Richard mon frère

Chapitre 8 - Richard et Linda

Samedi matin Richard se réveilla mouillé comme à son habitude se souvenant des événements de la veille. C'était surprenant. D'un coté son comportement le dérangeait, mais cette sensation agréable de sucer son pouce, se sentant redevenir, non c'était pas possible, un bébé.
"Non je ne veux pas être un bébé. Ca n'arrivera plus."

Se rappelant qu'il avait un rendez-vous avec sa copine Linda, il se sentit revivre. Ca lui ferait du bien de passer du bon temps avec sa copine. Ca serait une bonne thérapie. Quelques heures plus tard, il était au volant de sa voiture, Linda à ses cotés. Elle remarqua qu'il ne se comportait pas comme à l'accoutumée. Ils se garèrent dans un parking plutôt désert, prés d'un immeuble abandonné.
Il enlaça Linda de ses bras et lui dit combien il l'aimait.
Un baiser lui servit de réponse. Au comble de l'excitation, il descendit ses mains vers les sous-vêtements de sa copine. Non !
Une affreuse sensation l'envahit. Il allait perdre le contrôle de sa vessie encore une fois, et il était effrayé à l'idée de mouiller son pantalon une nouvelle fois. Paniqué, il ouvrit la porte de la voiture et sortit. Etonnée, Linda lui demanda "Que ce passe-t-il ? Où vas-tu ?" Sans répondre, il tourna au coin de la rue et s'arrêta. C'était fait ?
Non, il était heureux d'avoir reprit le contrôle de la situation, sans savoir comment. L'important était que son pantalon était encore sec et que son envie était partie. Soulagé, il retourna vers la voiture.
Penaud il s'enfonça dans le fauteuil. "Qu'est ce qu'il t'a prit ?
Tu vas bien ? Je t'en pris dis le moi ce qui va pas. Je t'aime tu sais ?" Humblement il commença à lui dire qu'il avait de sérieux problème, mais qu'il ne voulait pas en parler. Elle lui répondit qu'elle l'aimait et qu'elle était prête à passer le reste de sa vie avec lui." A quoi servent les amis si on ne peut pas compter sur eux pour partager les problèmes." Lui dit-elle en passant ses bras autour du cou du jeune garçon affolé. Se calmant un peu, il décida de lui dire la vérité en espérant qu'elle comprenne. "J'ai développé un sérieux problème médical qui semble avoir des répercutions sur ma vessie. Je deviens incontinent je crois. J'ai des difficultés à me contrôler, heu, tu vois ce que je veux dire ? Et je dois porter quelque chose la nuit pour les incontinent." Il poursuivit en lui racontant ce qui s'était passé durant les journées.

"Je suis vraiment effrayé et ça allait se produire tout à l'heure, et par chance ca n'est pas arrivé. Je ne sais plus quoi faire." Dit-il d'une voix sifflante. Il était sur le point de craquer. Des larmes coulèrent de ses yeux.

Durant le récit de Richard, elle pensa "J'aime ce garçon et il a de graves problèmes. Je dois tout faire pour l'aider." Elle déclara fermement : "Pourquoi ne retournons nous pas chez toi pour que tu mettes un de ces sous-vêtements et après on ira au cinéma. Ca te calmera et tu te sentiras mieux." Richard acquiesça et démarra.
De retour chez lui, Linda voulait de plus en plus lui venir en aide du mieux qu'elle pût. Il l'amena dans la salle de bains et lui montra l'une de ses protections en pensant que ça ressemblait de plus en plus à une couche. Elle lui demanda si elle pouvait l'aider à la lui passer. Richard hésitait, mais accepta quand elle lui fit un baiser passionné.

Etendu sur son lit, elle l'aida à se dénuder, puis lui passa sa couche.
Richard voulu l'aider pour se sentir moins démuni, mais dès qu'il sentit le contact de la matière ouatée sous ses fesses, son excitation revint et les mêmes sentiments que la fois ou son frère l'avait langé revint. Il voulait dire à Linda d'arrêter, mais le plaisir était trop fort. Elle décida qu'une petite caresse l'aiderait certainement à le réconforter et à oublier ses problèmes. Elle ne savait ce qu'elle allait faire. Assise sur le lit, elle plaça la tête de Richard sur son épaule et l'embrassa sur son front. Richard fondait de plaisir.
Il ne savait plus où il en était. Il essayait d'y voire plus clair quand une envie de sucer son pouce "Non je veux pas." Pensa-t-il.
"Mon problème n'est-il pas plus que médical ?" Il essaya de lutter contre ça, mais la bataille était perdue. Finalement il mit son pouce dans sa bouche et le suça. Linda était une fille fantastique. Elle n'était pas complètement surprise du comportement de Richard.
Quelque part, aux tréfonds de son esprit, elle savait que Richard avait besoin d'être traité comme un bébé, et elle allait le faire.
Avec délicatesse, elle commença à lui mettre sa lotion, "comme à un bébé" pensa-t-elle. Richard était dans un état indescriptible.
Il avait conscience qu'il suçait son pouce, et que Linda lui passait sa lotion. C'était tellement agréable. Il pouvait sentir les moindres mouvements des mains de Linda. Il réalisa qu'il se sentait redevenir bébé. C'était fou, mais il aimait ca, pire il ne pouvait plus s'en passer. C'était trop bon. Linda se pencha sur lui et lui caressa les oreilles. "Mon bébé, mon petit bébé". Sans prévenir, il eu une érection pendant que Linda continuait à lui parler comme a un bébé. "Ca recommence." pensa-t-il, la tête entre ses seins soyeux. Maintenant il en était sûr.
Ses protections étaient, en fait, des couches. Après ils allèrent au cinéma.
Pour la première fois de sa vie, il portait une couche sous ses vêtements.
Il se sentait confus et était sûr que tout le monde voyait qu'il portait une couche, mais personne, pour le moment, ne lui fit de réflexion.
Sa crainte de mouiller son pantalon de manière impromptue disparu quand il réalisa que sa couche était là pour le protéger. Ca, au moins, c'était plus agréable. L'esprit libre, il se consacra au film. Apres le passage obligé au "Mac Do", il la ramena chez elle. Sur le perron, elle l'embrassa fougueusement et lui dit combien elle l'aimait et qu'elle comprenait ce qui lui arrivait. Tandis qu'elle lui parlait, il sentit une vague de chaleur se reprendre entre ses jambes. Il savait qu'il venait de mouiller sa couche sans avoir le moindre contrôle, comme le fait un bébé.
C'était la première fois qu'il le faisait sans être vraiment pris de panique. Il se sentait simplement un peu gêné de savoir ce qui s'était passé, mais, après tout, mieux valait mouiller ses couches que son pantalon.