Chapitre 8

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Désolé pour le retard
Les deux prochaines semaines il n'y aura pas de chapitres.

Léa : J'aimerais attendre un peu
Paul : Comment ça ?
Léa : Tout c'est bousculé dans ma tête ces derniers temps. J'ai besoin de me retrouver un peu, entre ton couple avec Inès, mon amnésie où on s'est retrouvés et puis la suite tu la connais. Ça fait beaucoup pour moi, tu comprends ?
Paul : Mh je comprend oui mais quand tu dis attendre un peu, c'est à dire ?
Léa : Quand je me sentirais prête je pense. Mais je ne veux pas te faire attendre Paul alors si...
Paul : ( la coupant )Je peux t'attendre toute ma vie s'il le faut tu sais
Léa : Non mais je suis sérieuse
Paul : Moi aussi
Le téléphone de la commandante Soler les interrompus, une nouvelle enquête commençait.
Léa : ( rentrant dans le salon )Bon...je vais me préparer, on se retrouve là-bas
Paul : ( la suivant ) Bien. Ah oui Léa, une dernière chose
Léa : ( se retournant ) Oui?
Il se rapprocha d'elle. Ils étaient si proches qu'elle pouvait sentir le souffle de Paul dans son cou
Paul : ( murmurant à son oreille ) Je vais te faire craquer
Léa : ( souriant ) Comment ça ?
Paul : Tu verras...
Paul parti et laissa Léa avec cette phrase. Il était bien décidé à jouer avec elle, pour qu'elle lui revienne à nouveau. Il était d'accord de l'attendre mais donner un petit coup de pouce au destin, il n'y a rien de mal à ça pensa t-il.
Léa de son côté n'avait pas su quoi répondre et resta là pendant quelques secondes avant de se ressaisir. Elle alla se préparer à repensant à la conversation qu'elle venait d'avoir avec Paul

Arrivée sur la scène de crime, elle appela Erwan pour qu'il lui fasse un topo de la situation
Erwan : Bonjour commandant. La victime, Sylvie Marchand, 65 ans. Veuve et retraitée, c'est le jeune homme là-bas qui l'a retrouvé comme ça ce matin
Léa : Et qui est-ce ?
Erwan : C'esr l'infirmier qui venait s'occuper de notre victime tout les matins
Léa : Merci Erwan, je vais aller l'interroger
Erwan : Marchal s'en est déjà occupé comment
Léa : Merci, on se retrouve à la gendarmerie alors

Léa : Capitaine Marchal
Paul : ( souriant ) Bonjour commandant. Vous allez bien ce matin ?
Léa : Bien merci, et vous ?
Paul : Ça va toujours quand je vous vois
Léa : ( chuchotant ) arrête on travaille là
Paul : Évidemment, pardon
Léa : ( exaspérée) Bon alors, vous avez des infos à me donner ou pas ?
Paul : L'infirmier qui s'occupait de notre victime venait depuis 15 ans déjà
Léa : Il n'a rien remarqué de particulier ces derniers jours ?
Paul : Apparemment elle semblait préoccupée depuis 3-4 jours
Léa : Ok, on va l'interroger à la gendarmerie, on en saura sûrement un peu plus
Paul : Ok, à tout à l'heure

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