MON MARI DE NUIT (Tome 1)

EPISODE O5

   (...) Après ce massacre voluptueux, j'ai pu jouir après avoir supplié mon âme parce qu'il était otage d'une sensation schizophrène. Une fois l'orgasme eu, j'étais devenue très piteuse que je tombai dans la baignoire glissant sur le bras puis pris ensuite ma douche qui s'était finalement  refroidie.

      Une fois la douche terminée, j'ouvris la porte de la toilette pour accéder à ma chambre quand j'entendis subitement  : ‹‹ Ah tu as finalement fini ton bain? Ça fait déjà une demie heure que je t'attends là. ››

         C'était une voix qui me paraissait la troisième. Je ne savais pas si c'était la voix d'un homme ou celle d'une femme. C'était une voix qui sonnait en retentissement aux fins fonds de mes oreilles.
         J' avais juste ma serviette autour de moi et toute nue en bas vu déjà que mon string rouge en dentelle était trempé dans la douche. j'étais debout juste en face de la porte de la toilette de ma chambre et arrivait aussi à peine à voir clairement car j'étais hyper terrassée après cette longue douche. Soudain je flairai dans mes narines un parfum familier. Ce parfum qui m'intriguait depuis la nuit dernière jusqu'à ces heures-là. Et c'était toujours le parfum de rose.

       Étrange parfum de rose mais , ‹‹  Qui es-tu  ? ›› ai-je lancé à la voix  craintive et curieuse. Mais bizarrement je n'ai pas eu de suite à ma question. Je demeurais autour d'un air stupéfait. J'avais une vue ondoyante.  Je pouvais voir quelqu'un assis sur le lit mais c'était impossible pour moi de le voir nettement.
           Il yavait de la lumière dans la chambre mais je pouvais juste percevoir une ombre assise sur le lit avec les deux pieds à terre et les deux mains posées sur le lit. L'ombre était torse nu et son visage était  ténébreux. Difficile de savoir si c'était un homme ou une femme. Mais quand j'ai descendu ma vue encore plus bas, j'ai pu apercevoir les pectoraux de son abdomen et un objet en forme de concombre entre ses jambes.

        ‹‹ Éric ! C'est toi ? ›› ai-je demandé croyant que c'était mon petit frère attendu qu'il était le seul garçon robuste de la maison. Mais bizarrement, la réponse que j'avais eu suite à cette deuxième question était juste un sourire. J'ai juste pu percevoir des dents lumineuses qui brillaient comme le soleil sans savoir à qui elles appartenaient. J'étais convaincu toute suite que ce n'était pas mon frère car il n'avait pas un sourire aussi alléchant et un entrejambe aussi attractif attendu que je le voyais toujours torse nu en short lorsqu'il faisait la gym de la terrasse de la maison.

         J'ai concentré ma vue dans son entrejambe gigantesque et soudain je sentis un truc bizarre dans ma paume de main. Ce truc truc me chatouillait la main et me donnait une folle envie d'aller attrapé cette chose monstrueuse entre les jambes de cet inconnu mystérieux et l'insérer dans ma bouche qui commença par saliver à son tour. Mais c'était juste impossible car j'avais peur.

     J'étais aussi tellement faible que je ne pouvais pas courir là toute suite en plus ma curiosité me dominait plus que ma peur. Inopinément, je sentis un courant d'air frais traversé tout mon corps. J'eus la chair de poule puis commençai par tremblé sur place là où j'étais arrêtée. La peur et la curiosité étaient les deux choses qui m'animaient. Vais-je m'approcher du lit pour savoir c'est qui et enfin dévorer cette grosse banane? Ou vais-je hurler au secours et passer entre les murs pour me sauver ? C'étaient ces deux questions qui sursautaient dans ma petite tête qui étaient d'ailleurs mes seules deux options que j'avais sur table.

        Prenant mon courage à deux mains, je me suis dit finalement que j'étais dans ma maison et dans ma chambre et qu'il était trop matin que j'aie peur de quoi que ce soit. ‹‹ Pourquoi est-ce que j'ai peur? Mais je suis assez grande pour avoir peur à une heure pareille !›› me ragaillardis-je.

    Sans plus perdre de temps, je fis alors un premier pas en avant gardant les yeux fixés sur la personne. Il me sourit de nouveau. C'était un sourire qui signifiait pour moi que j'aie pris la bonne décision et de m'approcher encore plus. Je soupirai après avoir posé le premier pas à terre  puis continuai.       
                J'étais sur le point de faire un deuxième pas en avant quand subitement la lumière dans ma chambre s'éteignit. Ma chambre devint toute sombre comme le ténèbre et moi, perdue dans le noir de ma propre chambre. Et dans cette obscurité inopinée, un silence frais apparut. Je pouvais juste ouïr les " tic tic tic " de mon horloge. On dirait dans un film d'horreur où j'en étais une des acteurs.

          ‹‹ Ooh ! ›› m'exclamai-je en me galvanisant que c'était une coupure d'électricité, histoire de repousser cette exécration qui essayait de m'envahir.
          J'étais presque proche du lit mais l'ambiguïté à laquelle étaient condamnés mes yeux me donnait l'impression comme si j'étais dans un espace vide. Et au moment où je voulais actionner mon premier pas vers mon lit pour au moins m'asseoir avant de penser à autre chose, j'ai senti un blocage à mes pieds.

        J'avais l'impression qu'ils étaient soudés au sol là où j'étais arrêtée. J'étais scotchée là et ne pouvais plus bouger. Soudain je sentis un vent frais souffler dans mon cou et entra dans mes oreilles. Ensuite , c'était la présence d'une main glacée posée sur mon épaule derrière moi et la chaleur intense de son sexe se blottir contre mes cuisses.

       Un forte bourdonnement frappa tout mon corps. Je me retournai subitement avec une force bizarre puis enchaînais un cri de malade en hurlant le nom de mon frère sans même m'en rendre compte. ‹‹ Eriiiic !!! ›› ai-je crié d'un coup d'un air étouffé .

           Le mouvement de lorsque je me retournais suivi du cri fit dérouler automatiquement jusqu'à mes pieds la serviette attachée  autour de moi. La lumière de ma chambre s'est rallumé promptement et j'ai senti de nouveau un lourd vent, comme celui de la nuit dernière  soufflé dans ma chambre avant de ressortir brusquement par la fenêtre. Le parfum de rose se détala à son tour puis la porte d'entrée de ma chambre s'ouvrit  .
            C'était cette fois-ci mon frère. Je venais de hurler son nom et il était hyper furax attendu qu'on ne s'entendait pas et que je venais de lui ôter de son doux sommeil.
         
          Mais bizarrement, une fois rentré, il n'avait pas toute suite réagi . Le connaissant il devrait me gronder dessus à son entrée mais il était juste bloqué à la porte et me toisait de désir. Comme il venait de se réveiller , il était torse nu et dans un short blanc comme s'il était l'inconnu mystérieux de tout à l'heure. Je pouvais voir ses yeux brillés car à son entrée brusque dans ma chambre, la lumière est réapparue et la serviette autour de moi se retrouvait à terre à mes pieds.

             J'étais donc toute nue devant mon frère et je pouvais voir sa bite se grossir dans son short prenant la forme d'un gros concombre dont je ne saurais comment la décrire. Sa bite s'élargissait dans son short comme si on pompait de l'air dans une vessie de balle.

              Gênée, je décidai de me recouvrir avec la serviette. Mais lorsque je me suis abaissé pour la récupérer  à terre, j'ai perçu bizarrement un liquide couvrir ma chatte qui giclait jusqu'à mes cuisses. Ce qui voudrait dire que j'étais donc de nouveau hyper excitée et cette fois-ci pas à cause d'un parfum de rose dans mes naseaux mais plutôt devant mon frère qui aussi tremblait d'envie de dévorer la stupide chatte de sa sœur qui aussi ne voulait aucunement pas perdre sa chaleur.

(...)