Un amour inattendu

Vicente

Dire que j’ai failli lui dire Je t’aime ce matin. Sérieusement, qu’est-ce qui t’es passer par la tête Vicente ! Elle était là avec ses beaux yeux bleu-vert, à me demander pourquoi je voulais qu’elle reste. Et j’ai presque dit parce que je t’aime ! Débile ! Rien de mieux pour la faire fuir, putain ! Et d’où sa sort ça d’ailleurs ?! Depuis, quand je ressens autre chose que de la haine ? Faut que j’arrête de me voiler la face ! C’est vrai, je l’aime. Depuis cette fameuse nuit où j’étais venu dans sa chambre, l’avertir que je viendrai la chercher. Je suis tout de suite tomber sous son charme. Ses grand yeux magnifique, ce si jolie visage, cette gentillesse, cette bravoure et cette tristesse. Tout en elle m’a plu. Six mois plus tard, je me suis fais tatouer son prénom. Je doute qu’elle l’ai vu. Comment réagira t-elle quand elle le verra ? J’aimerais qu’elle écrive mon nom dans sa peau, elle aussi. Mais le voudra t-elle ? J’en doute.
Voilà, s’est dit je suis raide dingue d’elle ! J’avoue ne m’en êtes rendu compte seulement hier soir, quand j’ai cru la perdre. Mais, peu importe. J’étais déjà prêt à tout pour elle. Maintenant encore plus. Ce qu’elle m’a dit, enfin, plutôt hurler. Qu’elle ne voulais pas m’épouser. Ça m’a mis en rogne, j’ai garder mon calme, mais j’avais juste envie de l’amener illico presto à l’église, et l’épouser sur le champs ! Mais, encore une fois, ce n’est pas la meilleure façon de faire. Je veux vraiment qu’elle soit heureuse à mes côtés. Je veux qu’elle devienne ma femme, parce qu’elle l’aura voulu, et pas parce que je lui impose. D’ailleurs je compte, lui offrir la bague de ma mère. Quand et comment je ne sais pas encore. Bientôt.
Pour le moment, il faut que je rende à une réunion importante. Gianni, va rester ici avec elle, histoire qu’elle ai de la compagnie. J’ai bien compris, qu’elle se sent seule. Je compte bien y remédier. Quand je ressors de la salle de bain, Valentina n’ai plus dans ma chambre. Cela ne m’étonne pas le moins du monde. Le contraire aurait été bizarre. En descendant, je préviens Anna que je serai absent pour la journée, et lui dit que Gianni reste auprès de Valentina.
La matinée défile à toute vitesse, mais, pas encore assez vite à mon goût. J’ai juste envie de retourner chez nous, et d’embrasser ma fiancée. Je regarde ma montre, plus que deux heures et je la retrouve.
Je suis en pleine réunion avec mes associés, pour discuter du devenir de la société, dont Valentina va hérité. Mon téléphone sonne. C’est Gianni. Étrange, il sait qu’il ne faut pas me déranger, sauf en cas d’urgence. 
-         Veuillez m’excuser. Dis je à mes associés. 
Je sors dans le couloir et décroche. 
-         Gianni, qu’est-ce-qu'il se passe ?
 -  Vicente ! C’est moi !
Valentina ?! Putain, qu’est-ce qui se passe ?
 - Valentina ? Bordel ! Qu’est-ce que tu fais avec le téléphone de Gianni ?
 - On a besoin d’aide Vicente ! Des hommes nous on suivis, Gianni est en train de se battre contre quatre de ses hommes, je ne sais pas où sont les autres. Ni combien ils sont.
Je retourne dans le bureau, récupère mes clés de voiture, cache l’embout du téléphone et dit à mes associés que j’ai une urgence.
 - Calme toi Valentina. Je vais venir. Trouve une planque et attends moi. Je me dépêche. D’accord ? Je te promet que je vais venir te chercher.
J’ouvre ma voiture est démarre en trombe.
 - J’ai peur Vicente.
 - Je suis déjà en route. Cache toi bébé.
Je raccroche et compose de suite le numéro d'Antonio, mon hacker.
-         Ouaip.
-         Antonio, j’ai besoin que tu me localise de suite le téléphone de Gianni, c’est urgent.
-         Bien.
Je l’entend pianoter sur son clavier, deux minutes plus tard j’ai leur position.
-         Il est localiser dans une ruelle près du centre-ville de Rome. Je t’envoie sur ton téléphone sa localisation exacte.
-         Merci. Si le signale bouge, préviens moi.
-         OK.
Nous raccrochons, j’accélère, pieds au plancher, une chance que ma réunion se passer pas loin de Rome. En chemin, j’appelle du renfort, je ne sais pas combien ils sont. Je préfère être en supériorité numérique. Mon téléphone sonne, c’est Antonio.
-         Oui .
-         Le signale bouge. Il est en direction de l’aéroport.
-         Putain  ! Ne lâche pas le signale. J’arrive à Rome, je vais aller jeter un œil au cas où.
-         Bien.
Je raccroche. Je part avec une petite partie de mes hommes, en direction de la ruelle ou se trouvait Valentina tout à l’heure. Rien. Aucune trace d’elle.
-         Valentina ?!
Je l’appelle au cas où elle serait cachée. Mais toujours rien. Je redescend la rue en contrebas. Aucune trace de Valentina ou même de Gianni. Bordel !
-         Lucas !
-         Patron.
-         Prend des hommes avec toi et passe la ville au peigne fin. Je vais suivre la seconde piste. Si jamais tu trouves quelques chose appelle moi sur le champs !
-         Oui, patron.
Je retourne à ma voiture et rappel moi  hacker.
-         Alors ?
-         Le signal est dans un avion, ou un jet en direction de la France. Je ne serai sa position qu’une fois l’avion poser.
-         OK. Je prend mon jet pour la France, s’il y à un changement préviens moi.
Je raccroche et appel mon pilote.
-         Pedro. J’ai besoin que tu prépares mon jet. Je serai là dans trente minutes.
-         Bien monsieur.
Je roule pieds au plancher. Bordel ! Qui peut bien être derrière tout sa ? Pourquoi Gianni l’a-t-il amener ici ? Et où est-il ? Putain  ! Je jure que s’ils leur arrivent quelques chose, je ne répond plus de rien !