mêler de ce qui te regarde pas.
Cette fois ci, il leva la main sur livaï. Celui-ci leva un sourcil et mit à terre Phillipe ( c'est le nom du mari, oe je sais c'est un nom de merde).
Caporal : et en plus t'essayes de me toucher, je sais pas t'ai un gros porc, ou juste inconscient. Et tp n'appartient à personne.
Entre temp d'autres soldat sont arrivés et on enmener Phillipe.
Livaï : tu viens avec moi, ton patron te fais prendre congé.
Voyant que je ne répondez pas, il pris ma main.
Livaï : tu viens avec moi.
Tp : mais caporal je-
Livaï : j'rigolais pas quand je disais que t'étais ma femme, oh et puis appel moi livaï...
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Boujour, ou bonsoir d'ailleurs
J'espère que sa vous a plus et oui c'est autre de mes sujets qui me tient à cœur : les violence conjugale car oui malheureusement ma mère a vécu sa, et je trouve important dans parlé. Je trouve sa tellement ignoble que je sais même pas quoi dire a part pourquoi il y a " certaine" personne qui font sa ?
Aussi un autre point, je sais que c'est une infime minorité mais c'est important quand même car les gens on tendance a l'oublier mais malheureusement il y a aussi des femmes qui bat leur mari, c'est pas pour défendre qui que se soit, mais il est important de le dire pour cette minorité qui est souvent oublié.
J'espère ne pas avoir cassé l'ambiance, donnez vos avis sur le sujet en commentaire sa améliore mes écrits, et sa me fait plaisir de lire vos commentaires ^^.
Bisou
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livaï x reader : one shot
Fanfictionhey, sur ce "livre" il y aura que des one shot de livaï x reader, peut être des lemons 😌, j'éspère que sa vous plaira et bonne lecture !