VIII

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Lorsque je suis allé en vacances pour un mois,
la séparation avait été horriblement rude.

Bien que toi, tu n'aies pas pleuré. Je me souviens avoir difficilement retenu mes larmes.
Ça pouvait paraître ridicule,
mais sur le moment,
mon cœur me faisait si mal.

J'avais beaucoup pleuré dans l'avion. Malgré la routine,
t'avoir à mes côtés était impératif pour ma santé mentale.

Tu m'avais tellement manqué. Je me sentais vide sans toi, et j'attendais seulement le jour où l'on se retrouverait avec une impatience sans borne.

𝖣𝖾́𝗅𝗂𝗊𝗎𝖾𝗌𝖼𝖾𝗇𝖼𝖾 - 𝐽𝑖𝑘𝑜𝑜𝑘Où les histoires vivent. Découvrez maintenant