Chapitre 1 : Les risques d'une âme affamée.

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Chapitre 1 :

L'écriture était un passe temps, un simple défouloir ou sur des pages, il vomissait des mots et des pensées qui lui traversaient l'esprit. Le fait que toutes ces phrases écrite sur son ordinateur s'accordent entre elles ou pas, était au final le cadet de ses soucies. Il n'avait pas besoin de penser à ce que le lectorat allait penser de ce qu'il avait écris, car en rien ses récits étaient voués à être lu.

Du moins pour ceux là.

Ceux là, n'étaient juste qu'un défouloir, un besoin viscérale et salutaire de vider le trop plein de sa tête. Ceci parfois pouvait prendre quelques minutes, ou à peine une heure. Et à d'autre occasion cela devenait presque obsessionnel. Il écrivait, écrivait en entendant dans un rythme régulier et rapide ses doigts frapper les touches de son clavier, lorsque le crayons et le papier ne lui suffisait plus. Son cerveau parfois lui faisait penser à une sorte de ballon de baudruche. Tout comme ce derniers se gonflait d'air, lui se gonflait de pensées, de songe d'idée et de tout un tas d'autres choses qui s'y accumulait sans prendre la peine parfois de faire le silence. L'écriture était la poubelle de son esprit, ou dedans il ouvrait les vannes de ses pensées, pour pouvoir à nouveau sentir sa tête s'alléger un peu.

Mais tout ceci n'était pas grave. Ce n'était pas un cas clinique qui aurait pu l'emmener tout droit à l'asile. Ce n'était pas non plus une maladie incurable qui bientôt le plongerait dans le sommeil éternel. C'était juste un besoin, un simple et unique besoin de classer, vider et décharger ses pensées, car lorsqu'elles étaient trop nombreuses l'insomnie le frappait.

Et elle frappait souvent..

Dormir. Beaucoup affirmait que s'était merveilleux et agréable de dormir. De plonger dans ses draps, d'éteindre la lumière et de tout débrancher durant quelques heures, pour ainsi laisser à son corps le temps nécéssaire pour reprendre ses forces. Lui n'avait pas la capacité physique d'avoir un tel loisir, dormir était compliqué, et parfois relevait de la corvée. Fermer les yeux et se laisser aller dans le sommeil, n'était pas une chose dans lequel il excellait. Depuis des mois pour pas dire des années, il avait un traitement qui contraignait son corps à prendre le repos dont tout humain avait besoin. Mais sa machine interne parfois paraissait se rebeller contre toutes cette médication, qui courait le long de ses veines et lui imposait des nuit sans rêve, sans repos et sans la moindre minute d'endormissement.

Dormir était difficile, et cela se voyait bien lorsqu'on l'observait. Ses yeux d'un bleue nuit avaient de légère cernes noir, qui étrangement accentuaient la puissance de son regard. L'illusion étrange que cela faisait, donnait l'impression que l'individu avait mi du khôl noir à ses yeux. Et plutôt que lui mettre là, une certaine disgrâce physique cela au contraire ajoutait à son charme puissant.

Sa taille n'était pas bien haute ce qui pour un alpha de sa trempe, était à elle seul une source de questionnement. Mais tout le monde ne né pas avec une cuillère en ors dans la bouche. Et quand ceux qui grandissent en étant choyer et gâter des leurs premières âge, d'autre naissent dans la difficulté et le manque de tout, même de parent. L'avantage de survivre à une telle épreuve de la vie, avait fait de lui un être doté d'un esprit d'acier, qui ne recule devant aucune tâche difficile et complexe. A l'inverse de cela, le malheur, et la faim avait malheureusement perturbé sa croissance au moment même où les enfants grandissent le plus. Et là, ou d'autre Alpha atteignait de hautes tailles allant du mètre quatre vingt à plus, lui n'avait jamais été au delà, de un mètre soixante.

Oui, il était un Alpha d'un mètre soixante. Et en rien il ne fallait rire de cela, sinon il s'occupait rapidement de vous défaire de votre sourire. Beaucoup avait fait l'erreur de le juger sur sa petite taille, et beaucoup avait essayé de le tourner en ridicule, en tentant de lui donner divers surnom bien peu flatteur. Minus, nabot, raz bitume, le nain et bien d'autre tout aussi peu charitable, qui froissèrent bien des fois son orgueil et sa fierté naturel. Tous avaient payés leurs provocations bien chèrement. Et c'est en se roulant de douleur, avec parfois le nez en sang et une dent en moins qu'ils s'excusaient tous platement.

Les facéties du destin.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant