13 : la terre doit pleurer

9 2 0
                                    

Sous le soleil, d'un été joyeux ; les larmes de certains rendent regrettable les vives couleurs de l'hiver.
Quand le soleil ce couche quelque en soit la saison, les masques tombent, fatigués de ses propres mensonges et faussetés.
Mais même si la fatigue les submerge rien ne vaut le secret, le secret de leurs mensonges, le pouvoir de savoir l'inconnu de tous et toujours préférable au dévouement sans faille, a la vérité blessante, a la visibilités sans filtres.

Dans ce monde de peurs.
Ou le monde tremble.
Quand les tristes se pleures.
Avec les heureux qui nous plaignent.
Qui sommes nous dans tout ça, à quelle heure le réveil.
Car nous ne sommes pas à plaindre.
La seul qui peut se le permettre est la terre,
Que nos larmes sans but assèchent.
Que le poids de nos corps sans coeurs alourdis.
Avec les illusions du monde.
La terre se crache, coule et fait passer le temps,
Vite, vite, vite,
Nous précipitant avec elle, ou s'accompagnant mutuellement,
Courant a la perte, sous le ciel gris du temps.

Des mots, encore.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant