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  • Dédié à Mélou ♥
                                    

J'ai été longue je sais (-.-) Mais bon vous êtes pas nombreux à le lire et je fais comme je peux avec ma mère qui comprend pas ce que je fais sur l'ordi xD.

 Sur ceux Très Bonne Lecture, en espérant que vous aprécierez. Je me permet de précisez que ceux qui ont une trop grande imagination sont prévenues, ce passage est... SANGLANT ^.^

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Après avoir préparé mon mini-sac, je partis faire un Au revoir à mes belles bêtes. Mais avant sa je mettais batût pour arrêter de pleurer. En revoyant celui de mon frère, je ne pus m'empêcher de retomber en larme, en courant jusqu'à ma chambre. A près avoir claqué la porte j'éclata en larme, sans me retenir. C'est alors que la porte de mon dressing claqua, en s'ouvrant en grand. Je fis des yeux ronds en voyant le vortex qui venait d'apparaître dans mon pauvre placard à fringues. Le cercle commença à tous aspiré... En faite non, rien ne bougeait sauf moi qui m'agrippait à mes planches de parquet en plantant mes ongles comme folle pour éviter d'être aspiré par cette horreur. Malheureusement pour moi je me mis à saigner et après ressentir une énième écharde ce planté dans mes doigts je lâcha prise en hurlant à la mort. Comme si sa pouvait servir à quelque chose me pensais-je. Alors je ferma mon clapet et me laissa engloutir par cette sorte de tornade en tournant, tournant, tournant... Si bien que je fermas les yeux. Je me sentais mal extrèmement mal. Un noir obscur s'offrît à moi comme accueil. Pas très chaleureux, mais passons. Après mettre levé et épousseté je regarda le paysage qui s'offrait à moi.

Ce n'était pas un paysage mais plutôt un grand couloir, un immense couloir couvert de portes. Il était extrêmement noir, sombre. Je sentais des sortes d'ombre maléfique, que je rencontrais. Je ne pouvais pas les sentir voyons ! Je suis malade, ou quoi ? Je voulus faire un pas mais un craquement rauque se fît. Je regardais le couloir, perplexe. Soudain toutes les portes s'ouvrirent en claquant. Les murs devinrent rouges, je ne bougeais pas pétrifié par la peur. Je tournais un peu la tête vers ses murs d'une couleur si étranges. Je m'approchais un peu plus pour voir cette mixture fluide, je mis mon doigt dessus. D'un coup des sortes de fantômes sortir la tête des portes. Il me regardèrent tous, je me mis à courir à en perdre haleine. C'est drôle de chose se mirent à crier des  sons sortant de l'ordinaire. Je les voyais, ils me pourchassaient. J'avais l'impression qu'ils voulaient s'emparer de mon corps. J'entendais leurs cris déchirant derrière moi. Ces cris qui me donnaient la chair de poule. Je courais mais pour aller où ? Je ne le savais pas, mais une chose seul compté échappé à ces sortes de zombie qui flottaient dans l'air. J'avais peur, pour la première fois de ma vie j'avais peur. Je sentis une douleur horrible se répandre dans mon dos. Tel qu'elle me fît tomber à genou, tête en arrière. J'hurlais, crachant du sang. Que m'arrivait-il ? Je devenais comme eux ?! Non, ils ne s'enfuiraient pas sinon. Je n'eu pas le temps de continuer mes réfléxions, la douleur me rappella que j'étais bien là. Que ce n'était pas un rêve. Je me sentis lourdement tomber.

Le noir se nicha dans mon esprit. Rien n'allait! Rien ne se passait comme prévue ! RIEN ! BORDEL ! Un image flou me vînt. Un jeune homme me portait, contre lui. Il était musclé d'après ceux sur quoi je m'appuyais. Je le vis me posais, il étais embêté, l'air stressé. Je vis un peu de dégout dans son regard, avant qu'il ne me pose et que le noir ne revienne. Un autre flot d'image revînt deux garçons m'étaient de dos. Une bande de cinq personnes étaient en face deux. Deus filles pour êtres et trois garçons pour être plus précise. Celui qui était plus en avant cria quelque chose d'incompréhensible et un des gars devant moi lui répondit :

- Elle est arrivé dans notre clan, va voir ailleur Sulfus !

Il devait être le garçon qui m'avait porté. Il avait une musculature de fou ! Bien mis en valeur pae son pull noir moulant. L'autre lui répondit quelque chose qui avait l'air violent vue que le deuxième jeune homme de dos se crispa. Celui qui m'avait porté lui pris le bras pour éviter qu'il se jette sur eux, il répondu ensuite par quelque chose du genre: Bat-toi dans ce cas. Ou quelque chose comme sa.

Mais que ce passe-t-il ? ! Des ailes ? ! 

Je suis folle ou quoi ? !

Future AngeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant