Nous Deux (Au Nom De L'honneur)

35.

Xanat et Dalia ne vont plus sortir de leur chambre jusqu'au lendemain matin. Ont pouvait imaginer ce qui c'était passer dans cette chambre seulement quand les anciennes avait eu besoin de 45 minutes pour retrouver le drap blanc qui devait servir à prouver la virginité de ma meilleur amie. Fabila ne pouvais plus s'arrêter de rire. Les deux jeunes mariés disparaissait à tout bout de champ.

Tout le monde savait ce qu'il faisait mais ils étaient marié. L'Imâm lui-même avait signé forfait son fils ne venait plus à la mosquée il était tout le temps coller à sa femme. Le jour de notre retour à Paris se rapproche un peu plus. Karim et moi c'était clair je n'allais pas rester à Dakar il savait déjà pour mon boulot qui commençait bientôt. Pour papa il était primordial de rompre mon alliance avec Karim mais comment si tout le monde était déjà au courant de notre relation.

À chaque fois qu'il voyait Fatou il voulait lui tordre le coup mais il y avait plus important il voulait savoir combien j'allais gagner en travaillant chez Dior. Aziz m'avait déjà dit de lui donner la vraie somme mais de ne pas rentrer dans les détails. Quand il entend la somme il se lève et prend son portable

Aïssa : Papa tu va où ?

Raza : Corriger mon erreur j'aurais dû écouter ta mère. Regarde moi bien je ne veux plus te voir avec ce garçon j'espère ne pas avoir à me répéter.

Aïssa : Jamais j'aime Karim c'est toi-même qui à dit qu'on allait se marier je ne vais pas le quitter non

Raza : Aïssa je ne t'ai jamais frapper ne m'oblige pas à commencer aujourd'hui. Enfants têtu. Idriss ne peut me doubler il se croit malin plus que qui ?

Aïssa : De quoi tu parles papa

Raza : Contente toi juste d'envoyer ce garçon ailleurs le reste je m'en occupe dit à ta mère que je reviens

Et le voilà partis qu'est ce que ce vieux prépare encore comme mauvais coup ? Dans les locaux de son chantier pour sa clinique Yakif n'en revenait pas il allait bientôt commencer à travailler à son propre compte en attendant il devait se trouver un boulot dans une autre clinique en attendant. Entrain d'inspecter son chantier il est rejoint par Aziz qui lui demande

Aziz : Est-ce que tu est prêt ont doit aller où tu sais.

Si je ne l'ai connaissais pas je dirais qu'ils étaient des anges mais non ils sont partis voir leurs butins qu'ils ont pris soin de faire transférer sur mon compte bancaire à Dakar. Un compte qu'ils avaient créé quand j'avais 16 ans. Avec une autorisation que j'avais signer il y a quelques jours ils pouvais enfin disposer de leur bien. À mon tour je les rejoints à la banque j'avais un mauvais pressentiment. Devant la banque faisant semblant de téléphoner je vois des hommes en civil et moi Aïssa je sent un flics à des kilomètres. L'un d'eux dira en wolof c'est quand même bizarre tout ce que les gens peuvent dire à côté de toi quand ils pensent que tu ne comprends pas leur langue

Policier : La petite sœur vient d'arriver dès que l'argent est transféré sur le compte de l'un des frères on aura la preuve que c'est bien leur argent garder celui avec le tatouage à l'œil

Vous allez dire hey Aïssa ces policiers pouvais parler de n'importe qui. Mais non moi Aïssa je ne connais que deux Sénégalais tatouée l'un s'appelle Karim et il n'était pas dans cette banque. L'autre s'appelle Yakif et il était le seul braqueur qui se trouvait actuellement dans cette banque. Non je remonte dans ma voiture j'appelle mes frères et je leurs dit de me retrouver à la maison chez grand-mère. Dans leur voiture Yakif qui voulais démarrer remarque enfin lui aussi les policiers. Mohamed qui s'énervait sera vite calmer quand son petit frère lui explique ce qui se passe