01.

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Lundi,

Mardi,

Mercredi,

Jeudi,

ıpǝɹpuǝʌ,

Samedi,

Dimanche.









Tu n'iras pas là où le vent te mène,

tu iras là où tu voudrais que le vent te
suive.

Tu tente alors de diriger le vent par tes
pensées et ta force.

Tu t'émiette graduellement, en comprenant que tu n'est pas maître de ce vent.

Tu iras à l'encontre de tes décisions,
en mettant  ton pied au feu.

Tu ne ressentira aucunement la douleur de ce feu ardent, car tu as déjà goûté a pire,
que ce dernier.









𝘓𝘦𝘴 𝘦́𝘭𝘢𝘯𝘴 𝘥𝘶 𝘤𝘰𝘦𝘶𝘳.













Tu as recommencé,
tu as réitéré,
tu as renouvelé,
tu as répété,
tu as rouvert la porte à ce sentiment.

Ce sentiment si doux, et fourchue.
Ce sentiment si sucré et amer,
ce sentiment si tendre et dévastateur..

il te dira j'accepte que tu me ferme la porte le temps d'un instant,
mais il te sera impossible de l'a
verrouillé car je reviendrai à un autre moment.

Qu'à t'il fait en revenant ?

Très chère,
sa conscience ne fonctionne plus, elle est comme gelé face à cet événement,
qui ce répète en boucle.

Les larmes ne portent plus de noms.
Quand une coule pour une cause,
l'autre coule pour une autre.

Ces larmes ont remplie ses manches,
son oreiller,
sa table à manger,
son assiette,
ses cuisses,
ses mains..

Elle n'a plus besoin de pluie,
elle a fait coulé plus que ses goutes.

Elle n'a pas besoin de neige,
ses mains ont déjà gelées.

Elle n'a pas besoin feuille,
ses cheveux s'effritent entre ses mains.

Elle n'a pas besoin de lauriers,
a son touché elle a l'impression de les contrarier.

..elle aime pourtant les roses, pourquoi ne pas lui offrir de rose ?

Parce qu'elle ce blesse avec les roses, les épines laisse un liquide rouge taché ses vêtements.

Ce sang qu'elle n'a jamais faite couler volontairement,

elle n'en avait jamais vue la couleur,

même lorsqu'elle est morte.

..ma foi, ayez plus de compassion ?
Comment est-elle morte ?

Elle est morte flambée par les couteaux suisses portant le noms,
de ceux qu'elle a aimé.

...le dernier coup fut d'une fatalité telle qu'elle n'eut plus la force de le retirer, comme elle avait su le faire par le passé.

Elle mourra amoureusement ce détruisant le cœur saignant, de l'auteur de ce crime passionnel.

Son testament fut modifié,
chaque période diurne.
Il ce remplissait telle une urne.

Chaque jour apportait son lot de déchirures intimes,

telles des fissures silencieuses mais profondes dans les méandres de son âme.

Âme au cœur blanc souffrant.

Elle est seulement morte.
Morte de vendredi.






































El Laurel Rosa.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 01 ⏰

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« Mourrir de vendredi »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant