8_journée typique.

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Dans le chapitre précédent :

Tôka part leur servir un café et je vois Ken ou plutôt Sasaki me fixait.

J'ai une tache sur la gueule ou quoi  ? Je dois pas me faire de faux espoirs... il peut pas me reconnaître.

Je sors du café et on me suis

?? : on se connaissait non ?

Je me retourne perplexe
________

Toi : de ? Comment tu peux savoir ça si tu as perdu la mémoire Ken ?

Sasaki : Ken... je sais pas tu me semble familière.

Toi : en tout cas tu es toujours le même à me suivre partout. Dis-je en rigolant

La nostalgie fait mal.

Sasaki : heu excuse moi...

Il devient rouge comme une pivoine. Je secoues mes bras devant moi

Toi : ne soit pas gêné hein !! Je sais que tu n'es plus le même...

Sasaki :....

Il hésite à parler mais ne sait pas quoi dire .

Toi : tu me manque Ken.

Je dis cela en lui faisant un signe de main comme au revoir et un sourire triste, je me retourne et part en mettant ma capuche.

Plus je serai loins mieux ce sera...

( nda : t/p se crois pour une lumière maintenant... )

Pdv Sasaki:

Je voudrais lui dire quelque chose pour l'apaiser, mais elle semble ne pas vouloir de mon aide...

Je tends ma main vers elle mais elle est déjà de dos en train de partir

Mutsuki : hé Sasaki ! Tu fais quoi ? Viens on rentre ^^

Je me retourne et les rejoints

Qui es-tu ?

(Nda : les rôles s'inversent eheh )

Pdv t/p :

Je rentre chez moi et prends une bonne douche pour me calmer l'esprit. Je ressors et entends mon téléphone vibré sur la table

Putain il va tomber !

Je cours vers lui et il s'arrête de vibré au dernier moment

Toi : ENCULÉ !

Je regarde le message et vois que c'est Tôka qui me dit juste que j'ai oublié mon écharpe dans son café. Je répond que j'irai la chercher demain.

Toi : pfff mon téléphone a failli tomber pour ça...

Je mange et pars avec quelques livres dans un sac vers un parc bétonné. Il est 21 heure, mais les lampadaires sont allumés dans les parcs

(Nda: l'endroit où Shû et Sasaki discutent )

Je m'assois et lis tranquillement quand un malade s'assoit à côté de moi pour m'adresser la parole.

Mec chelou : Bonjour jeune fille, je suis désolée mais ce banc est réservé.

Je fronce les sourcils

Il ce fou de ma gueule ou quoi ?

Toi : c'est un parc publique.

Je retourne dans ma lecture quand je ressenti des petites tape sur l'épaule, je me re-retourne et vois encore ce gars

Toi : foutez moi la paix.

Similarities Kaneki Ken x reader ~ PAUSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant