Nous nous en sortirons... DEKU ! (version NO ship) [PAUSE psk flemme]

Chapitre 6- Jack.

PDV Izuku

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Honnêtement, j'en pouvais plus...

Même pas un jour que l'apocalypse à commencé, et c'est déjà la guerre.

Genre... on vole de voiture, on laisse mourir, on se fait prendre en ESCLAVAGE.

Ah oui, je t'ai pas raconté ; quelques minutes après que 3 de nos camarades soient partit chercher des vivres, un homme armé, Jack, est venu en compagnie d'autres hommes armés, mais eux masqués.

Ils nous ont menacer, puis ont décidé  de voler la voiture et de nous faire travailler pour eux.

Là, c'est le 4ème jour. Dans trois minutes je devrai retourner bossé, sous peine d'être exécuté.

Le seul et unique point positif dans tout ça, c'est qu'on a un abris et qu'on est, bien que très très peu, nourrit. 

Je suppose qu'un esclavage qui mange mal travail mal...

On pourrait essayer de s'enfuir mais... les armes à feu pointées sur nos têtes nous en dissuades. Et puis... si par chance l'un d'entre nous parvint à s'échapper, les autres seront tués.

En plus, même si on arrive tous à partir, qui nous dit qu'on trouvera un autre abris ?

Donc, pour l'instant, on ne tente rien.

"on"... enfin, il en manque déjà 4...

L'un est mort, juste sous nos yeux. Et pour les trois autres, aucune idée de ce qu'ils sont devenus..

Donc, faire faire court, on les a présumé mort.

Mais... et si il y a encore une chance qu'ils soient en vie ?

Bon de toute façon, je crois qu'on est même plus au Japon, aucune chance qu'on le retrouve...

Raaah je sais plus quoi faire ! Je n'ai pas envie de perdre d'autre personne à qui je tiens !

Déjà que je sais même pas ce qui est arrivé à maman...

C'est bon, j'en peux plus. Finalement, je crois qu'écrire dans ce carnet est plus nocif que positif..

En plus, là, je dois retourner travaillé...

Je ne sais pas si je reparlerai ici, mais... à bientôt mon cher journal !

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Et c'est avec cette dernière phrase, qui n'avait certe pas vraiment de sens, que je ferma mon cahier.

Je me leva et me dirigea vers la serre pour faire les récoltes.

C'était peut être une serre, n'empêche, elle est très glauque...

L'endroit était rempli de plante, on aurait presque pu croire à un espace naturel, sans les caméras et les fusils prêt à tirer à tout instant.

J'essaya de na pas faire attention  ceux-ci et prit la faux pour commencer à tuer le blé.

J'alla vers la sorte de chemin de terre et commença le boulot.

La faux taillait, coupait, arrachait sans pitié.

Et ça me fit réfléchir...

Cette faux, elle faisait un peu comme les gens là maintenant ;  tuer sans pitié.