Teleported beyond your dreams || Natasha Romanoff x Fem!Oc

Chapitre 7 : Utlösare

23 août 1992 à 4:00 :

"mina små monster" c'était la voix de notre père. On releva la tête à la recherche de son visage mais la seule chose que l'on puissent distinguer étaient les membres éparpillés de l'autre côté du dôme des sbires qui nous tenaient prisonniers... nous n'arrivions plus à vomir... seul le dégoût et la peur étaient présent... c'est là que j'ai compris... il utilise son pouvoir pour communiquer avec mes sœurs et moi sans pour autant que les assaillants écoutent la conversation... Ingrid commençait à pleurer discrètement toujours dans les bras de Velma.

"Pappa ou es tu" dit Velma en grelottant.

"Je suis là les enfants mais ne regardez pas de l'autre côté d'accord ? Restez ici à vous protéger les uns des autres compris ? Granny viendra vous récupérer." insista notre père.

"Il est où ? Daven... elle est bien partis avec granny..?" demandai-je sans prendre compte de sa phrase, dans un calme que je ne me suis jamais connu.

"Oui elle est avec elle, je les ai vus partir tu l'as protégé ma fille..."

Sans attendre une seconde je m'effondre... toute les larmes coulent le long de mes joues et atterrissent sur la tête d'Ingrid. Je pleure en silence sachant ma soeur en sécurité avec la personne que je considère la plus apte à le protéger.

Après ma crise silencieuse je repris mes esprits et essuie mes larme à l'aide de ma manche à moitié arraché pleines de poussière. Les yeux rougis je pris la pire décision de cette mâtiné... regardant une demi seconde en face de moi.... deux silhouettes familière étaient agenouillées face à un groupe de 4 personnes... j'ai assisté à l'exécution de mes parents...

"Pappa ! Mamma ! Nonnn ! S'il vous plaît battez vous ! Vous n'avez jamais baissé les yeux devant des inconnus ! Je ne peux pas... on ne peut pas vivre sans vous..." criai-je en boitent me séparant de Velma.

Mon père se leva et prit la parole toujours par la pensée : "Mes chéries, ne restez pas là à pleurer devant notre exécution, nous n'y sommes pas et nous ferons de notre possible pour ne pas s'en rapprocher... Rappellez vous de ce que l'on vous chantaient le soir... ma mère commença à chanter notre berceuse avec une voix à vous donner envie de l'écouter encore pendant des heures... sa voix était un mélange d'une langue étrangère et de français... cette combinaison pouvait te rendre le sourire même si tu avais passé une journée pourrie : "Je suis le vent qui souffle dans les arbres, je suis le scintillement du diamant sur la neige, je suis la lumière du soleil sur le grain de mûr, je suis la douce pluie d'automne... Quand tu t'éveilles dans le calme du matin je suis l'envol de ces oiseaux silencieux qui tournoient dans le ciel..." Alors en restez pas comme ça, il faut rire avant d'être heureux, de peur de mourir sans avoir rire, nous ne sommes pas encore mort et nous n'abandonneront pas, je vous le promet." nous informa notre père une larme coulant sur sa pommette gauche.

Nous avions échappé un petit sourire car nous savions comment ça allait se finir même en étant âgé de 8 ans... c'est alors que j'ai ajouté pour la première fois depuis son intervention par pensé : "Mais maman, j'ai peur... j'ai pas envie de vous voir mourir... je veux vous aider je suis assez forte ! Je peux v..."

Ma mère m'interrompe avant que je ne dise quoi que se soit d'autres : "Ne fais pas ça, aucun d'entre vous, est ce que je me suis bien fait comprendre ? Ecoute... tu vas te sortir de là avec tes soeurs, ta petite soeur est en sécurité, vous vivrez longtemps, trouverez l'amour avec la femme ou l'homme de votre vie qu'il ou qu'elle soit votre âme-sœur ou pas tant que vous êtes heureux c'est le principal, tu auras des enfants... et tu vas les voir grandir, tu deviendras une petite vieille comme granny, tu pourras faire un poulailler aussi ! Tu inviteras ta petite famille pour des grands repas festifs bien au chaud dans ton ta maison... mais pas ici... tu ne finiras pas ta vie ici... pas comme cette nuit... pas comme ça, est ce que tu m'as comprise ? M'être échappé avec votre père ma été la chose la plus merveilleuse qui me soit arriver dans ma vie car j'ai pu fonder ma famille et avoir ce qui compte le plus a mes yeux aujourd'hui car vous méritiez une vie paisible loin du royaume même si je ne vous en ai pas parlé vous l'apprendrez au moment voulu, tous ce que vous devez savoir sur vos origines. Et je suis reconnaissante d'avoir eu une vie paisible. Alors Astrid, tu dois me faire cet honneur... à présent promet moi, que tu vas survivre, que tu n'abandonneras jamais, jamais... même si ça à l'air sans espoir... promet moi, maintenant... et n'en romps jamais cette promesse".