Chap 37. Déclarations d'amour.

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Il était 21h du soir ce Samedi, Luciole, seule dans sa chambre,découvrait son paquet,offert par Eric.

Un écrin de bijoux certis de strass,et une correspondance, dans laquelle il lui ouvrait son cœur.

Sur une carte nacrée, composée de plusieurs feuilles de papier décorée de fleurs et de petits cœurs rouges, Eric Bozo'o avait couché des lignes des mots, exprimant la détresse de son cœur, de manière sincère, sans rien omettre de ses fiançailles sans aboutissement.

Elle lut le message avec attention, pesant les mots, pour bien comprendre ce que, cela signifiait pour elle.

Comme s'il lui parlait à ses côtés, comme si elle lui posait des questions,
elle lut les répliques, comme si elle trouvait les réponses à ses questions:

"Tu vas me prendre pour quelqu'un qui n'est pas sérieux,
mais saches que ce n'est pas le cas.
Je sais que tu penseras que je vais trop vite,en te courtisant, et ça peut te sembler dérisoire.

Mais l'amour n'est plus un jeu pour moi.
Car j'ai besoin d'aimer d'être aimé. J'ai beaucoup d'amour à donner en retour.

Je veux de toi, une moitié sur laquelle je peux compter.

Je veux de toi, une épaule sur laquelle je peux m'épancher.

Je commence à t'aimer, alors ne me défends pas de le faire :
continuer à t'aimer.

Oui,t'aimer plus qu'il n'en faut."

A la lecture de ces mots, Luciole tressaillit de bonheur,
prit son portable, et appella Éric:

_Allo! Allo, c'est Éric ?

_Allo! C'est bien lui.
Elle resta là, un moment, sans parler, attendant qu'il prenne les devants.

_Allo! C'est bien moi que tu cherches ?

_Oui! Répondit-elle timidement.

_Eh ! Bien je suis là.
Tu n'as rien à me dire ?
Faisant référence à sa déclaration d'amour.

_Toi d'abord. Dit-elle, prudente.

Considérant, son initiative de l'avoir appelé comme une réponse positive,il lui dit sans la brusquer:

_Ok! Je rentre en Espagne, dans 1 semaine.
Me permets-tu de venir chez toi pour en parler ? Parler de mon petit message.

_Pour toi,je suis libre à tout moment de la journée.
Tu seras toujours le bienvenu, chez nous.

_Alors, à demain. Dit -il.

_A demain.

***
Il était 16 heures de la journée.
C'était un dimanche.
Christelle examina encore
le paquet remis par Frances Nounaiy,
qu'elle avait découvert hier soir.

Un écrin de bijoux, assortis d'une bague fine ornée de strass,un collier
en or,et des boucles légèrement incrustées de strass.

Un petit mot de politesse, l'accompagnait:

"A nous, à notre amour, pour un futur glorieux."

Elle regarda sa chambre un instant,et se dit en elle-même, que ses parents l'avait laissé telle qu'elle ; comme-ci, elle était destinée à y retourner, malgré la course qu'elle avait faite de sa vie.
N'était-il pas prémonitoire ?
Elle pensa à ses meilleurs moments
avec Damien et leurs enfants.
Tout ces efforts pour construire une vie de famille, une vie de couple à l'échec.

Elle éclata en sanglots silencieux, car elle avait peur que ses parents l'entendent,et la regardent avec pitié.

Elle entendit des pas venir du salon, et fut suprise d'écouter la voix de Frances.

La Douleur De L'amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant