𝟖. Regrets

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PDV Mikasa :

Je me réveillais tranquillement, et senti les rayons du soleil sur mon visage, j'ouvris les yeux et je me fis aveugler par cette lumière matinale. Par réflex je les referme directement.

- Fichu soleil, me plaignai-je

- Euh..Mikasa ?

- Armin ?

- Oui c'est moi

- Que fais-tu ici ?

- Si tu ne te dépêches pas tu vas encore rater l'entraînement

- Le Caporal a dit que je pouvais me reposer aujourd'hui

- Ah bon ? Il te l'a dit quand ? Parce que personne ne l'a vu depuis ce matin

- Il est passé rapidement dans ma chambre

Pitié ne pose pas question

- Mais comment-,il baissa les yeux vers moi, d'accord on se voit plus tard

- Oui..

Il parti souriant...sans fermer la porte..
Je criait son nom mais aucune réponses il devrait déjà être loin.

Pff... Je me blottit un peu dans ma fine couette avant de me lever.

PDV Livaï :

Après ce qui s'était passé je n'ai pas réussi à dormir. Pourquoi diable j'ai fait ça ?

Je suis dans le réfectoire il n'y a pas encore grand monde mais il y a la binoclarde...qui me casse déjà les pieds

- T'as pas du boulot à faire toi ?

- Oooh sii je vais y aller !!

Elle partit en courant et fracassa par la même occasion les porte du réfectoire

- Toi aussi tu as des choses à faire je rappelle

Je me retournai vers mon interlocuteur, Erwin ?

- Je sais.

- Qu'est-ce que tu attends pour y aller alors ?, un petit sourire se dessinait sur son visage

Je fronça les sourcils

- Ou bien peut-être quelqu'un..ajouta-t-il

- Tu veux jouer les gros malin toi

- Non non je m'assure juste que tu fais bien le travail que je te donne

- Tch je vais aller le faire si c'est ce qui te tracasse mais t'a intérêt à bouger ton cul toi aussi

- J'y compte bien ne t'inquiète pas

Je me lève de la table puis sors à mon tour du réfectoire

**

Je marchais dans les couloirs quand je croisa Arlert qui me dit bonjour avant de s'éclipser rapidement.

D'habitude il me fait le salut militaire et essaye d'engager la conversation en tremblant comme un trouillard..bizarre

Sans me poser plus de questions je continuais mon chemin jusqu'à arriver près de la chambre d'Ackerman. En plus de ça sa porte était ouverte, j'allais lui adresser quelques que mots pour lui faire comprendre qu'on n'avait pas besoin de connaître son intimité et donc de fermer sa porte mais je m'abstint, elle ne m'avait pas encore vu, je me reculai légèrement pour pas qu'elle ne me remarque et l'observai quelques instants. Elle se leva de son lit puis se dirigea vers la salle de bain, elle n'allait visiblement pas bien, recroquevillée sur elle même et du mal à ce déplacer.

𝑼𝒏𝒆 𝒎𝒆𝒓𝒗𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒔𝒆 𝒆𝒓𝒓𝒆𝒖𝒓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant