Nous Deux (Au Nom De L'honneur)

17.

Une fois l’affaire régler mes deux frères viendrons rejoindre nos parents a la maison. Une douche rapide de maman qui n’avait plus adresser la parole à mon père depuis la nuit précédente et ils se retrouvent tous devant mon lit de chevet. Papa ne voulais savoir qu’une seul chose est ce que j’avais été violé ? Est-ce qu’il devait rendre la dote ? À l’arriver du médecin dans la pièce je dormais toujours.

Médecin : Vous devez la laisser dormir éviter de la réveiller s’il vous plaît sa tensions est toujours haute.

Aziz : Compris docteur

Habiba : Dit moi docteur j’ai vue que ces pieds était tout bleu hier est ce que c’est grave?

Médecin : Ne vous en faite pas ces pieds vont mieux

Djamila : Dieu merci. Merci beaucoup docteur merci

Raza : Par rapport à l’autre affaires je veux dire bon

Médecin : Non elle a des blessure vaginale mais elle n’a pas été violée elle c’est visiblement défendue corps et âme. Je vais lui prescrire des médicaments qu’elle devra utiliser pour éviter des infections car même si elle n’a pas été violée il y a eu tentative et contact prévenir vos mieux que guérir.

Mon père n’est pas rester pour entendre le reste Aziz le surprend dans le couloir à parler avec l’ambassadeur Idriss Diop et le rassurer sur ma Virginité. Aziz ne voulais pas croire Habiba et Yakif quand il lui ont dit mais quand il le voit de ces propres yeux son cœur se serre. Mon frère qui ne perdait jamais un mot avait la gorge nouée.

iL repart dans le couloir et fait comme s’il n’avait rien entendu il soupire et reviens dans la chambre. Maman voyait bien que mon frère aîné était sur le point d’exploser.

Djamila : Pas ici Aziz pense a ta sœur pardon.

Au commissariat les policiers pouvais voir sur la caméra de surveillance deux hommes inidentifiable cagoulé jeté le corps de ce violeur devant le poste.

Commissaire : Retrouver moi ceux qui ont fait ça.

2 semaines plus tard coucher dans ma chambre j’entends frapper à la porte de ma chambre j’étais tellement effrayer par le regard des gens que je ne sortait plus de chez moi. Fatou avait pris le soins de rependre des soupçons sur ma virginité quand elle a remarquer que mon frère n’était pas tomber dans son petit jeu. Aziz n’avait pas repris sa fille. Tout autant grand était ma surprise quand je vois Karim rentrer dans ma chambre. iL s’assoit à côté de moi et me dit

Karim : Bon la grosse tes vacances sont finies viens avec moi.

Aïssa : Non merci je ne veux pas sortir laisse moi.

Karim : Tu va rester enfermée jusqu’au jour de notre mariage ? Je n’ai pas de temps à perdre mon père veux que je t’emmène choisir quelques bijoux allons-y.

Aïssa : Choisit ce que tu veux je les porterait.

Karim : Tu ne comprends pas que ce n’était pas une demande ? Ma mère est en bas et nous attend.

Mon père qui nous espionnait ouvre vite la porte et m’ordonne de me préparer pour le suivre. Un soupire et je comprend que je n’avais pas le choix. Je porte mes vêtements et je le suis. Dans sa voiture je vois pas sa mère il avait mentit je voulais descendre mais il avait fermer la portière. Un sentiment de peur m’envahit j’avais les larmes qui montait il va le remarquer. Karim éteint le moteur de la voiture dépose les clés dans mes mains et me dit