C’est le début de soirée quand je rentre enfin chez moi . A Palerme. Ça fait du bien d’être à la maison . Et de savoir qu’elle est là. Ça fait deux ans que j’attends ce moment. Deux ans que je me languis qu’elle m’appartienne. Et enfin ce jour est arrivé.
Je monte dans ma chambre, et après une douche rapide passe un jean, un tee-shirt noir col V et des chaussures. J’ouvre mon balcon prend l’air quelques secondes et me dirige vers les portes fenêtre rester ouverte sur ma gauche.
On ne partage pas la même chambre, pas encore, mais je ne pense pas qu’elle sache que nous avons le balcon en commun. Les rideaux de sa chambre s’agite doucement. Mes chaussures ne font pas un bruit quand je pénètre dans sa chambre.
Je la découvre endormie sur son lit, sa respiration est régulière, calme. Elle dort sur le dos ses magnifiques cheveux brun éparpillés sur l’oreiller, une main sur son ventre , l’autre au dessus de sa tête. Elle est tellement belle.
Je m’approche et m’assois sur son lit, je regarde ses long cils épais, sa bouche rose et charnue, sa poitrine rebondi.. mon dieu cette fille est un appel au crime ! J’ai envie de la toucher mais je ne veux pas la réveiller. Au moment où j’allais me lever, quelques chose attire mon regard sur sa table de chevet. C est une photo. Je la prend et l’observe quelques secondes. Il y a une femme et un jeune garçon. Vu la ressemblance entre Valentina et cette femme, je suppose que se doit être sa mère. Le jeune garçon quant à lui ce doit être son frère Scott. Ils sont tout deux décédé. Sa mère a sa naissance et son frère lors de cette nuit que je n’oublierais jamais.
Je me passe la main sur le visage, chassant ce mauvais souvenir, dépose la photo où je l’ai trouvé et regagne la porte. Arrivé au rez-de-chaussée, Gianni à qui j’ai demandé de m’amener quelques chose est déjà là.
Gianni, c’est mon petit frère il a vingt ans, et il n’est absolument d’accord avec ce que je compte faire à Valentina. Et il ne se gêne pas de me le dire.
- Salut frérot.
- Salut, tu as ce que je t’ai demander ?
Il hoche la tête en me tendant la boîte.
- Pourquoi tu ne lui offre pas la bague de maman ?
- Parce qu’il est hors de question qu’elle porte la bague d’un être cher. Elle ne l’a mérite certainement pas !
Mon frère souffle et me lance son regard qui dit « je suis désolé que tu sois devenu comme ça » .
- Il n’y a aucune chance pour que tu change d’avis ?
- Que je change d’avis pour quoi ?
- Pour cette vengeance ridicule !
- C’est loin d’être ridicule, papa et maman sont mort ce soir là !
- Et elle a perdu son frère ! Elle n’ai en aucun cas responsable de cet accident et tu le sais !
- Je sais oui . C’est son connard de père qui en est responsable . J’ai juré à papa sur son lit d’hôpital que je le vengerai, et c’est ce que je compte faire !
- Tu comptes la tuer ?
A présent mon frère me regarde avec de la colère, les poings serré le long du corps, prêt à bondir si ma réponse ne lui convient pas.
- Non. Je ne la tuerai pas. C’est la vie de son père que je veux. Mais je veux qu’il souffre avant et Valentina va m’y aider.
- N’as-tu pas pensé que tu pourrais tomber amoureux d’elle ?
- Ne soit pas ridicule.
Gianni s’approche de moi me flanque une tape sur l’épaule et me dit en me désignant l’escalier derrière moi :
- Je serai toi j’en serai pas si sûr.
Je me retourne et découvre Valentina, en train de descendre les escaliers. Putain ! Pourquoi faut il qu’elle soit aussi belle ? Elle nous rejoint dans sa jolie robe turquoise, ses pieds nus, ses superbes jambes fuselé.
- As-tu été dans ma chambre ? Me demande de t-elle.
- Bonjour à toi aussi.
- Je t’ai poser une question.
- Et j’ai décider de ne pas te répondre.
Elle souffle et son regard se pose alors sur Gianni. Lui la dévore des yeux, et je me demande si j’ai bien fait d’inviter mon frère à venir passer quelques temps ici. Après tout ils ont presque le même âge. Je jure que s’il l’a touche, famille ou pas, je vais le massacrer.
- Salut, moi c’est Gianni ! Se présente t-ol
- Je suis censée en avoir quelques chose à foutre ?! Lui répond elle.
Je masque mon sourire avec ma main, ça c’est ma belle petite princesse. Gianni, marmonne un truc comme quoi il doit y aller et s’éclipse.
- Je pensais que tu n’aurai pas oublier pourtant, apparemment je me suis tromper.
- Oublier quoi ?
- La leçon de ce matin. Lui dis-je.
Aussitôt son corps se tend, ses joues se teinte d’un jolie rouge et elle ne sait plus ou se mettre.
- Nous allons bientôt dîner.
Je la regarde de haut en bas et poursuit :
- Donc tu es mignonne tu vas aller mettre des talons.
Je vois bien qu’elle a envie de me répondre, elle se mord la lèvre inférieure pour éviter de dire quoi que se soit. Je meurt d’envie qu’elle me réponde, que je puisse de nouveau lui donné la fessée. Ses superbes fesses, je rêve de les voir nues sous ma main. Elle déglutis péniblement, et alors que je pensais qu’elle allait me dire quelques chose, elle se ravise et se contente de hocher la tête.
Brave fille.
- Je t’attend sur la terrasse, tu as trois minutes.
Sur ce, je tourne les talons et vais rejoindre notre table, je m’assois à ma place , dépose l’écrin à côté de moi. Je me demande bien si elle va tenir son silence une fois que je lui aurai passer la bague de fiançailles au doigt.
J’espère que non. Ma main me démange.
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Un amour inattendu
RomanceValentina n'a pas eu une vie facile, encore moins depuis la mort de son frère il y a deux ans. Elle s'attendait à tout, sauf à être l'objet d'une vengeance . Vicente à perdu ses parents lors d'un accident de voiture il y a deux ans, il est prêt à t...