La Fin d'Une Douleur

98 6 4
                                        

Ouh ! Je me rends compte que ça faisait un moment que je n'avais pas posté mes propres histoires. J'etais trop occupée donc je postais seulement les traductions de ma collaboration, mais bon... en voilà une de moi !
Je tiens à rappeler que pour reconnaître les traductions et celles m'appartenant, vous devez regarder le titre. Les miennes possèdent un vrai titre, tendit que les traductions sont seulement des chiffres pour leur ordre, accompagné de ce signe "♧".
Et pour être sur, au début de chaque traductions j'affiche le compte de l'auteur original.
Voila voila... bonne lecture !

__________________________________________________________
_________________________________________


J'avais froid, j'avais mal. Alors que je sentais comme un courant d'air me frapper, j'ouvris les yeux avant de les refermer aussitôt. Ils me semblaient si lourds. Ils me brûlaient comme si je ne les avais pas fermés depuis des siècles.
Et ce bruit ? Ce bruit que j'entendais au loin, qu'est-ce que c'était ? Il semblait tambouriner dans mes oreilles comme ci il m'entourait dans une bulle. Il semblait si lointain, et pourtant si fort. Alors que je commençais à reprendre mes esprits, je me redressait doucement avant de remarquer quelque chose de très inhabituel. J'étais petite. J'etais faible et puissante à la fois. Devant moi, je pouvais voir des barreaux dorés. Derrière ces barreaux ? Rien. Une couverture semblait cachée le monde autour.
Mais attendez... les barreaux étaient partout ! Devant, derrière et même sur les côtés. J'étais dans une prison étroite.
Non... pas une prison, une cage ! J'étais enfermés dans une cage. Et... je n'etais pas dans ma forme humaine !
Je pouvais voir mon bec devant ma tête. Si je baissait la tête, je voyais mes grosses serres. Je sentais mes ailes qui ne pouvaient s'étendre, et surtout, je voyais mon beau plumage éternel.
Mais bien sûr ! J'etais dans ma forme de faucon, enfermée dans une cage.
Enfermée dans une cage ?
Que faisais-je ici ? Que se passait t'il ? Ou était mes enfants ?
Mes enfants ! J'etais censée être avec eux. Ils ne m'auraient jamais enfermés dans une cage, j'en concluais donc que j'étais capturée. Mais si j'étais capturée, cela voulais aussi dire que mes enfants étaient en danger, où que mes enfants étaient seuls.
Je devais les retrouver ! Je devais les protéger !

Alors que toute ces pensées me venaient en-tête, je commencais à bouger dans la cage. J'essayais de battre des ailes, je tapais du bec et je griffais avec mes serres essayant d'attirer quelqu'un. Et évidemment, cela fonctionnait.
Alors que j'étais très agitée, je sentis d'un coup quelques choses me tirer et avant que je ne puisse réagir, je vis la couverture se retirer rapidement, me laissant maintenant aveugle face à l'intense lumière du soleil.
Il faisait jour et le soleil me brûlait la rétine. Autour, j'aperçus de l'eau. Beaucoup d'eau, et au loin, je pouvais voir la terre. J'étais sur la mer, dans un petit bateau à moteur qui semblait peiner. Mais comment était-ce possible ? En 1943 il n'y avait pas de bateau à moteur... a moins que...
Quand je tourna la tête à l'opposé, je vit la cabine du capitaine, et aussitôt j'ai sus. Je n'étais plus en 1943. J'étais maintenant dans le monde moderne en 2016.
Mais cela ne répondait pas à ma question. Je ne savais toujours pas se que je faisais ici, loin de chez moi, loin de ma boucle et surtout, loin de mes enfants.
Alors que l'angoisse commençait à m'envahir, je dirigeais à nouveau ma tête vers le pont, avant d'être pris d'un soudain frisson.
Un homme de couleur noir en toute évidence, tenait la cage au niveau de sa tête se qui me permettait de l'identifier.
Il avait le visage marqué par des rides et des cicatrices, et ces dents semblaient plus affûtées que mes serres de prédateurs. Elles étaient pointues et lisses comme une lame de couteau.
Ces cheveux qui semblaient défiés les lois de la gravité étaient fixés vers le ciel, et possédaient une couleur grisâtre lui donnant un air de savant fou.
Mais se qui me permettait de déterminer son espèce était ces yeux. Ils étaient blancs et ne semblaient contenir aucune âme.
Ils portaient la marque des particuliers qui vénéraient une idéologie stupide, dans laquelle ils seraient rois du monde grâce à la particularité des ombrunes qui était de contrôler le temps, en plus de se transformer en une espèce d'oiseau. L'homme qui se trouvait devant moi était un estre. Mais ce n'était pas n'importe quel estre ! Il était celui qui contrôlait cette mission d'immortalité. Son nom était Barron.
En le voyant, je me souvins de tout !
Je me souvins de se qu'il c'était passé, et je compris que j'etait en grand danger.

𝓡𝓮𝓬𝓾𝓮𝓲𝓵  ᯽𝕄ℙℍ𝔽ℙℂ᯽ 𝓜𝓲𝓼𝓼 𝓟𝓮𝓻𝓮𝓰𝓻𝓲𝓷𝓮Où les histoires vivent. Découvrez maintenant