Il ne sortait qu'à la nuit tombée.
Il s'asseyait sur le bord d'un trottoir où d'un petit muret et contemplait l'éternel trépas du Soleil, les lèvres fendues d'un mystérieux sourire. Puis lorsque les derniers rayons s'éteignaient à l'horizon, ombre parmi les ombres, il disparaissait.
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On l'appelait Rouge
PoetryOn l'appelait Rouge. Rouge comme le sang, Rouge comme le diable, Rouge comme la haine et la douleur. On l'appelait Rouge parce qu'il n'inspirait qu'effroi. Parce qu'on ne le connaissait pas.