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- tu sens bon Payton

- Payton: c'est normal je me suis lavé hier soir mais avant je ne sentais pas bon alors ?

Il ricane et me regarde d'un air abasourdi.

- mais nan c'est pas ce que j'ai dis

- Payton: un petit peu

- je te ferais plus de compliment si c'est ça à chaque fois

- Payton: nan nan je rigole. J'aime tes compliments, ils me rassurent... ils sont réconfortant et je sens que quelqu'un tient à moi...

- viens là toi

Je lui tend la main, il l'attrape faiblement pendant que je le tire dans le jardin. Je me pose au fond contre un arbre et tapote mes cuisses en le regardant. Il s'approche hésitant puis fini par poser sa tête sur mes cuisses tout en allongeant son corps sur le sol comme je lui demande.

- ferme les yeux

Il me regarde et fronce doucement les sourcils.

- ferme les yeux mon ange

Il le fais cette fois. Mes doigts se dirige dans ses cheveux pour venir masser sa tête. Je le vois sourire du bout des lèvres.

- Payton tu es la personne la plus rayonnante que je connaisse, tu es mon rayon de soleil. Même dans la nuit noir, je sais qu'à tes côtés je serais éclairé. Tu me montreras le chemin, la bonne voix à suivre. Tu es ce genre de personne qui aime embêter les gens mais sans sans rendre compte si tu ne le fais plus ça manque. Pendant les vacances d'été le Payton Moormeier qui me taquinait me manquais. Tu es le genre de personne un peu folle qui m'emmène dans une roseraie privatisé et je suis là personne éperdument amoureuse qui le suit alors que ces deux personnes sont censé ne pas éprouver de sentiments positifs l'un envers l'autre. Tu es le genre de personne qui se venge on va dire, je t'emmène à l'accrobranche alors tu m'emmènes chez le tatoueur.

Je le vois sourire de plus en plus toujours les yeux fermés et mes mains dans ses cheveux.

- tu es le genre de personne qui se souci des gens, de leur bien être et de leur protection, le nombre de soir où même si des fois tu m'en voulais tu ne me laissais jamais rentrer seul. Tu es le genre de personne à terminer la bière de sa pire ennemie.

Un petit rictus s'échappe de ses lèvres.

- tu es le genre de personne qui dis en secret à mon petit cousin que je lui plaît.
Tu es le genre jaloux alors que tu n'as aucune concurrence. Tu es le genre de personne en qui on peut faire confiance très rapidement, je ne t'aurais pas laissé dormir chez moi si je ne te faisais pas confiance. Je peux me mettre en maillot devant toi sans avoir la peur d'être juger. Je pourrais me mettre à nu devant toi et je serais que tu me donnerais toute la confiance que tu possèdes. Tu me donnes ton affection, ton amour et ta vulnérabilité.
Tu te bas pour t'en sortir tout les jours, tu n'acceptes que très peu d'aide et je suis fière de toi Payton. Tu as seulement 16 ans mais tu es bien plus accomplie que certaine personne. Et tu es la personne qui a fait chaviré mon cœur. Tu es la personne que j'aime et celle dont je suis amoureuse. Je t'aime Payton et je suis heureuse que tu m'es laissais une place dans ta vie et que tu accepte mon aide, ça ça me réjouit vraiment. Je t'aime mon ange...

Pdv de Payton

Je pleure, clairement mes larmes dévalent mes joues. Mais comme elle l'a dis je lui laisse ma vulnérabilité. Je m'en fiche d'être comme ça devant elle. Je l'aime et elle.. elle m'aime. J'en suis sûr. J'ai confiance en elle comme elle a confiance en moi. Bordel Elena qu'est ce tu as fait de moi ? Tu as fais de Payton un homme heureux, un homme qui veut se battre, qui veut être à la hauteur. Qui veut être aimer et tu as fait de lui un homme, amoureux.

Mes bras seront ma seuls voix aujourd'hui car, actuellement je ne peux ni parler ni lui crier mon amour. Mais mon corps le fera pour moi. Alors je me redresse et la porte directement. Notre connexion est direct, elle enroule ses jambes autour de ma taille et ma tête se loge dans son cou pour étouffer mes sanglots qui m'empêchent de parler. Je caresse son dos puis me pose contre ce même arbre où elle était posé quelques secondes avant. Je décale ma tête en face de la sienne et mime avec mes lèvres un « je t'aime ».

Elle hoche la tête en versant quelques larmes sur son visage d'ange.

- Elena: je sais je sais Payton, et je t'aime aussi.

Pardonne moi Elena de ne peux réussir à parler à cet instant précis, mais dès que je peux. Je te le crierais, je le crierais au monde entier et je te le prouverais, comme tu viens de le faire.

Je t'aime, mon ange.
Et ça se n'est pas près de s'arrêter.
Je t'aime comme un coquillage aime son rocher.
Je t'aime comme Jack aime Rose.
Je t'aime comme Tom aime Jerry.
Je t'aime comme Klaus aime Caroline
Je t'aime comme Preto aime Valentina.*
Je t'aime comme tu m'aimes...
Je t'aime au point de faire un parcourt noir d'accrobranche pour retrouver tes bras.
Et même si nous sommes jeunes, je sais que c'est toi, toi seule, qui est, et sera, la première comme la dernière. Je t'en fais la promesse, et je n'ai qu'une parole.

Comme chien et chat Où les histoires vivent. Découvrez maintenant