Chapitre 18 : L'hôpital leur deuxième maison

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Pdv Eren :

J'étais paniqué à l'idée qu'il se retrouve seul la nuit avec lui. Ils ne doivent pas être bien loin, lorsque le coup de feu à retenti à travers le téléphone, je l'ai entendu en réalité. Tout ce que j'espère c'est que Livaï va bien. Mikasa et Armin ont appelé la police est leur ont dit où il se trouvait, j'espère le trouvais avant qu'il ne puisse lui faire du mal.

J'arrive enfin au parc, seul la police ne devrait pas tarder car les sirènes retentissent dans tout le quartier. Je cours pour retrouver Livaï au plus vite. C'est alors que je me fige sur place, je le voyais éclairer sous un lampadaire nu et taché de sang. Je m'approche de lui pour vérifier qu'il soit conscient mais rien. Les larmes commencent à monter alors que je stop le sang avec ma main. C'est alors que la police arrive me menotant et l'emmenant dans une ambulance qu'ils avaient appelé quelques minutes après leure arrivée. Des agents me questionnent, au début ils pensaient que j'étais le criminel qui avait fait ça mais très vite ils comprennent que non. Je leur raconte toute l'histoire que j'ai pu entendre par le téléphone.

Après m'avoir lâché, j'appelle un taxi et va à l'hôpital poir voir si je peux pui ou non rendre visite à Livaï.

J'arrive enfin aux urgences et va à l'accueil.

- Bonsoir, est-ce que je pourrais voir Livaï Ackerman on vient de l'emmener et je suis inquiète.

- Je vois. Non vous ne pouvez pas, mais une chambre va lui être attribué pour le reste de la semaine, voulez vous rester avec lui ?

Je hoche la tête affirmant sa proposition. Elle me demande alors ma carte d'identité et j'en profite pour payer les frais de Livaï car nous avons retrouvé son sac avec toutes ses affaires que j'ai pu récupérer après l'inspection des policiers. Elle m'indique ensuite une chambre contenant un lit, merde je vais dormir ou moi ?

Bref je vais pas faire chier et je vais dormir sur le fauteuil. Quelques heures passent où je parle à Mikasa et Armin pour leur expliquer la situation. Vers une heure du matin, des médecins ramène Livaï dans la chambre me demandant ce que je fais là. Je leur réponds et ils hochent la tête approbateur. Ils repartent après avoir installé Livaï sur son lit inconscient. Je m'approche de lui regardant son beau visage dégageant ses cheveux sur son front pour mieux l'admirer. Il avait dû subir une opération pour recoudre l'impact de la balle qui s'était pris à la jambe. Je voulais le serrer contre moi mais c'était impossible, il était branché de partout, le pauvre.

La nuit fut longue, je n'arrivais pas à dormir, j'avais trop peur pour Livaï. Puis le fauteuil n'était pas très confortable. Des médecins sont arrivés vers 9 heures pour voir son état. Ils m'ont informés qu'il allait bientôt se réveiller et que sa vie n'était pas en danger. J'étais rassuré mais quand même si on résume, mon Lili s'est retrouvé à l'hôpital car il s'est fait violé et tiré dessus par un fou. D'ailleurs il s'est encore enfuit. Le police m'a dit qu'ils allaient se pencher sur l'affaire pour l'arrêter.

Pendant la matinée j'ai appelé Hanji pour qu'elle soit informée de la nouvelle agression de Livaï.

- EREN !

- Cris pas Hanji, on est dans un hôpital.

- Mais, mais,... mets toi à ma place, Mike est dans le coma et Livaï lui l'es à moitié. Je me retrouve seul et,... et je sais plus quoi faire moi...

Elle fond en larme dans mes bras. C'est vrai qu'elle a certes était la première à avoir était agressée, elle a était le plus épargné physiquement. Quelques minutes après elle se calme.

- Sinon toi t'es pas trop triste, vous sortez quand même ensemble. Puis tu l'avais au téléphone quand tout ça c'est passé.

- Bien sûr que je le suis, mais je me dis que c'est de ma faute. C'est moi qui lui ai dit de venir au final il est reparti puis regarde comment ça c'est fini.

Mon cœur se serrer et ma gorge me faisait mal, le truc typique quand tu essaies de retenir tes pleurs, chose très désagréable. Heureusement, Hanji me rassure pas mal puis elle repart à son travail expliquer le problème au producteur et l'équipe.

Durant le reste de la matinée, je dessinais des croquis de vêtement. À vrai dire, je n'arriver pas vraiment à me concentrer, je pensais trop à Livaï pour l'être.

- Je ne suis pas peu fier de ce que j'ai fais.

Je me retourne surpris et à la fois en colère. Il était la devant moi celui qui l'avait torturé, j'avais qu'une envie le tuer mais si je le faisais j'allais moi être en tord donc je me contiens.

- Tu es Eren je me trompe ? C'est vrai que tu n'es pas mal.

Il s'approche de moi nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre.

- Je sais que tu vas appelé la police, vas-y j'attendrais.

Il s'asseoit sur la chaise où j'étais moi-même assis il y a à peines quelques minutes.

- Tu dessines quoi ? Je peux regarder ?

Je prends mon portable et appelle la police pendant que le coupable se tenait juste à côté de moi. Rien n'avais de sens. Après l'appel, la police arrive.

- Bonjour !

- On vous arrête pour viole et tentative de meurtre.

- Si j'avais vraiment voulu le tuer j'aurais pu le faire mais je n'aurais pas pu voir sa jolie bouille branchée à tout ses capteurs pour le tenir en vie.

Les policiers étaient dans l'incompréhension totale. Le gars n'en n'avait rien à foutre de se faire emprisonner. Il était là serein.

- Vous allez peut-être m'arrêtez. Mais au moins je l'aurais tué.

Il sort rapidement un pistolet de son grand manteau et lui tire dessus mais instinctivement je me mets devant pour le protéger et reçois une balle dans la main. La police elle intervient rapidement et le contrôle assez facilement.

- Qu'est-ce ? C'est ta faute ! Il aurait du mourir ! Lâchez moi !

Des infirmiers arrivent pour savoir ce qu'il se passait autant dire que je n'étais pas bien du tout donc l'un deux se ramène pour m'enlever la balleet me recoudre la main.
Si je devais résumer c'est une journée de merde. Au moins, l'agresseur de Livaï aller être en prison pour un bon moment je pense.

Il est actuellement 16 heures et j'attends toujours le réveil de mon petit ami. Ma main aller déjà un peu mieux, mais j'avais quelques fois mal, en plus j'avais une envie de dormir pas possible mais même si j'essayais, je n'y arriverais pas.

- Ngh,...

Ma petite starlette | Ereri | Omegaverse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant