Harry Potter à L'époque des Fondateurs

Chapitre 5

Mon ravisseur m'attache à un arbre. Il commence à parler.

- À cause de toi je ne pourrais plus jamais m'intégrer dans la société sorcier, je vais me vanger en t'arrachant la vie.

Mon stress augmente d'une chote

- Pourquoi ?
- tu veux dire ce que j'ai faite, je peux bien te le dire vus que ta mort est proche.

Mon pou augmente d'un coups.

- vus que je vous aïs tous, monstre, d'ailleurs je vous es tous berné j'en suis même pas un mois même. Ah! Ah! Ah!

Je le regarde avec un regard de dégoût.

- Il te faisa...
Plusieur coups de couteau se fait ressentir en moi. Après je ne sais combien de temps la douleur est si intense. Je perd la conscience d'un coups.

Je me réveille à l'infirmerie avec un pendage sur le coups. J'esssait de parler, un grognememet se fit entendre, les place ou que le type a rentré son couteau me font extrêmement souffrir.

Je remarque que Jean est à mon chevet. Je suis content qu'il soit là, c'est entrain de devenir un vraix ami, mon premier à cette époque.

- il s'est réveillé ! Cri Jean.
- pas besoin de crier. Dit Sigebert
- c'est pas ton ami qui est sur le lit. Dit Jean.
- aller faire votre dispute ailleurs.

Je vois du coin de l'oeuil Sigerbet et Hugon dans la pièce.

- Je vais aller avertir Griffondor que tu es réveiller.
Quand Sigerbet est partie.
Jean me regarde d'un aire soulager.
- Agnès rentre en courant dans la pièce.
- Harry tu es en vie !
Je luis sourit.
- Oui !
- heum je voudrais parler à Harry seul à seul. Dit Hugon
- il vient finalement de se réveiller. Crit Jean.
- vient Jean. Dit Agnès

Elle le prit par le bras et le force à quitter l'infirmerie. Quand les porte se ferme. Hugon de Clare commence à parler.

- merci de m'avoir sauver, Harry.
- Euh derien
Il me sourit.
- Vus que je n'avais nulle part ou aller, Griffondor ma proposer un poste de professeur à Poudlard, les 3 autres, ont accepté ma candidature.

Je suis tellement content pour, lui. Il le mérite. J'ai eu un soudain choque, combien de temps j'ai été dans le coma.

- Combien de temps j'ai été dans le coma ?
- une semaine, l'infirmière à dit que tu en avais pour quelque jours de ne pas pouvoir bouger sans rouvrir les plais.

- ok, j'ai des informations sur Gauvin, ce n'est pas un sorcier et il nous vous une aîne profonde.
- Harry Je suis désolé, mais ils l'on pas arrêté.

- Ç'est un danger pour les sorciers, je doit aller le dire au fondateur de cette école. Dit Hugon.

Hugon part vers la sortie et avant de partir il me dit.
- je ne dirais rien sur ton secret.

Ah oui mon secret je suis content qu'il soit là. Je peut être moi même avec lui.

Le jours suivant Agnès et Jean sont venu me voir à l'infirmerie. Il me parlère de chose qui se sont passer à Poudlard et dans le reste du monde, ce qui me rendu heureux.

En fin d'après-midi quand je vois Sigerbet passer la porte, je suis surpris de le voir.
Il s'assoit sur une chaise.

- c'est Griffondor qui m'envoi.
Il reste assis dans le silence pandant une heures.

- Tu as quoi de plus que moi !

Il se remit dans sont silence tout en jouant avec son épée.

Trois jours passèrent et ça se répéta.

Le matin L'infirmière, Mme Jordan, arrive vers moi et me dit :
- Vous pouvez y aller M. Potter.

Je sort de l'infirmerie et je vais rejoindre Jean et Agnes. Je passe devant une classe où il y a Rowena Sairdaigle entouré de filles qui sont dans toute les maisons.

Elle sont entrain de coude quelques chose. Je me demande ce qu'elle sont entrain de faire.

- t'es qui !

Une jeune fille aux yeux noisettes est arrivé vers mois sans que je m'en aperçoit.

- Harry.
 
La jeune fille me tire vers elle et referme la porte derrière nous. Toutes les personnes dans cette pièce nous regarde. Je remarque que la soeur de la famille Azalea est là entouré de filles du même âge.

- Potter, pourquoi tu nous espionnait.

-j'était curieux.

- Oh, vraiment.

Rowena intervint :

- il peut rester.

- non, mais. Dit Beth.

- je vais y aller. Dit-je sachant très bien que je ne suis pas le bienvenue.

Je tourne mes talon et je m'en vait.

Je rejoins Jean et Agnès qui sont dans la salle commune de Poutsoulf.

On parle pendant plusieurs heures de tout et de rien jusque tard dans la nuit.