|Partie 50|

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Il m'a lâché et est sorti de la chambre, je savais ce qu'il me restait à faire maintenant.

J'ai prise les deux valises et je suis allé dans le dressing, j'ai mis tout mes habits dans l'une et dans l'autre mes chaussures et autres...

J'ai tout ramené dans la chambre, il y était déjà donc je ne pourrais pas prendre ma caméra. Il m'a appelé au salon, j'y suis allé, il m'attendais dans l'encadrement de l'escalier, je suis resté devant la porte pour pas l'approcher

 Il m'a appelé au salon, j'y suis allé, il m'attendais dans l'encadrement de l'escalier, je suis resté devant la porte pour pas l'approcher

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Lui: tu a fini?

Moi: oui

Lui: va te préparer, il reste plus beaucoup de temps.

Il est sorti avec les valises. Je suis allé dans la salle de bain, j'ai rempli la baignoire, je me suis déshabillé, puis j'y suis entré rasoir en main.

J'ai hésité le temps d'une minute, puis je me suis dis que plus j'attends plus j'aurai moins de chance de réussir, il allait revenir d'un moment à l'autre, donc je l'ai fait, je me suis taillé les veines des deux mains avec le rasoir. J'ai vu mon sang sortir a flot, l'eau de la baignoire devenait de plus en plus rouge, et la mousse commençait à disparaitre. A ce moment là j'ai regretté mon acte, mais c'était trop tard, je m'étais trop vidé de mon sang. Il a pas fallut longtemps pour que je perde connaissance.

[...]

Bip... Bip.... Bip... Bip

Ce bruit résonnait sans cesse, pourquoi j'entends ça ? je suis censé être morte.

J'entendais des voix, des cris, des pleures, ou es-ce que je suis ?

Mon cœur a commencé a s'emballer, j'ai ouvert les yeux, puis les ai refermé de suite, les battements au augmenté, j'entendais toujours ce bip mais encore plus fort, on dirait qu'il allait au même rythme que mon cœur, qu'es-ce qui se passe, puis ça s'est arrêté, mes battements devenait de plus en plus faible, et le bip était aussi au ralenti.

J'ai senti quelque chose sur ma poitrine, ça a tiré mon corps en avant, j'ai directement ouvert les yeux, cette fois ci accompagné d'une longue inspiration, comme si c'était la première fois que je respirait.

?!: elle est sauvé.

J'ai vu un médecin, puis senti une piqûre sur mon bras, mes yeux se sont encore refermé. A mon réveil, il faisait nuit, la pièce était sombre, j'avais un fil sous le nez et deux autres sur chaque bras, et aussi deux bandages aux poignets

AICHATOU JASMINE: pardonner et avancer ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant