Aaron
Un mois. Un mois, que je n'ai aucune nouvelle d'elle. J'ai pourtant cherché dans tous les coins de la ville. Je me suis même rendu chez sa meilleure amie. Mais aucune, trace de ma Solène. Ou est-elle ? Lui est-il arrivé quelque chose ? J'ai fait tous les hôpitaux de la ville, commissariats... En vain rien de rien. J'ai donc eu recourt à ma dernière option, un détective privé. Là je suis sûr que j'aurais des réponses à mes questions. Elle est partie, s'en prendre une seul affaire. Son portable à étais couper, ligne indisponible. Je n'ai aucun moyen de la retrouver.
Ce matin, j'ai la tête encore en vrac de la cuite que je me suis pris la veille, que l'on vient sonner à ma porte. Le malheureux, qui à oser m'emmerder de si bon matin, à intérêts d'avoir de bonne nouvelle à m'annoncer sinon il est mort. Je vais ouvrir. Et, la tête de con de mon meilleur ami, ce dévoile devant moi. Tous sourire, il entre avant même que je ne l'invite à entrer.
– Entre, je t'en prie ! Dis-je dans un sarcasme.
– Tu à une mine affreuse, mon pote. C'est, quand la dernière fois que tu as pris une douche ?
– TA GUEULE !
– Je suis ravi de te voir aussi.
Je le vois déambuler dans ma cuisine et me verser une tasse de café noir. Puis, me le pose devant moi accompagner d'un croissant.
– Merci, maman ! Lui dis-je avec un sourire moqueur.
– Ha Ha ! Moque-toi de moi, vas-y. Mais, en attendant, il n'y a que moi qui prends soin de toi. Et......
– Et, quoi ?
– Je suis venu au nouvelle. Tu as des nouvelles d'elle ?
– J'ai une tête à avoir eu des nouvelles de Solène ? Non, je n'est toujours rien. Et, ce putain de détective n'a pas l'air de faire son boulot.
– Il faut lui laisser du temps. Ça ne fais que une semaine que tu lui à demander son aide. Laisse le temps faire son travail.
– Tu es devenu philosophe maintenant ? Me moque ai-je de lui
– Non, mais je relativise. Si, il lui aurait arrivé quoi que ce soit on l'aurait su par la police ou les hôpitaux... Tu à essayer de téléphoner à sa familles ?
– Bien sûr tu me prends pour un con !
– Non, mais on ne sait jamais si tu aurais arrivé à avoir quelqu'un depuis.
– Non, rien ! Comme si la famille Lopez n'avait jamais exister.
Nous buvons notre café en silence, quand on frappe à la porte. Je regarde mon ami, que ce redresse aussi vite que moi. J'ouvre !
– Monsieur Fuentes, bonjour !
– Monsieur Clain ! Entrer !
Je fais entrer mon détective privé. Et ne perd pas une minute, je lui demande s'il a du nouveau.
– Je les retrouver !
– Quoi ?
– D'après, mais dernière source. Mademoiselle Lopez aurais étais vue dans une clinique privé sur Madrid.
– Quoi ?...Qu'Est-ce qu'elle a ?
– Elle...Rien...Mais, sa grand-mère qui est gravement malade.
– Mais, j'ai appelé chez eux, j'ai contacté tout le monde.
– Vous auriez eu peine à l'avoir au téléphone ou la trouver. La maison de sa grand-mère à étais vendu. Les soins hospitalier coûte vraiment très cher et pour cela, ils ont dû vendre tous leur bien.
– Ou est-elle ?
– Mademoiselle Lopez, vie dans un petit studio au-dessus du café qui l'emploie. Elle y travaille de nuit, et travaille trois heures dans la journée dans une entreprise en tant que secrétaire. Le reste de son temps libre, elle le passe au chevet de sa grand-mère.
Je ne laisse pas le temps à Clain de finir, j'attrape mes clés, mon portable et me précipite vers la sortie.
– Oh ! Attend ! Me rattrape mon ami.
– Quoi ?
– Tu comptes allez ou comme cela ?
– Je vais la voir, j'ai besoin de lui parler. Ca fais 1 mois que je me torture l'esprit, de me dire qu'elle est partie à cause de moi. Alors, laisse-moi passer ou tu attrapes mon poing en pleine gueule.
– Explose-moi le nez si tu en as envie. Mais, tu vas déjà prendre une douche et ensuite je te déposerais à l'aéroport. Mais, avant d'aller franco à l'hôpital, il te faut réfléchir à comment l'aborder.
Je toise mon ami. Pour, une fois il n'a pas tort. Je ne peux pas partir dans cet état. Et je ne peux non plus, la brusquer. Solène est une petite fleur fragile. Il faut que je trouve comment l'aborder. Et lui dire comment je les retrouver. Je veux qu'elle ait de nouveau confiance en moi et ce n'est pas en débarquant dans la chambre d'hôpital de sa grand-mère ou à son petit studio merdique que je vais réussir à lui parler. Il faut, que je me calme avant de retrouver celle que j'aime et qui fais battre mon cœur.