Jûroku.

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Cxngxlese_production🍹


Sixteen.

« Peur d'aimer »

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« Peur d'aimer »


ÉNAËLLE.


Je me suis réveillée super tard aujourd'hui, en plus j'étais à deux doigt d'être en retard en cours.

Bon, je n'étais pas encore totalement en classe, mais dans le couloir entrain d'essayer de joindre celle-ci.

Je suis restée devant la porte de la salle, vu que la dame était déjà à l'intérieur, mais Tony m'a fait signe d'entrer.

Je m'apprêtais à aller m'asseoir, quand la dame m'a interpellée.

Madame Benwol- Merkel, dehors.

- mais madame-

Madame Benwol- t'es encore en retard, un lundi. Et la semaine dernière c'était pareil.

- j'étais malade.

Madame Benwol- tu es toujours malade.

Elle me regarde silencieusement.

- pardon madame.

Elle remue sa tête de gauche à droite, avant de me faire signe d'aller m'asseoir.

C'est ce que je fis aussitôt.

Mais comme les gens de cette classe n'aiment pas la paix.

Déborah- « madame je suis malade », tous les jours?

- tu ne peux pas fermer ta bouche? Ta langue blanche là.

...- ouhhhh.

Toute la classe est partie en fou rire, sans oublier les cris.

Madame Benwol- TAISEZ-VOUS. Merkel et Odimba, dehors. Et Tony arrêtes de crier comme un singe.

Il hausse les sourcils.

Je sens l'embrouille arrivée.

Tony- excusez-moi madame, mais votre propos est très déplacé, avec des tendances racistes.

Madame Benwol- Tony, tais-toi et rassieds-toi.

Tony- dites-le une fois einh, que je ressemble à un singe. Ou que ce sont nos ancêtres.

Mdrr, la classe était silencieuse.

« Mieux loin de moi. »[II]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant