*A réécrire*
Elle y était enfin. Le tissu à terre révélait son ennemi numéro un depuis l'université : le miroir. Cela pourrait en faire rire d'autre, mais pour elle cette chose était l'un des pires objets de tortures qui puissent exister. Elle ne s'y fixait plus depuis des années et évitait toujours tous les lieux avec trop de surfaces réfléchissantes - un acte bien difficile dans une ville aussi épanouie. Mais à présent, elle y faisait face, elle le combattait.
Son cœur menaçait de transpercer sa poitrine tant il battait fort. Les larmes lui montaient aux yeux alors qu'elle osait fixer son image dans la glace
Tout était silencieux, mais dans ses oreilles bourdonnaient de souvenirs désagréables, d'insultes, de blagues méchantes. L'université avait été pour d'autres un terrain de jeu plaisant, une ère de liberté. Pour elle, ça n'avait était qu'un cauchemar qu'elle souhaitait oublier.
Perla désirait être une étudiante comme les autres. Mais elle ne se perdait pas dans la masse -avec la couleur flamboyante de ses cheveux et leur longueur, cela était impossible- et les gens lui faisaient ressentir cette différence. Au départ, elle recevait plus d'admiration qu'autre chose. Puis de temps à autre, elle recevait des remarques telles que :
"Pourquoi tu ne te lisses pas les cheveux ? Tu serais tellement mieux comme ça."
Elle se contentait de sourire et de dire qu'elle se trouvait bien avec ses cheveux frisés. Au fur et à mesure, les discours ont commencé à changer vers des expressions plus méchantes.
"Tu ressembles à un balai pour chiotte." Lui avait-on dit.
Pourtant, elle s'entêtait encore à se dire que ce n'était rien de méchant et que ces personnes étaient juste des immatures.
Un après-midi, Perla eut la malchance de parler à la mauvaise personne. Elle l'avait croisé une fois dans les couloirs, sans lui prêter attention. Puis ils se sont revu, dans la bibliothèque. C'est lui qui a entamé la discussion, qui l'a complimenté et qui exprimer le désir de la revoir. Ils n'avaient malheureusement pas eu le temps d'échanger leur numéro de portable, interrompus par les amis du jeune homme.
Une semaine était passée et elle avait été remplie de TP. Perla était éreintée et se rendait aux toilettes, cogitant sur le fait que les profs de n'importe quelle filière se sont déchainés sur leurs étudiants. Toilettes où, après avoir réalisé ses besoins, elle fut prise à sa sortie dans une embuscade, acculée contre l'un des murs par cinq filles. L'une d'entre elles se pencha très près d'elle. La victime eut peine à refouler un tic de dégoût : la brune puait le parfum.
"Tu penses vraiment qu'une personne comme lui voudrais de toi comme petite-amie ? Il ne t'utiliserait même pas comme sex-friend... ou sextoy." Lui avait-elle lancé en l'agrippant par les cheveux.
La rousse n'avait eu le temps de ne rien comprendre avant de se retrouver la tête dans les toilettes. Puis se voir verser un seau d'eau glacée. Elle n'eut le choix que de rentrer chez elle.
"Au moins, il n'y a personne dans les allées aujourd'hui." Elle s'adressa ses paroles réconfortantes avec un sourire amer aux coins des lèvres.
Cette fois-là, elle ne dit rien à personne.
Ce fut là son erreur. Elle ne prit que tard conscience qu'elle était devenue un objet de défoulement et de brimades. Dans les couloirs, on lui faisait des croche-pieds, lui tirer les cheveux, lui lançait des insultes. Quelqu'un lui avait même créé une réputation de prostituée. Toutes ces choses ont fini par ronger son moral. Alors elle a voulu se cacher. Elle le faisait. Derrière ses cheveux, personne ne pouvait la voir pleurer.
Mais il a fallu que les gens poussent le bouchon trop loin comme s'ils pensaient qu'ils ne lui avaient pas causé assez de souffrance.
C'était un après-midi humide, la pluie menaçait. A présent qu'elle était la paria (la victime) de l'université, entre deux cours, Perla allait se réfugier derrière un des bâtiments de la filière médicale, un lieu normalement isolé.
Quelle ne fut sa surprise en y trouvant sept gaillards qui semblaient l'attendre. Elle n'eut pas le temps de faire un mouvement qu'un huitième la surprit derrière et la bâillonna. Ils l'immobilisèrent avant...de lui couper les cheveux n'importe comment, mais très près du crâne. Elle resta là, sans vie, à les regarder détruire son héritage familial.
Une fois leur forfait accompli, ils allaient la libérer lorsque l'un d'entre eux fit remarquer qu'elle avait de jolies courbes et qu'ils pouvaient en profiter un peu. Cette proposition avait réactiver les neurones de son cerveau. Cédant à la panique, elle tenta de se débattre. Peine perdue face à des adversaires aussi costauds. Ses bas furent déchirés et pile lorsque le premier s'apprêter à la déflorer, une voix a retenti faisant fuir ses assaillants.
Submergée par les émotions, elle perdit connaissance et ne s'éveilla qu'à l'hôpital. Le médecin qui vint vers elle la fit se recroqueviller de peur, le traumatisme encore frais dans son esprit. Malgré sa bienveillance, elle ne le laissa pas se rapprocher, prise dans une crise de panique. Ils se virent obliger de lui administrer des calmants. Encore une fois, elle fut inconsciente.
Le lendemain, à son réveil, c'était son frère qui veillait sur elle. Il la salua, elle ne répondit pas. Il appela l'infirmière pour l'informer du réveil de la patiente, elle se contenta de le regarder avec des yeux éteints. Il se mit à ses côtés pour lui parler, elle n'avait pas peur, mais elle n'avait pas envie de l'écouter. Alors elle se couvrit les oreilles et sans prévenir éclata en sanglots.
Et lui, que pouvait-il faire ? Il ne pouvait pas la prendre dans ses bras, les médecins ont dit qu'elle risquait encore de faire une crise de panique pire que la première. Il la regarda, impuissant, les poings serrés par la colère.
Pendant une semaine elle ne prononça aucun mot. Lorsqu'on fin, elle délia sa langue pour se confier à son frère, son confident. Une enquête ouverte pour harcèlement, cyberharcèlement, agression et tentative de viol. Le guide à l'établissement pour ne jamais y remettre les pieds, transféré à l'autre bout du pays. Mais Uguen de cause dans un procès auquel on a participé qu'à travers son psychologue. Un sourire se forma sur ses lèvres. Ce fut à cette période qui se pris d'affection pour les lectures sur des plateformes en ligne. J'ai que des romans, des légère ou plusieurs choses qui, au lieu de la réputé Laterrière. Ainsi elle se trouve à dents l'écriture un défouloir. Et puis, grâce à elle, combattre les sombres démons de son agression. Mais bien que ce son agression sur guéri, ce sont harcèlement, vers 10 TER et elle se cacha tout le temps de son université. Elle approcha personne et personne ne fit l'effort de venir vers elle. Ses cheveux repousse hier et elle continua sa vie de fantôme. On se caressant les cheveux, mes chéris se remit ce souvent de quand elle avait été réveillé par Da Silva sur son Instagram grâce à son compte pro où elle publier des extraits et les avancées de son roman. Il avait contacté une box. Exiger un rendez-vous, elle avait eu peur, avec oui. Mais le bon on avait pas lâcher l'affaire et laver pour CV sur le net. L'as de cette situation, la rousse avec un petit et s'était présenté au lieu fixé. Bien que surpris, ça n'avait pas fait de commentaire sur cela, se contentant de parler de à faire elle lui avait imposé l'anonymat, il avait accepté sans rechigner. Société, une fois publié, ce fut le grand. C'est livre réussir le redressement économique de la petite maison d'édition qui risque de s'écrouler. C'est loin sur chanter, mais au grand jamais elle ne se révéla au monde point oui il a fallu qu'elle tombe sur quelqu'un de trop direct et la voilà qui sera mettez en qu'est enfin en question. Un sourire en coin, elle se dirigea dans sa chambre dans sa penderie où elle est à le drap de la machine à laver.

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Office Love [En pause]
RomanceLady Fire, écrivaine de génie, produisant des romans érotiques d'une qualité unique. Personne ne pouvait soupçonner que sous cet anonymat et cette plume dépravée se cachait une jeune femme d'une apparence quelque peu négligée, loin des belles héroïn...