Ce devait être un lundi matin comme les autres dans la famille Unliduss. Un lundi ou la mère, Ashley, est assise à la table de la cuisine avec son café, regardant avec tendresse et amour ses deux enfants de 10 et 13 ans Charles et Victor. Tout deux, à moitié endormi devant leur bol de céréale, appréhende la journée qui les attend à l'école.
À ce moment, le père de la famille, Richard, débarque dans la pièce avec un enthousiasme qui lui est propre.
- Boooonjour à vous ma belle famille adorée !
- Allo papa...
- Lut'
- Bonjour mon chéri.
Le peu d'énergie venant du reste de la famille est loin de décourager l'homme qui affiche un sourire encore plus grand et rayonnant que lorsqu'il était arrivé dans la pièce quelques instants plus tôt.
- Oh lala ! Mais débarrasser moi de ces airs dépités. J'ai une excellente nouvelle à vous annoncer ! Ce matin, en me réveillant, j'ai reçu une alerte sur mon téléphone et deviner quoi ? Un chalet à la campagne c'est libérer pour 24 heures de pur vacance. Nous pourrons en profiter pour en apprendre un peu plus sur les plantes, les oiseaux, les insectes et je ne sais quoi d'autre. N'est-ce pas merveilleux ?
- Oui bien sur mon amour, Commence la mère peu certaine d'apprécier cette annonce soudaine, quel journée sommes nous invité ?
- Aujourd'hui même !
Les yeux de tout monde deviennent aussi gros et rond que des soucoupes. Arrivé comme ça un lundi matin est extrêmement dernière minutes. Personne n'était prêt et Victor, le plus vieux, est le premier à exprimer son avis sur cette sorti familial plus que surprenante.
- C'est bien beau, mais... moi j'ai un examen en science cet après-midi.
- Et, dans ma classe c'est la fête de Béatrice, la prof' à prévu plein de choses trop bien
- Puis, j'ai également une réunion promotionnelle pour un nouveau produit qui pourrait me valoir une bonne promotion.
- Pff, le paternel balaie l'air de la main, Oublié tous ça ! C'est une occasion qui ne se représentera jamais. JAMAIS. Bien, faites vos valises, moi je vais appeler l'école pour dire que vous êtes malade.
Sans que personne ne puisse ajouter quoi que se soit, l'homme a quitté la pièce. Un soupir collectif s'élève dans la cuisine, alors que tous et chacun se lève. Ce n'est pas la première fois que quelque chose du genre se produit et chaque membre de la famille sait parfaitement que lorsque ça arrive il n'y a simplement plus rien à faire autrement que d'abdiquer.
C'est ainsi qu'après près de 2 heures de voiture, la petite famille arrive en campagne devant un chalet aussi vieux et pourri que l'oncle George. En effet, les planche de bois s'effondre, le toit est parsemé de troues tous plus ou moins grand, le bâtiments semble ronger par les mîtes et une odeurs de pourriture envahi les lieux.
- Un vraie palace !
Le seul à se réjouir est évidemment Richard qui s'empresse de donner ses consignes.
- Déposer vos choses et venez me rejoindre dans la cour. En me garant j'ai vu de superbe plante médicinale par là-bas.
Un nouveau soupir collectif se fait entendre alors que le père de famille s'éloigne pour aller observer ses plantes de plus près.
À l'intérieur du soit disant chalet, Victor se plaint déjà.
- Un palace, une épave oui.
- Oh Victor, le reprend sa mère, fait un effort, ça fait plaisir à ton père. Ce aurait pu être pire.
À peine cette phrase terminé un cri se fait entendre, de plus en plus fort, la personne criarde approche. Bientôt, Richard est à l'intérieur, la manche de son chandail relever et couvert de boutons rouge aussi gros que des billes à jouer. Visiblement, l'homme panique.
- Mon bras, mon bras ! Regardez mon bras !
Sans dire un mot, Victor prend une photos des boutons de son père sous le regard éberlué de ce dernier. Même si le paternel se demande ce que son fils est entrain de faire, il ne dit rien. Le jeune adolescent retourne dans la voiture et ouvre un portable qu'il avait pris la peine d'emmener avec lui. Entre temps, son petit frère, Charles, rejoint sa famille avec un tapis qui semble flotter au dessus du sol
- Regardez ! En visitant ce dépotoir j'ai trouver ça. Comme dans Aladin, c'est trop coooool.
Malheureusement pour lui, personne ne lui fait spécialement attention et son frère revient avec des nouvelles de la récente blessure de son paternel.
- C'est du à une plante toxique. Le mieux c'est de te rendre à l'hopital aussi vite que possible.
- Mais, nous somme à 2 heures de la ville la plus proche ! Ça y est... ma vie est fini. Fini, fini, fini.
Le plus grand fait un visage qui semble dire ''je ne peut rien faire de plus''. C'est alors que le regard de Richard se pose sur le tapis volant trouver par Charles. Il empoigne brusquement l'objet et monte dessus.
- Toi donne moi ça !
Il repart ainsi vers la ville. Charles, Ashley et Victor s'échange alors un regard.
- On rentre è la maison ?
- On rentre à la maison.
Les trois jeunes gens remonte dans la voiture et suivent le même chemin que l'homme qui vient de partir sur son tapis magique.
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D'une histoire à l'autre
AcakPlusieurs petites histoires ici conçu à partir du jeu de la série placote: Raconte-moi une histoire. Me fourni un lieu, un moment, un personnage, un problème et une ou des solutions afin de construire une petite histoire.