Sous la chaleur du doux été, et les rayons lumineux du soleil. Une idée survenu à la jeune femme, habillé d'une tenu plutôt simple. Elle prit la direction vers un de ses endroit préféré. L' adolescente entra dans le café, et à la suite du tintement des clochettes, l'unique vendeuse s'inclina devant sa nouvelle cliente.
— Oh...Bonjour Okuda-san !
La brune s'inclina à son tour. Elle était une habitué dans ce café, s'était donc normale que la vendeuse la connaissait.
— Comme d'habitude, je suppose ?
— Non, ça sera une boisson pour Takemichi.
Elle acquisea, et s'en alla préparer la commande. Takemichi avait des goûts plutôt...spécial ? Mais en tout cas, la vendeuse savait exactement quoi préparer pour satisfaire sa clientèle. Surtout quand s'est pour l'un de ses clients préféré.
Après plusieurs minutes, la jeune femme revenu avec un sac en carton où il y avait surement sa commande.
— Merci, c'est combien ?
— Gratuit ! J'ai rajouté aussi quelques sucreries que tu aimes bien.
Okuda sourit, avant de la remercier, puis s'en aller. La vendeuse était quelqu'un de vraiment très gentille, la plus part des clients la considérait comme un ange. Ou pour les plus jeunes, une deuxième maman.
Elle ouvrit le sachet en carton pour apercevoir la boisson qu'elle comptait donné à Takemichi en signe d'excuse. En y repensant, elle avait trouvé que Takemichi voulait juste la protéger. Après tout, elle allait être porter disparu dans deux ans.
La brune commença à marcher vers l'arrêt qui la ramenera vers la maison des Hanagaki. Mais sa sonnerie de téléphone coupa ses reflexions.
— Allô ?
C'était la mère de Kiyame, Okuda Mao.
— Ma chérie, tu pourrais prendre ton frère avec toi pour aller chez Takemichi ?
— Oui, pas de problème !
— Merci, passe une bonne journée.
— Toi aussi.
Elle raccrocha à l'appareil, et s'en alla en direction où traine habituellement son petit-frère. Elle soupira se rappellant que s'était plutôt loin.
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La brune était assi sur un banc, ses deux mains encadrant sa tête. Sa respiration était saccadé à cause de la peur d'avoir perdu son cadet.
Elle avait cherché dans tous les recoins du parc. Mais aucune trace de Yū.
Si sa mère venait à apprendre qu'il avait disparu, elle allait beaucoup s'inquiéter. Ce qui pourrait même dégrader sa santé, après tout, Mao avait une santé fragile.
Okuda se releva de son banc, prête à refaire un tour dans le parc. Au cas où Yū se cachait pour lui faire une maivaise blague.
— Yū vend encore ses saletés ? Pensa à haute voix la brune.
Okuda tenait entre ses doigts, une sorte de boule, qui avait pour apparence un dorayaki. Mais elle savait très bien que même si s'était beau à regarder, la boule n'était en aucun cas mangeable.
Ayant marre du peu d'indice récolté, Okuda décida de s'en alla chez Takemichi, même si elle n'avait pas trouvé Yū. De toute facon, son cadet était assez intelligent pour retrouver son chemin tout seul. Enfin, elle l'espérait...
