(Un)happy

Deux

Il faisait chaud.

Des perles de sueurs roulaient le long de son corps. Hoseok venait de se réveiller, entouré d'une épaisse fumée noire entrant par le petit espace sous sa porte. Il se leva de son lit piteux et marcha le plus rapidement possible vers la sottie principale de la pièce.
Il saisit la poignée de sa main frêle avant de s'en défaire rapidement sentant une vive chaleur émaner de l'objet en métal. Par instinct il s'en éloigna le plus possible.

Soudain une violente toux le prit. Il plaça son avant bras devant sa bouche et son nez pour ne pas continuer à respirer les vapeur toxiques.
Il comprit rapidement que sa maison était en feu, il pivota vers le second orifice de la pièce : une petite fenêtre à bâtant au dessus de son lit.
Il grimpa sur le matelas et ouvrit la fenêtre.
Sans plus attendre il parvient à se glisser dans l'ouverture. Il ne fit pas attention de suite à la chance qu'il avait eut que sa mère l'ai toujours si peu nourrit, à tel point que sa peau recouvrait facilement ses os, mais aussi qu'elle l'ait placé au sous sol de la demeure.

Dehors, dans son jardin, se trouvaient tout un tas de personnes, ses voisins tous présents à contempler immobiles le désastre sous leur yeux tout en poussant des cris inutiles pour aider, tandis que des pompiers se dépêchaient à la tâche peinant à éteindre l'incendie. L'un d'eux remarqua enfin Hoseok dans son pyjama vert trop grand pour lui et quelque peu taché de terre humide.

L'homme s'approche doucement de lui tentant de ne pas le brusquer, Hoseok ne bougeait pas et se laissait approcher. Arrivé devant lui le combattant du feu essaie de lui parler avec des mots doux devant cet enfant à l'air désespéré. Il le prit alors dans ses bras et le ramena dans une ambulance plus loin. Hoseok fut rapidement enroulé dans une espèce de papier métallique doré assez chaud malgré leur finesse.

Plus tard lorsque le feu c'était arrêté, on lui expliqua qu'il avait eut une chance immense et que cela relevait  presque du miracle qu'il est réussi à sortir indemne de cette tragédie. Que sa sœur et sa mère elles n'avaient pas eut cette chance et avaient perdues la vie.
Hoseok avait alors regardés ses interlocuteurs, le regard vide. Contre toutes attente ses yeux n'étaient pas perdu dans ses pensées attristés et choqués de ce qui venait d'arriver à sa famille, mais bien parce qu'il ne ressentait rien de particulier.