|Partie 46|

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Moi: quoi ?

Elle m'a montré son tel, y'avais la story que je venais de poster.

Elle: pourquoi tu ne m'a rien dis ?

Moi: je l'ai jamais dis à personne toute façon

Elle: donc je suis la seule à savoir ?

Moi: non, Cheikh Oumar le sais et...

Elle: quoi ? Tu dis a lui et pas moi ?

Moi: il l'a su tout seul en fouillant mon téléphone.

Elle: pourquoi il fouille ton téléphone déjà ?

Moi: je sais pas.

Elle: je suis choqué !

Moi: enfin Penda, c'est rien de ouf wsh, je dance juste a mes heures perdues c'est tout.

Elle: et pourquoi t'a arrêté ?

Moi: depuis que je suis ici ? J'ai pas tellement le temps.

Elle: non j'ai bien vu que ça date de plus de 1 tes anciennes vidéo. T'a arrêté de poster quand t'étais en France.

Moi: hum

Elle: pourquoi ?

Moi: je sais pas, comme ça.

Elle: j'ai l'impression que tu me cache des trucs

Moi: arrête, je n'ai juste pas jugé nécessaire de te dire ça parce que je pense pas que c'est important. Exagère pas

Elle: non vraiment, des fois je te trouve bizarre et absente, tu me dis pas tout j'en suis sûr

Moi: *hausse les épaules* si tu veux on rentre ?

Elle s'est levé et on est parti, pour le retour on a pris un taxi heureusement.

[...]

Il a enlevé une des cordes à mon pieds et a commencé a me frapper avec. Je criais plus, ni ne le suppliait d'arrêter. Je pleurais juste en silence, en espérant que le prochain coup soit le dernier...

Finalement il est revenue me détacher. J'ai couru directement vers la sortie. Mon sac était posé sur la table basse au salon, je l'ai pris en passant et j'ai quitté l'appartement.

J'aurais bien pris l'ascenseur mais le temps qu'il se referme, il serait arrivé, ou sa se trouve même il était en panne.

J'ai dévalé les escaliers en espérant que l'ascenseur ne soit pas en marche. Sinon ça servirait à rien tout ça. L'appartement était au deuxième étage mais j'ai pas duré a descendre.

Je suis arrivé en bas l'ascenseur était en train de s'ouvrir. Je l'ai vu sortir, heureusement j'ai eu le temps de quitter l'immeuble.

Il s'est arrêté devant la porte en me regardant courir pour lui échapper comme une folle, sans essayer de me poursuivre. Vivement qu'il le porte longtemps ce bracelet électronique, avec il ne peut pas aller bien loin.

Je suis a l'arrêt du bus et je l'ai prise pour aller chez mes parents. Il me restait un peu d'argent dans mon sac raison pour laquelle je l'ai prise en partant.

Je veux plus jamais retourner chez ce malade, si j'avais su...

Dans le bus les gens me regardais bizarrement. Normal je ressemblais a un zombi, j'avais le visage tout rouge, toute mes larmes avait séché sur mes joues, mes cheveux étaient en bataille, et m'a chemise était presque déchiré sur les bras a cause de ses coups.

AICHATOU JASMINE: pardonner et avancer ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant