Chapitre 2

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PDV Tendou:

Je suis là à les regarder s'embrasser... 

Alors voilà la raison pour laquelle il ne me portait plus autant d'attention qu'avant. Je ne suis plus assez pour lui? Il ne m'aime plus, je ne l'attire plus? J'ai du faire quelque chose de mal pour qu'il aille voir ailleurs. Je vais le laisser il a l'air d'apprécier... Même lui doit penser que je suis un monstre.

J'ai préféré partir en cours et essayer d'oublier ce petit événement. Ce matin il n'y a pas entraînement mais je ne peux pas m'empêcher de partir dans les vestiaires, je ne suis pas d'humeur pour aller en classe pour l'instant. Je me pose sur l'un des bancs. J'ai les yeux qui piquent et je ne peux pas m'empêcher de pleurer, les sanglots grandissant de minutes en minutes. Je ne sais même pas pourquoi je pleure, je ne l'aimais plus, il me maltraiter, alors pourquoi...
Probablement car il a enfin décider que j'étais un monstre sans cœur qui n'est aimé par personne.  Je me calme légèrement au bout d'une dizaine de minutes.

Je n'avais pas remarqué mais la porte était entre ouverte et une silhouette se trouvait derrière.

-Qui est là ? Criais-je légèrement, la voix tremblante.
La porte s'ouvrit petit a petit, je pouvais désormais apercevoir wakatoshi-kun dans l'entre bâillement du vestiaires. Il s'installa alors à côté de moi sur le bancs mais ne dit rien. Il attendait probablement que je dise quelque chose mais rien ne pu sortir. Il ne dit rien mais son silence me réconfortait, c'est comme si, rien qu'en se regardant dans les yeux, on pouvait communiquer. Son regard franc voulait tous dire. ''Je suis là pour toi, tu n'a plus à être seul.'' Ce silence étant tellement agréable que je m'endormis sur son épaule droite.

Je me réveille un peu après, j'ai dû m'endormir au moins une vingtaine de minutes. Je relève la tête et aperçois wakatoshi-kun. Il somnole légèrement. Je me relève et le regarde, je sors mon téléphone pour vérifier l'heure et c'est à la grande surprise que je vois que j'ai dormi trois heures.

- Wakatoshi-kun, pourquoi tu ne m'as pas réveillé ?

- Je ne voulais pas de déranger, tu avais l'air si paisible. Dit-il d'une voix neutre.

Je ne répondit pas et reposa ma tête sur son épaule, il semblait légèrement surpris de mon action mais ne m'en dit rien. A la place il déposa le côté de sa tête sur la mienne. On resta comme ça jusqu'à la fermeture de la matinée, il me semble que nous nous sommes endormi mais je ne m'en rappel plus.

Le reste de la journée fut banale mais une impression de manque s'est faite ressentir tous le long de la journée. Je ne sais pas de quoi mais cette sensation était plus que désagréable.

Mon dernier cours à sonné et je me dirige vers la sortie. En m'approchant du portail je pus apercevoir une voiture qui ne m'est pas étrangère... Évidemment c'est SA voiture. Je me retrouve paralysé à côté des grille à observer l'objet de mon mal être. J'avais été tellement occupé que je l'avais complétement oublié.

À suivre.

Tu n'est pas un monstre !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant