Chapitre 4

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Je marche dans à Préolard, vus que je n'avais pas de cours cette après-midi.
Quand je vois se qui est écrit sur un panneau  je suis surpris.

C'est un panneau qui est écrit
Les trois Balais.

Par curiosité je rentre à l'intérieur de la bâtisse pour voir ce que ça ressemble à cette époque-ci.

C,est très différent de mon époque, les chaises son en bois, le sol rugueux en pierre d'une un air assez ancien et asser sale à certains endroits.

Je vais commender quelques chose à boire.

- une bière au...
J'ai du m'acroupir pour pas recevoir une chaise en pleine face.

Je me retourne et je vois Godric Grifondor en personnes en train de ce battre contre un autre type.

- hey Harry. Dit-il tout en continuant à combattre.

Je les observe plusieurs minute, ne sachant pas quoi faire. Un type muscler arrive et dit :
- je ne veux pas de ça dans mon établissement.

Il les tire dehors. Je sors dehors et je vois Godric Grifondor étaler sur le sol. L'autre homme a déjà filé.

Je tend ma main à Godric pour l'aider à se relever.

Il prend ma main.

Quand il est debout il me sourit et dit :
-Bonjour Harry
- Bon, bonjour il s'est passé quoi ?
- cette personne ma provoqué sur mon honneur.
- que ça.
-Ah Ah tu me fais bien rire.
- Harry à tu des ambition de devenir chevalier.
- euh non.

Même si bon, avec cette maudite prophétie je suis bien être obligé de combattre.

- Ah dommage j'aurais bien aimé t'apprendre à combattre à l'épée.
Il me chuchote.
- À ton époque a-t-il encore des combats à l'épée.
- plus vraiment autant chez les sorcier que chez les moldus, il y en encore un peux, mais plus dans le sport et dans d'autres cas n'écéssiteu.
- oh vraiment. Il avait l'air déssus.
- Harry quel exploit as tu accompli, vus que t'étais à Griffondor.
- je vois pas trop le rapport.
-Ah, Ah tu me fais bien rire.

Nous arrivons sur une place ou qu'il y a un rassemblement de personnes autour  d'une estrade, je remarque que plusieurs élèves sont là. Quand le type qui était dans la prison montre sur l'estrade les gens le hulais. Un type commence à parler :

- Hugon de Clare vous êtes condamné à mort pour meurtre sur sorcier.
Je devient blâme d'un coup, un exécution publique.

- je suis innocent.
Je le crois après ce qui est arrivé à Sirius à mon époque.
- ces faux ! Crit une voix dans le public.
Une lueur de désespoir et de peur se lit dans sont visage.

- moi, je le crois ! Dis-je
Tout les regards se tournèrent vers moi.
- qu'est ce qui te dit cela ! cri quelqu'un dans la foule.
- une intuition. Répond-je.
- Je le crois. Dit Griffondor.
Tout le monde est très étonné que Godric Grifondor défant Hugon de Clare.

Plusieurs personnes devinrent septique sur le sujet se qui finit par faire vassiller l'opinion de la foule
- On as que lui faire passer un test de veritasserum.
Un gars en armur arrive vers nous. Il dit :
- je refuse !
- Sir Gauvin de vere que nous vos cette honneur. Dit Griffondor.
-vus que c'est un criminel. Dit-il.

Il m'énerve celui-là, il faut juste lui faire passer le test du veritasserum. Même s'il est coupable, on pourrait pas le tuer. Sauf que avec cette prophétie de malheur je vais devoir tuer Voldemort, je sais si je vais être assez fort pour le tuer.

- je vais lui faire passer le test du veritasserum. Crit le bureau.

Il sortit une petite bouteille de son sac et le fit boir à Hugon de Clare.

- Comment tu t'appelle ?
- Hugon de Clare
- bien, a-t-on interrogé ?
- Non, celui qui était supposer m'interroger m'a juste jeter dans un donjons.
La foule est choqué
- tu sais qui est le criminelle ?

- oui, mon ami de longue date, Gauvin de Verre. Ce soir là j'avais vus parler avec une personne de l'inquisition. Après qu'il soit partit j'ai été voir Gauvin De verre pour lui demander ce qui ce passe. Il m'a répondu que tout allait bien. Étant mon amie je l'ai crut, le lendemain même je fût arrêté. Une semaine ou deux plus tard Gauvin vient me vanter la réussite de son coup. Ce jour là j'en étais sur, c'était lui le criminel.

Il n'a plus un bruit dans la foule.
- AH ! AH ! qui pourrait croire des âneries pareil.
La foule n'a pas l'air de la trouver drôle.
- On ne peut mentir sous l'effet du veritasserum.
La foule a l'air  en accord avec lui. Il me tire par le bras et m'attire vers lui.
-lâche moi.

Puis il me mais un couteau sous la gorge. J'essaie de me débattre, mais il est trop fort.
-j'éguorge le petit si vous faites un pas de plus et essayez de me suivre.
-  Harry, on viendra te sauver ! Crit Godric Griffondor.
Nous sortons du village et nous nous dirigeons vers la fôret
J'essaie de retenir mes larmes, est-ce la vais-je mourir comme ça.

Harry Potter à L'époque des FondateursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant