chapitre 1

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Je me nomme hadiza .je suis d'origine malienne j'ai 17 ans et je suis élève à la troisième année au lycée.
Je viens pas d'une famille plutôt je vis avec ma mère. Elle seul celle qui ma mise au monde non celle qui sacrifierait sa vie pour moi comme toute mère le fait pour ça fille.,certes elle ma donné naissance mais n'a aucune affection pour moi ce qui me paraît logique puisque c'est pas par plaisir qu'elle m'a porté pendant neuf mois non elle a été victime de viole selon ce qu'elle ma dit donc c'est pourquoi j'ai qu'elle dans ma vie pas de père  ni sœur ni frère comme les autres .ainsi il m'arrive parfois de dire que je suis unique.bref revenons à nos moutons.

-hadiza  !!
_oui ! Maman! J'arrive
-si tu fais les cent heures là haut et que je perds mes un million tu le regrettera amèrement je te le promets .

Oui c'est comme ça avec elle la vie n'est voué qu'à l'argent. Elle ne pense qu'à elle et ne s'occupe jamais de moi,de mes ambitions ni de mes sentiments. Elle veux seulement que l'argent rien que l'argent parfois je me demande vraiment si elle ma mis au monde .mais mes doutes s'en vont quand je la regarde et me regarde nous  nous ressemblons tellement.
Oui elle n'est pas aussi vieille elle a 35 ans. Donc je suis un peu jeune qu'elle puisse qu'elle prend soin si bien d'elle.
-maman je t'écoute.
-et c'est maintenant tu viens te planter devant moi ?
-non...!!
-c'est bon jeune fille ! J'ai pas besoin de tes explications. Et puis regarde moi ça
Je me regarde de la tête au pied.
_maman quoi?
-et puis elle  ose me demander.
Étant anxieuse je baisse la  tête oui avec elle c'est toujours comme ça.
_hadiza si par malheur je  peur mes un million tu vas regretter amèrement.

Je la fixe
-arrête de me regarder de la sorte, ne t'avais je pas dit d'aller te faire belle  ?cria t'elle
-oui !oui !maman
-arrête de bégayer et monte vite dans ta chambre je vais m'occuper de toi le ministre viens te chercher dans deux heures .

Je la fixe toujours
_et que fait tu planter là encore à me regarder comme ça ?
-oui oui maman j'y vais
-et arrête de m'appeler maman !hummmm cette fille là m'agace.
Je file dans la chambre aussitôt avant qu'elle ne se mette en colère d'avantage sinon ça  serait catastrophique pour moi

Une fois dans la chambre je me déshabille et me détresse.

Hummmm vous vous demandez ce que j'ai à foutre avec le ministre.
Bref vous alliez le savoir dans peu .

_que fais tu assise là ! Cria t'elle
_oh ma..man j...je.
-arrête de bégayer et enlève moi cette serviette et couche toi.
Je me déshabille aussitôt puis me couche .oui c'est comme ça toujours quand j'ai un rendez-vous avec un client elle me place des pilules et me fait des massages puis me donne quelques fruits et médocs.
_écarte moi ça dit elle froidement
J'exécute sans broncher un mot.
_maman pourquoi tu me fais ça
Elle me regarda aussitôt d'un regard interrogatoire
_maman tu sais très bien de quoi je parle et ne me fuis pas cette fois.
Elle resta silencieuse pendant quelques minutes.  je me redresse , pris ma serviette et l'attache.
-ma fille...
je la regarde aussitôt. Puisqu'elle ma jamais appelée ainsi depuis que j'ai su déchiffrer les mots
_oui ,je sait que tu es  surpris ,que crois tu que je t'aime pas ,que je te considère pas tout  ce que je fais c'est pour toi et rien d'autre,si je t'aimais pas crois tu  que j'allais te porter durant neuf mois et subir tout ces douleurs,ces insultes et humiliations que j'ai eu à  supporter pour  toi à  tu penser à ça jeune fille.

Elle s'arrête pendant un bout de temps et versa des  larmes , ce qui ma vraiment touché. ...
-ma...man j...je vou...lais...pas te faire...
_no..non..ma fille  c'est pas  pour tes mots que je pleure
_maman s'il te plaît pleure pas
-non hadiza laisse moi te dire tout maintenant puisque tu est  devenu mature..
Je me tue et ne dit rien encore. Elle pris un grand souffle.
-hadiza ma fille dit elle  en Sanglot...
-maman s'il te plaît te force pas ..
-non hadiza tu as le droit de le savoir..
Elle prend un grand souffle puis essuya ses larmes.
_ma fille il ya 18 ans de cela je vivais dans une famille tellement harmonieuse que je ne saurais le décrire. J'avais des sœurs et frères,certaines étaient du même mère que moi d'autre  non ,je vivait dans  une famille musulmane et très pratiquant ,où on appliquait la charia  ,oui je vivais au nord du mali plus précisément à GAO ,on était toutes voilées nous les filles. mon papa était le chef de son village et l'imam aussi,il était  polygame il se nomme oumar Abdoul Mohamed maïga .il avait quatre femme la mienne était la deuxième elle s'appelle zeïnab haïdarra elle était shoraï comme papa . On vivait tous dans  la même cours et on vivait en famille toute  le monde s'aimaient.

On nous enseignait la religion. Oui mon papa ne blaguait pas avec tout  ce qui concerne la religion il était très  sévère et riait peu tout le monde le respect dans notre camp . Et nous les filles on sortais moins dans la journée et  la nuit  jamais...
Un maître coranique venait nous donner des cours  tout les jours on apprenait des sourates, des conseils sur la vie...tout ce qui était de rapport avec la religion.
Au-delà de tout ça il nous était interdit de parler aux hommes qui peu nous marier c'est à dire mis à part nos pères, frères ..tu vois. Tout
Ça pour éviter une éventuelle relation hors mariage,et si par hasard une fille se fait enceinté sans s'être marié. Elle va subir cent coups de fouet avec le l'homme avec qui elle a commis l'acte ainsi était fondée notre village. Ainsi ma fille...

Elle tomba en sanglot ,je la prends dans mes bras pour la réconforter. Après quelques minutes elle reprit..
_ma fille un de ces jours je suis sortie avec une de mes sœurs pour rendre visite à une tante  un peu loin de chez nous. Et sur la route nous tombons sur une voiture où il y'avais de hommes étrangers il nous ont fait signe de venir mais on les prête pas attention. On trousse ainsi notre chemin ayant la tête baissé oui chez nous on avait pas le droit de regarder les hommes dans les yeux.
Et puis après quelques mètres de trajet on aperçoit ces deux inconnus nous suivre ,on était tellement effrayé on essaya de courir on était un peu loin du destination. Ainsi comme nous nous sommes des filles on c'est pas courir aussi bien qu'eux avec nos grands boubou ,il nous attrape en se moment j'étais tellement effrayé que je ne saurai le décrire ma sœur elle déjà c'est évanoui.
Tu vas me dire pourquoi ? Parceque tout simplement on n'avait jamais eu à faire tête à tête seule avec un  homme étranger qui n'est pas nos proches on ne fréquentait pas d'hommes ainsi je commença à crier.







la fille bernée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant