Chapitre 3

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*** Quelques heures plus tard:

Une jeune femme rousse se trouvait confortablement installée dans sa loge à défaite ses twins. Quand soudain, la porte de cette dernière s'ouvrît sans qu'elle ne l'ordonne. Elle ne paniqua pas, une seule personne était autorisée à y pénétrer de la sorte. Soit le propriétaire des lieux.
François Gâtes. En se retournant, elle fut étonnée de le voir habiller de manière décontractée, il avait troqué son costume du matin à un ensemble adidas.

Elle ne put s'empêcher de le dévisager de la tête au pieds. Dommage, qu'elle n'aimait pas les vieux sinon elle se l'aurait taper depuis des lustres. Non mais franchement,combien d'homme âgé pouvait se vanter d'arriver à un tel âge et d'être toujours autant attirant ?

- Tu n'es pas fatiguée de me dévisager à chaque fois que je pénètre dans cette salle? Lança t'il en refermant la porte derrière lui.
- C'est pas de ma faute, si à chaque fois que tu y viens. Ton apparence est toujours soigné. Répondît la rousse terminant de faire son chignon
- Brenda... dit il en passant une main sur ses cheveux.

Seyait , elle venait de le faire rougir d'embarras.

- Pause le cœur, je ne suis pas suffisamment suicidaire pour défier ta femme. Je sais de quoi elle est capable.
- Encore heureux que tu le saches. Mais dis-moi, qu'est-ce que tu attends pour me faire un câlin ?

Brenda sauta de sa chaise, pour venir le lui faire. Le parfum qui se dégageait de lui, la fit sourire. 65 ans et toujours aussi coquin.

- En vue de l'odeur qui se dégage de tes vêtements, j'imagine que si tu n'es plus en costume c'est parce que ta femme et toi vous avez grillé le feu rouge une fois de plus ?

François s'empressa de la repousser. Brenda était une moqueuse de la pire espèce. Il suffisait d'un petit mot pour qu'elle vous crée toute une histoire.

- Souvent je me demande si t'es réellement sainte. Questionna t'il avec prudence .

Brenda esquissa un sourire au coin et se remit à le sentir de plus belle. Ce parfum, elle le reconnaîtra parmi milles.
La voyant ainsi, François ne put s'empêcher d'éclater de rire tant la situation était hilarante. Brenda ne cessait de l'étonner. Elle ressemblait à une petite enfant cherchant à créer un nouveau jeu.

- Please Brenda, arrête. Tu finiras par me tuer um jour avec cette histoire.

Brenda arrêta ses gestes et posa un regard sur son cou. La où se trouvait quelques marques de suçons.

- Ta femme est vraiment une gamine. Elle ne peut jamais s'empêcher de marquer son territoire. Comment elle va ? Demanda Brenda saisissant un mini miroir sur sa table histoire qu'il puisse voir le chef-d'œuvre de sa femme.

_ Oh? Pouffa brièvement François en déposant le miroir.

- Alors ?

Elle lui tendit une boîte de chocolat. Leur préféré.

_ Elle va bien... même si j'avoue que depuis qu'elle est enceinte: elle me fait vivre la misère et m'épuise à un point t'as pas idée. Ces envies de femme enceinte m'étonnent de jours en jours. Dis-toi que hier elle voulait sucer un barre de chocolat au miel faute de ne plus, elle a transformé mes tablettes de chocolat ainsi que mon minie moi... la p*pe du siècle quelle ... s'emporta François ne se souciant même pas des rougeurs qui commençaient à envahir son visage.

À quoi s'attendait t'elle ?
Okay sûrement pas à une histoire très détaillée de leur vie sexuelle, mais pas également à un extrait de la sorte.
Brenda ne savait pas où se cacher, tant ce genre de sujet avait le don de la mettre mal à l'aise. N'en pouvant plus, elle leva sa main en espérant le stopper dans son élan de kgs,ne voulant pas entendre la suite de leurs ébats sexuels . Chacun gère son entrée et ce qu'il faisait avec celui de sa femme, ça Brenda n'avait pas besoin d'être au courant de comment il rentrait en elle ni même les positions qu'ils aiment .

Appartiens-moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant