14. né de la haine

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"Debout, Ce n'est pas fini. Quel est ton nom?"

"Je ne sais pas."

Encore un coup.

"Je t'en ai donné un. Quel est ton nom?"

"Je ne sais pas!"

Son pied vint s'écraser contre le torse du garçon, forçant le talon contre la peau, jusqu'à ce que le garçon crie."

"Quel est ton nom?!"

"Arretez! Arrêtez sil vous plait!"

Elle releva son pied, observa la forme crasseuse sous elle, soupira et répéta une dernière fois.

"Ton nom, ques ce que c'est? Il faut tu le dise."

"Je...Je n'en veux pas, ce n'est pas mon nom."

"Alors tu te souviens de celui que tes parents t'ont donné?"

"Nan."

"Nan, parce que ta mère est morte, avant que tu ne puisse la connaître. Tu n'a pas de meilleur options, garçon." elle se baissa devant lui. "Alors dit moi comment tu t'appelle."

"Je...Je m'appelle Scaramouche, c'est le nom que tu ma donner."

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(La lune c'est pour les passage de temps quand on est dans un souvenir)

La femme observais le garçon s'entraîner, il devait se battre contre chacun de ses hommes dans la salle, ils étaient le plus doux possible, après tout il n'avais que 6ans depuis 7 jours. Il avais reçu un oeil divin électro avant même quelle ne le trouve, probablement à sa naissance pour dire vrai.

"Il est né et grandira dans la haine, une fois prêt, il sera peut être notre meilleur atout."

"Mais, madame, Il est bien trop jeune."

"L'âge n'est pas un critère. Je suis sûre qu'il sera prêt au moment venue."

L'homme derrière elle hocha la tête et sen alla.

Elle le regarda partir avant de se reconcentrer sur l'enfant. Il venait de tomber de fatigue, encore une fois, ce qui la fit soupirer, l'homme qui l'avait mis à terre la regarda et elle hocha la tête avant d'à son tour quitter la salle.

Lorsqu'elle sortie, l'homme mis à l'exécution l'ordre reçu, saisissa l'enfant par le colle et le frappa, jusqu'à ce qu'il le supplie d'arrêter.

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L'enfant était en sang, sur le sol, tout le monde observait, attendant un signe de vie, sans trop vraiment esperer.

Quant à la femme, elle, elle savais que même si il se relevait, il subirait un sors similaire à celui d'un mort.

Lorsqu'il ne tenait pas jusqu'au bout, elle l'enfermais dans une chambre froide, jusqu'à ce qu'il s'evanouisse, lui laissant seulement quelque pansement pour ses plaies.

Et jusqu'à aujourd'hui, il n'avait toujours pas tenu jusqu'au bout.

Après une longue attente, il se mit a tousser, crachant le sang qui avait était stocker dans sa bouche à cause des nombreuse fois ou il s'était mordu la langue.

Elle soupira, l'attente fut longue.

Elle prie L'enfant par le bras, et le releva de force, tout le monde repris leurs activités sans faire attention à la scène devant eux.

Elle le traîna de force et quand il compris ce quil attendais, il se remit à pleurer comme a son habitude.

"NAN! Sil te plait nan! Laisse moi y retourner! Je promet que jy arriverais! Sil te plait ARRETE!"

Teyvat UniversityOù les histoires vivent. Découvrez maintenant