EPISODE 01

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Soir à 18H32 min...

__ Mélina !

Elle c'est ma mère. Après la cuisine au lieu de dresser la table à manger, je suis plutôt rentrée m'allonger dans ma chambre pour écrire avec ma meilleure copine. Elle me racontait sa soirée avec son petit ami, de ce qu'ils ont eu à faire ensemble au lit. De la manière dont il lui a sucé les seins en la doigtant au même moment. Putain ! c'était très excitant à un point où j'imaginais systématiquement tout ce qu'elle me racontait. Pauvre célibataire que je demeurais malgré mon âge, je ne faisais que fantasmer comme une jeune prude. Je glissais mes doigts entre mes jambes pour me faire une entrée sensuelle avant le dîner quand j'ai entendu cette voix-là qui m'appelait ardemment depuis le salon. Je sursautai et lui lança :

__ Oui la vieille ! Quoi ?

__ Ta grand-mère ! Tu vas sortir entre ses quatre murs et venir nous faire à manger ou bien tu veux que je vienne te chercher moi-même ? M'a - t -elle rétorqué.

Ce cri qui transperçait le salon jusqu'au premier étage dans ma chambre. ‹‹ Pff ! Merde quoi ›› ai-je chuchoté. Je détestais ses cris. En plus de la maison voisine qui est juste collée à la nôtre, j'ai tellement honte qu'on me crie dessus autant. À 28 ans, mais sérieux un peu de respect non ? Ou c'est parce que je demeure toujours sous leur toit ? J'ai lancé mon portable sur le lit puis je me suis précipitée dans la cuisine. J'étais sans caleçon dans un short moulant et en haut sans soutien-gorge avec un t-shirt blanc. J'ai une énorme chaire devant qui me sert de seins et derrière de gigantesques muscles fessiers. C'est pourquoi je n'aime pas porter des caleçons car ils me paraissent très gros et j'aurai honte d'enlever ça devant un mec. C'est pourquoi j'adore rester nue en bas soit porter un string. Mes seins et fesses donnèrent un bruit bizarre lorsque je descendis toute vénère dans les escaliers allant vers la cuisine avec de lourds pas que le vieux me lança : ‹‹ Tu ne vas quand même pas écrouler la maison sur nous avant de nous servir, j'espère madame ?››. J'avais fait comme si je n'avais rien entendu. De toutes les façons je ne pourrai pas lui répondre. J'avais juste haleté.

La mine serrée je suis revenue à table au salon avec le menu de la soirée. Mes deux putains de petits frères étaient là puis souriaient. Si seulement ils pouvaient ouvrir ma poitrine et voir la chaleur que mon cœur dégageait...

__ Vous deux-là, vous êtes paralysés non ? C'est pourquoi vous m'attendez assis là comme un SDF (Sans Domicile Fixe) pour le dîner n'est-ce pas ? Leur lançai-je hyper vénère.

__ C'est toi la fille de la maison. On ne va cas même pas faire tes devoirs à ta place ! Ou bien on va aussi nous doter un jour avec des casiers de boissons et finir à quatre pattes après ? Lui c'est le second, il s'appelle Éric. Il a toujours l'habitude de me rendre furax et il sait bien le faire au moment opportun. J'avais déjà cassé sa gueule avec une assiette il y'a de cela deux semaines parce qu'il a l'habitude de me parler comme si j'étais sa femme au foyer. Je suis sa grande sœur.

__ Attends, c'est à moi que tu parles là ? Lui demandai-je furax.

__ Quoi il y'a une deuxième fille ronde dans cette maison ? Ou bien je te vois sur un écran !

__ Est-ce qu'on peut faire ce dîner en paix les enfants ?

__ Mais le vieux ce n'est pas normal que vous gâtiez ces petits ainsi. Ils peuvent aussi faire tout ça pas forcément moi ou quand je ne suis pas là ça serait maman. Je ne suis pas une domestique là ! Ils n'ont qu'à aussi bouger leurs putains de cul.

__ je ne veux plus rien entendre. Fais-nous à manger au lieu de trop parler. Me lança strictement la daronne.

__ Oui sinon tu finiras par diluer la sauce avec ta salive. Me lança Éric. Il est le seul à me provoquer vu qu'il est grand de taille et musclé et se croit au-dessus de tout dans la maison. Manou lui c'est le benjamin et il me respecte beaucoup. Tout ce qu'il avait à faire lui, c'est d'espérer son plat de riz blanc à la sauce graine.

__ Éric ça suffit maintenant. Lui lança le vieux qui a vite opéré ma position d'attaque. Sérieusement je voulais le gifler avec la louche que j'avais dans ma main...

A table avec sang-froid, je me suis ressaisie et me suis fait un retour sur mon état de tout à l'heure. J'ai juste compris que tant de chose m'animait en même temps. La colère d'être célibataire ; ce manque d'affection conjugale et la petite sensation que j'ai voulu me procurer avant le dîner qui est partie en fumée ; après le cri d'appel de la daronne.
J'ai pris un gorgé d'eau puis me suis promis de me rattraper dans peu de temps seule dans mon lit. Il y avait du Wifi alors automatiquement je suis devenue toute confiante de me régaler après le dîner.
J'ai redressé ma mine puis j'ai repris mon appétit avec sourire...

__ Après le dîner tu débarrasses la table Manou. A dit mon père à notre Ben.

__ D'accord papa. Répondit-il.

__ Je vais le faire. Ne vous gênez pas. Ai-je dit finalement... un sourire coi surgit chez la daronne et Éric était surpris de ma réplique.

__ T'as un problème avec moi, toi ? Le taquinais-je toute souriante

__ Hey tu me laisses tranquille hein !...

Après le dîner, j'ai mis tout au propre puis me suis fait prendre une douche chaude pour ranimer mes sens.
Il sonnait 22 H 03 min à ce moment-là. Étant toute seule dans ma chambre, j'étais juste restée toute nue dans mon lit jambes écartées pour mieux savourer ce désir fou que je compte me procurer. Je rentrais dans mon navigateur web quand soudainement j'ai reçu un message WhatsApp. C'était dans le groupe des chroniques du site *AfroRaise. * Une fois dans le groupe, c'était une nouvelle chronique lancée qui à ma grande surprise était marquée +18. J'étais très curieuse d'en savoir plus, attendu que je voulais un truc excitant. J'ai préféré lire ce texte érotique que de matter une porno pour voir jusqu'où il m'emporterait. Comme j'adorais aussi lire, je me suis dit avoir rien à perdre après tout. Arrivée à au 7ème épisode de la dite chronique, la température de mon corps augmentait. J'étais tellement concentrée pour déchiffrer ces vers que je mouillais mon drap sans m'en rendre compte. Les bouts de mes seins étaient durs et plus sombre que quand j'ai essayé d'en frotter un, j'ai eu une sensation folle qui a coupé ma respiration et m'a fait apparaître des larmes aux yeux.

J'ignorais qu'un simple texte pouvait aussi me donner plus d'effet qu'une vidéo porno ne me l'avait jamais fait. Et lorsque j'ai pu maintenir une main sur mon gros sein en le caressant tendrement j'ai libéré ma deuxième main du téléphone puis la dirigea strictement entre mes jambes. La plaçant sur mon petit point sensuel, j'y fis une tendre pression qui fit sortir plus de liquide séminal en moi. Je tapotais fort ma chatte avec ma main et frottait ardemment afin d'être au-dessus du plaisir. Quand j'y fis entrer mon premier doigt, j'eus pas hésité une seconde à ajouter un deuxième pour mieux me remplir. Ils étaient tous deux lubrifiés et glissaient aisément en moi.

Je resserrais fort mes jambes contre ma main tout en gémissant dans mon lit. J'eus une sensation ardente qui me conduisit aux fins d'une imagination qui me faisait dire des bêtises. Dans mon imagination j'ai créé un homme que je souhaitais qu'il me défonce, j'essayais de le prendre à la place de mes doigts tout en disant : ‹‹ viens et baise moi. Pénètre moi et fais moi jouir par ta grosse bite ›› quand je manquais de concentration, j'essayais de le perdre mais je prenais mon plaisir tout en disant : ‹‹ T'en vas pas baise moi. Voici ma chatte, lèche moi et baise moi comme tu voudras. J'ai envie que tu me baises pour toujours mon homme. ›› et j'enfonçais encore plus mes doigts en moi en l'imaginant comme la bite de l'homme de mes imaginations...

Quand j'ai eu mon premier orgasme, je fus emportée par un lourd sommeil en étant écrasée dans mon lit toute nue demeurant jambes écartées. Comme il y avait un second interrupteur à la tête du lit, je n'ai pas eu la paresse d'éteindre la lumière de la chambre. Et lorsque c'était fait, je me suis juste laissée emporter par ce sommeil. Mais comme ma chatte vibrait toujours de désir, j'avais juste posé une main dessus avant d'être complètement arrachée par le sommeil.

Une demie heure après, du plus profond de ce sommeil, je sentis subitement une paume de main cajoler mon corps, elle était si froide que lorsque j'ai senti le premier contact, je suis devenue toute faible. Je sentais une respiration chaude dans mon cou et une présence lourde et confortable me couvrir mais tout était en cet instant comme un rêve que je ne voulais aucunement me sauver. Je me sentais juste prise par le vent ou quelque chose d'intouchable mais que bizarrement j'adorais bien...

MON MARI DE NUIT (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant