Poésie d'une âme libre

Hey j'ai besoin de toi

Hey salut! J'ai besoin de toi ce soir
Ça fait des mois que je broie du noir
J'ai juste quelques petites questions à te poser
Promis! Tu réponds tout simplement puis je m'en vais
Alors heu...
Dis-moi pourquoi je n'arrive pas à l'oublier ?
Pourquoi mon cœur fait un saut quand son nom est cité ?
Hier j'ai pensé à lui, aujourd'hui encore je l'ai fait
Et maintenant il envahit toutes mes pensées
A vrai dire, je pense à lui tout le temps
Même si à cause de lui mon cœur est en sang
Bizarre mais je continue de penser à sa manière de rigoler
A sa manière propre qu'il avait de me taquiner
Je pense encore à l'odeur de son parfum tu sais...
En vrai je doute que c'est soit moi qui l'ai aimé
Non! Mon être ne l'avait pas aimé
C'était quelque chose de très fort
L'amour est aussi fort que la mort
Cette force avait laissé des barrières ouvertes
Et il avait atteint mon âme
Je savais que j'avais commis une grosse boulette
Et toutes ces larmes qui coulent ce soir, sont juste les cries de mon âme
C'était mon âme qui l'avait aimé
Et elle est séparée de son être adoré
Ce foutue âme c'était attaché sans me le demander
A cause d'elle mon corps entier est perturbé
Les maux du corps sont les maux de l'âme
Les mots de ce texte sont les mots de mes larmes
Tu sais... j'ai vraiment peur
Peur que mon âme prenne la fuite
A l'intérieur de moi, elle perd sa splendeur
A chaque minute sa lumière est réduite
Si elle part... que vais-je devenir ?
Il a pris mon cœur, je n'avais pas pensé aussi à mon âme
Qui étais tu réellement bel inconnu
Oh! J'ai dis bel... je voulais dire misérable inconnu
J'avais cru que tu étais un ange mais j'avais oublié que certains aussi étaient déchu
Ton passage à tout emporté avec lui
Pire qu'un tornade, tu as déraciné la terre
Maintenant il ne reste qu'espace, vide, néant, nuit
Je n'avais pas mis des barrières, j'avais oublié les barrières
Ame! Étais ce ton âme sœur ?
Toi qui n'a même plus de père, ni de mère et ton frère vient de partir
Sans même regarder comment il t'a fait souffrir
Écoute moi et reviens à la raison
Il ne t'aime pas et oublie cette liaison
Tu mérites mieux, tu es une lumière
Où que tu passes tes rayons éclaires
Je t'en supplie reviens vite à la raison
Tout mon être souffre
C'est pire qu'une pendaison
Tu peux vivre sans moi mais pas l'inverse
Je ne deviendrai qu'une ombre si tu me laisse
Oublie il ne reviendra plus