L'horloge

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Ô grande horloge qui montre le temps
Ô grande horloge qui exprime les souvenirs qui s'effacent
Toi, qui est incontrôlable et fait apparaître mes rides
Toi, qui même invisible est celle qui decide

Petit encore je souhaitais te rencontré
Plus tard, aujourd'hui, je cherche à t'évité
Les autres te cherche tellement désespérément
Alors que je sais qu'au fond tu nous ment

Pour vivre tu sembles indispensable
Or lorsque tu t'écoules tu n'es qu'un grain de sable
Comme chacun tu guéris mes blessures

Tu t'approches de moi à vive allure
Même te détestant je t'accueille comme un frère
A la fin tout le monde fink sous la terre

Petits poèmes personnels. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant