Draken x Mikey (Tokyo revengers)

Prologue

J'étais là, à attendre les autres,

sur le canapé entrain de manger mes chips.

Draken me gueuler dessus pour les aider à préparer la bouffe pour la soirée mais j'avais trop la flemme.

Je préfère manger que préparer de la bouffe.

Puis j'ai pas que ça a faire,

Y a Pokemon à la télé,

C'est beaucoup plus important.

C'est là qu'on entendit un :

Toc toc*

Emma : " Raaah ! Bah voilà ! A cause de toi on a pas terminer à temps Mikey !"

-" Dommage "

En faite. Honnêtement...

J'avais pas écouter.

C'est là que Draken assis alors à coter de moi

Draken :" tu aurais put nous aider enfoirer !"

-" avoue, t'était bien content de te retrouver seul avec Emma "

Draken : " hein je-"

Takemichi :" Salut tout le monde !"

Je me redressa sur le canapé puis me retourne

-" Salut Takemichou !"

Chifuyu, Baji et Mitsuya eux suivirent ainsi que Hina.

La soirée débuta alors par une pizza,

Elle était plutôt bonne.

Mais ça ne vaudra jamais mes Burger avec mon drapeau.

Draken aurait put m'être un drapeau sur ma part !

Mais il est trop occuper avec ma sœur de toute manière...

Takemichou lui vena à coter de moi

Takemichi : " Dit, Draken,il crush sur Emma non ?"

-" va savoir,il veut pas me cracher le morceau "

Takemichi : " ah ah imagine ! Un jour Draken deviendra sûrement ton beau frère !"

C'est alors que je me redire...

J'adore Draken mais...

Cette idée m'enchanter pas pour des raisons dont je m'expliquer pas

Takemichi : " Mikey ?"

-" j'ai pas besoin d'un frère."

Dis-je froidement.

Merde.

Tout le monde me regarde.

Je crois que c'est sortis trop fort

Draken : " de quoi un frère-"

Draken fut couper par Chifuyu qui arriva avec une bouteille de Captaine.

Il souriait fière de lui, la mettant au milieu

Chifuyu : " faut trop qu'on joue à des jeux d'alcool "

Baji : "non, la dernière fois tu as fini dans mon lit "

Chifuyu devena alors rouge pivoine

Chifuyu :" heu... je..."

Takemichi : " va si perso je suis chaud !"

Hina : " si Takemichi veut alors moi aussi !"

Chifuyu lui sembler toujours un peu gêner ce qui me fit sourire,