Comme chien et chat

18

Pdv de Payton

Quand j'arrive je vois Elena assise sur le bord de son lit, en tailleur. Elle est belle. Je sais pas quoi faire, j'ai envie de l'embrasser mais je sais pas ce qu'elle pense-

Elle se lève et attrape mon visage, je souris.

- Elena: je peux ?

- j'attend que ça

Elle sourit et m'embrasse, putain ses lèvres m'ont manqué en quelques minutes. Comment n'ai-je jamais pu goûter à ces pures merveilles avant ?! Dites-moi.

Elle passe sa petite langue entre mes lèvres, bordel comme je souris. C'est tellement bon, elle peut pas savoir ce que ça me fait. Très vite je trouve sa langue et n'attend pas plus pour venir l'emparer de moi. Je la veux. C'est existentielle. Je veux ce petit bout de femme. Je la veux en copine, en plus. Notre relation est tellement passionnel et unique, juste à nous que je ne veux pas qu'elle puisse en avoir avec un autre.

C'est aller vite, ok, mais j'ai pas besoin de l'avis des gens, je m'en contre fou tant que je suis avec elle.

Point de vu de Elena

On se décolle, je souris. Je ne pas m'en empêcher. Et je peux pas m'empêcher de poser mes doigts sur ses lèvres, elles sont si douces. Elles sont si gonflées par notre hargneux baiser. Elles sont si pulpeuses, on pourrait ne pas l'imaginer mais en les touchant, on le sent et on s'en rend compte. J'ai adoré, j'ai aimé.

Pdv de Payton

On est entrain de manger avec Mark, Elena et Carol la mère de Elena. Personne ne parle, je pense que Mark a parler de notre petite position avec Elena, ce qui me gêne un peu et qui je pense met Elena extrêmement mal à l'aise. On a pas parler de nos baiser. On a fait comme si tout était normal, ça m'a fait sourire rien que de penser à elle et moi il y à quelques heures.

- Mark: vous faites quoi aujourd'hui ?

Merci de couper ce putain de blanc.

- je vais voir des amis à moi

- Carol: c'est génial et toi Elena ?

Pdv de Elena

- je sais pas encore

(...)

Payton est monter se preparer pour sortir, j'allais le rejoindre après avoir remercier mes parents de garder Payton mais ma mère m'arrête.

- Maman: je peux te parler Elena ?

- bien sûr

Elle m'emmène dans sa chambre

- Maman: tu sais que tu peux tout me dire

- hum hum

- Maman: donc si tu prévois de faire des choses, tu vois avec Payton alors j'aimerais être sûr que tu es tout ce dont tu as besoin

- maman c'est bon, et je compte pas coucher avec Payton

- Maman: on sait jamais

- merci mais c'est bon, ne t'inquiète pas

Elle sourit, on a continuer à parler un peu toutes les deux puis je suis monté rejoindre Payton.

Quand j'arrive il était entrain de mettre ses chaussures. Il me voit et sourit, ça me rassure. Il se lève et s'approche de moi. Il pose ses mains sur mes hanches, les papillons ne disparaîtront jamais en sa présence.

Il approche sa bouche et m'embrasse, mes lèvres répondent obligatoirement. Après quelques secondes on se décolle-

- Payton: à tout à l'heure chérie

Je souris, j'aime qu'il continu avec ce nom.

- amuse toi bien

- Payton: merci

Il embrasse mon front puis part rejoindre ses amis.

Pdv de Payton

- Dylan: alors on traîne avec Elena ?

- ouais elle est génial cette fille

- Dylan: tu l'aimes toujours ?

- quoi ?

- Mason: tu as jamais cessé de l'apprécier depuis l'an dernier on se trompe ?

- euh bah on est ami mais..

- Dylan: mais ?

- bon je l'aime toujours mais n'aller pas tout faire foirer

Les gars rigolent, il me parle d'elle depuis aux moins deux semaines. Et c'est que maintenant que je leur dis.

- Mason: tu vois quand tu veux

- Dylan: t'en a mis du temps et t'inquiète on dira rien

- merci

- Mason: il s'est passé quelque chose ?

- hum hum

- Dylan: putain parle !

- on s'est embrassé

Je suis sûr que je suis tout rouge, putain je repense à nos derniers baisers et j'ai qu'une envie c'est courir chez elle et la retrouver.

- Mason: vous êtes ensemble ?

- nan on en a pas parlé mais j'attend que ça

- Dylan: j'espère que vous serez ensemble.

(...)

Je rentre chez Elena, ça me gêne un peu de squatter chez elle, faut que tout ça change je peux pas la coller tout le temps, ça va l'énerver. Bon j'avoue que la ça m'arrange, elle me manque. Elle m'a tellement manqué cette après-midi c'est fou ! Je monte doucement les marches des escaliers puis entre dans sa chambre, qui est un peu notre chambre cette semaine encore. Elle est dos à la porte entrain de faire quelque chose sur son bureau. Je remarque qu'elle porte ses écouteurs, c'est pour ça qu'elle ne m'a pas entendu parce qu'il faut se l'avouer que, la discrétion n'est pas mon point fort.

Sa tête bouge au rythme de la musique, qu'est ce qu'elle est craquante, qu'est ce qu'elle est belle, tellement belle. Qu'est ce qu'elle est attirante. Son petit corps bouge également, je meurt d'envie de savoir qu'elle musique peut faire bouger son corps de cette façon. Je veux la serrer dans mes bras, je veux l'embrasser, je veux lui faire l'amour, et je veux qu'elle désire la même chose que moi. Je te désir Elena, tellement..

Je m'approche d'elle et pose d'un furtif mouvement un baiser sur sa joue droite.
Elle se retourne en enlevant ses écouteurs et souris en me voyant. Putain elle rend ma journée encore plus belle. Et dieu c'est que c'est impossible, elle m'a d'abord embrasser, puis encore, et maintenant elle me regarde comme ci j'étais tout. Tout son monde que je rêve de découvrir, encore et encore, avec elle.

Elle se lève pour me faire face, je n'attend pas plus de temps pour placer mes mains sur ses hanches. Je veux son accord.
Je chuchote délicatement: « je peux ? »
Elle murmure un petit "oui" ce qui fit apparaître mes dents, je souris tellement en sa présence bordel.
Je pose doucement mes lèvres sur les siennes, putain je ne pourrais jamais décrocher mon âme et mon corps d'elle.
Elle pose ses mains sur mes joues ce qui me fit lâcher un long souffle d'adrénaline et pour lui faire comprendre que ça me plaît, qu'elle me plaît.

Elle attrape mes mains et les poses sur le haut de ses cuisses. Elle vient près de mon oreille pour chuchoter
Elena: pose moi sur le bureau s'il te plaît
Je souris et tire doucement ses cuisses vers moi pour la porter. Son corps se rapproche encore du mien, et qu'est ce que j'aime ça. Je jete un breve coup d'œil à son bureau pour ne pas la poser sur ses affaires. Une fois dessus elle m'attire vers elle grâce à ses jambes qui étaient et sont toujours autour de ma taille. Elle m'obsède, elle me contrôle.

On recommence à s'embrasser, doucement, délicatement. Et c'est parfait, c'est juste passionnel, et remplis d'amour, mon amour, et je l'espère, le sien également.
Je veux son amour.