I believe you are late - 𝐌𝐈𝐓𝐒𝐔𝐘𝐀 𝐓𝐀𝐊𝐀𝐒𝐇𝐈

10 - Profitez tant qu'il est encore temps

[1 septembre 2005 à 19h35, de notre côté]

On est face à face, je suis rouge alors que lui rigole devant ma gêne, je dois lever un peu la tête comme il est debout et moi assise

- Je t'aime, me dit-il

- Moi aussi..

Il attrape ma main dans la sienne avant de me demander

- Akemi

- Oui.. ?

- Est-ce que tu en as envie ?

- Je-

- Je ne te forcerai pas tu sais

- Je sais.. j'en ai envie Takashi

Il embrasse ma main avant de me porter, mes jambes chacune d'un côté de ses hanches alors qu'il me dépose délicatement sur mon lit après être arrivé dans ma chambre

- Dit le moi si tu veux arrêter, d'accord ? Je ne veux pas te forcer

J'hoche la tête pour lui dire que j'ai compris, il m'embrasse ensuite la joue avant de me faire m'allonger sur le lit pendant qu'il se met à califourchon au dessus de moi. M'embrassant cette-fois sur les lèvres avant de descendre son visage à mon cou

- Tu es magnifique Akemi

[20h15]

On est tous les deux allongé sur mon lit, toujours nue il me serre contre lui passant ses bras autour de mon torse

- Une chose de plus à ajouté sur la liste des choses auxquelles tu es doué... Ai-je annoncé fatiguée

- Tu as une liste vraiment ? Se moque-t-il

- Hehe qui sait ?

- Tu dis des bêtises.. endors toi donc Akemi

- J'en suis pas si sûr moi.. mais bon, bonne nuit Taka, lui ai-je souris

[3 septembre 2005 à 9h30, de notre côté]

Je me réveille à cause de mon téléphone, je l'entends sonner, j'ouvre les yeux et répond à l'appel

- Oui ? Ce n'est pas mon ami et encore moin mon copain, vous vous trompez. Il a pas de parents ? Appeler les non ? Oui, au revoir

Je raccroche et pose violemment mon téléphone sur ma table de chevet

- Sérieux le seul jour où je pouvais dormir on me réveille pour me parler de lui. Je me frotte les yeux et me lève, n'arrivant plus à dormir à cause d'eux. Je pars dans la cuisine et mange un bol de céréales devant la télé

- Oui nanana votre petit ami à l'hôpital nanana mais à quel moment c'est mon copain lui ! ai-je fais en me moquant d'eux

J'entends maintenant la porte d'entrée sonner, je me lève toujours en baragouinant n'importe quoi et ouvre la porte

- Il est à la rue ou quoi ? M'appeler pas moi j'en ai rien à faire, ai-je continué

- Heuu..

- Ah oui désolée, rentrez

Les deux blonds rentrent à l'intérieur après mon invitation