Désolé de l'absence, j'étais en vacances!
Bonne rentrée !

Le bruit de la fourchette qui heurtait l'assiette faisait echos dans la maison. Sauske en avait lâché sa fourchette tant la nouvelle avait été choquante.

- ATTENDS TU SORS AVEC SHISUI ?!

D'une mine presque résigné a accepter la réalité, j'hoche la tete en detournant les yeux. Sasuke allait commencer a taper un scandale... C'est vrai qu'on était obsédé par le fait que Shisui soit un criminel et qu'il fallait le démasquer. Mais que je vienne en mode posé dire que je sors avec
Mon père se contenta juste de sourire, en acceptant mon choix.
Papa... C'était LE moment de refuser. Soit un père méchant.
En vrai, je sais même plus pourquoi j'ai accepté... J'avais encore un peu d'alcool dans les veines.

- Je suis content que tu sois en sa compagnie.

UN MÉCHANT PAS UN PÈRE QUE TOUT LE MONDE VOUDRAIS.
Je soupire d'exasperation tandis que sasuke me secouait comme un prunier.

- Il propose même une reunion entre les deux familles, chuchotais-je extrêmement gêné de la situation.

Je pose ma tête sur la paume de ma main, jouant, à l'aide de ma fourchette, avec la nourriture.

- Franchement il est bizarre ce Shisui.

- Je le trouves charmant, personnellement.

- MAIS PAPA, cria Sasuke, N'OUBLIE PAS QUE T'AVAIS DES DOUTES SUR CE QU'IL ÉTAIT C'ETAIT UN CRIMINEL !

-Et on en a conclus qu'on l'a accusé a tort. Ce n'était pas un criminel.

- Mais je t'ai montré les camér-

- Sasuke. Le travail un policier n'est pas de s'appuyer sur les preuves que tu inventes. Maintenant que l'affaire est conclus, il n'y a plus de quoi s'inquièter. Il a été suspecté puis déclaré innocent.

- Tu sais t-

- Assez Sasuke. Ton frère est libre de ses choix.

Mes yeux n'avaient que tourner entre les deux interlocuteurs... Je soupire et me lève de table. J'avais pas envie de débattre, de plus, j'étais clairement du côté de Sasuke. Prétextant un mal de tête, je monte dans ma chambre sous le silence de ma famille. Comment je fais pour me retrouver dans ce genre situations ?

Je me laisse tomber sur mon lit sans retenu.

La nuit passa sans encombre et comme d'habitude, a 5h30 me voilà réveillé. Je ne tarde pas a me changer et a sortir de chez moi sans p'tit déjeuné. Sincèrement, plus les jours passe, moins j'ai envie d'exercer ce métier.

Arrivé au poste. Personne. Ce qui est normal, il est pas encore 6heures.
Je vais dans la cuisine me prendre un café.

- BOUH !

- Je t'avais repéré Obito.

- pff, c' est vraiment pas drôle avec toi.

Il S'assoit en face de moi, avec une face un peu trop heureux. Je lève un sourcils, intrigué de son comportement.

- J'ai appris que tu sortais avec le "Fugitif-pervers"

- les nouvelles se reprendent vite à ce que je vois.

- Bah en même temps Madara a tapé un scandal. Je ne sais pas du tout pourquoi.

- Super... Ça craint pour la futur réunion familiale.

- Haha ! J'te soutiens petit.

Je prends un livre pour le lire. Oui logique. Quel perspicacité. Wouhou.
Sasuke entra dans la salle, mais avant qu'il puisse dire quelque chose je lui donne une pichenette. Je n'ai pas envie d'entendre quoique ce soit. Hier m'avait amplement suffit.
Or d'habitude, quand je lui fais ce geste, il s'en va sans rien dire. Cependant, il resta planter devant moi. Je l'observe d'une façon assez perplexe.

- Que me veux tu ? T'es pas en cours en plus ?

- Si je dois y aller, mais je voulais te dire quelque chose.

Je replonge mes yeux dans mon bouquins attendant la suite de ses dires.

- Devine qui es passé a la maison.

- Oh non...

- Ouuuh~, fit Obito qui écoutait la conversation. Mais il reçu des regards très noir de la part de mon petit frère et moi même. Il se tut définitivement et on pu continuer cette passionnante discussion.

- Je ne vais pas te refaire tout un speech, t'a très bien compris mon point de vue, et je n'accepterai jamais ton choix. Maintenant, si il fini par te tuer d'un couteau dans le dos tu te débrouilles, j'en ai marre d'être méprisé.

- J'avais compris.

- bref, j'vais en cours. Ah et, il est devant le poste. Si tu veux pas qu'il est encore plus de rumeur que maintenant, je te conseille d'aller le voir.

Je soupire...
C'est donc nonchalant que je me lève en direction de la sortie.
Et en effet, il etait là.

- Itachi !

En venant vers moi, il me prends par le poignet, en me menant vers l'arrière du bâtiment. Il avait une poigne vraiment forte, pas du tout attentif a si il me faisait mal ou non. La, l'abri des regards, il sortit une cigarette.

- Je suis content de revoir mon fantasme préféré.

Je ne réponds rien, me contentant de reculer d'un pas.

- Qu'on dit ta famille pour la réunion ?

- Sasuke est contre. Mon père est bizarrement enthousiasme.

- Très bien... Alors c'est parfait !

Il vient près de moi, son visage au niveau du miens. D'un visage impassible, sans émotions, je continu a le fixer.

- L' odeur de la cigarette me répugne. Dis-je simplement.

- C'est bien dommage.

- Non. Sur ce, si tu n'as rien de plus à me dire, je retourne bosser.

- J'ai pas fini ! J'me serais pas deplacer pour 2 minutes.

Un silence parru, tandis qu'on commencais a entendre les agents de police arriver.
Shisui me souria amicalement, avant de me proposer :

- On mange en tête a tête ce soir ?

Je le dévisage tout de suite. M'a-t-il vraiment demandé de manger en tête a tête ? Mais... Enfin, je veux dire on tient qu'une image de couple, on doit pas faire non plus les trucs que tout les amoureux font ! Pour moi c'est inimaginable. Enfin, si, mais pas avec lui. Surtout pas avec lui.

- Si tu voyais ta tête, ria l'ex-fugitif.

- je n'ai pas envie de dîner avec toi ce soir. J'ai des amis.

Écrasant sa cigarette, il se colla a moi. Pour me chuchoter au creux de mon oreille :

- Tu viendras avec moi d'accord ?

Le repoussant je continu a affirmer que non, inventant de fausses sorties. Mais, bien sur il y croyait pas. Moi meme j' y croyait pas, je prevoit jamais mes sorties.

- Arrête de vouloir feinté cher Fantasme, tu vas venir juste pour montrer aux autres qu'on sors vraiment ensemble. Si on fais jamais rien, ce serait bizarre. Et puis j'ai a te parler en privé. Quoi de mieux devant un bon repas.

Je le fixe d'une façon tant méprisable. Plus ca avance, plus je le déteste. Ses yeux, son regard pervertis, ses manières, sa voit, des cheveux, son double jeu TOUT.

Bordel et ca fais même pas 24 heures qu'on est en "Couple"

- Je me répète, tu sens la cigarette, si ce soir tu te transportes cette odeur ignoble compte sur mon fantôme pour t'accompagner manger des pâtes.

Je me retourne définitivement pour rentrer dans le poste.
J'entendis alors "20h, quartier du commerce !"

... Tss.

Cette nuit là, j'étais de garde...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant